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Ancien utilisateur
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Le 30/10/00, 4 jours avant la conférence éconimique de Majorque sur le Moyen-Orient, l\'Allemagne annonça qu\'elle transférait 250 millions de deutxhmarks à l\'Autorité palestinienne.

Le 22/10/00, quand les forces israeliennes firent irruption dans les bureaux du quartier Général de la garde \"présidentielle\" de Yasser ARAFAT (la force 17) pour rechercher les assassins du ministre, ils trouvèrent un tas extraordinaire de documents prouvant qu\'Arafat paye l\'intégralité du budget des organisations terroristes Tanzim te Fatah avec ses propres deniers, sur son budget présidentiel.

Les chiffres sont écrits noir sur blanc. Chacun des 10.000 terroristes du Tanzim reçoit mensuellement 875 shekels, soit 1.400 francs français, et ceci depuis qu\'Arafat a déclaré la guerre à Israel en Septembre 2000, soit ,depuis le jour où ces documents furent trouvés, plus de 200.000.000 de francs français.

Les documents montrent les directives d\'Arafat signées de sa propre main, 3 semaines avant le déclanchement de l\'Intifada (oui, 3 semaine avant), pour verser 22.000 dollars sur le compte en banque de CHACUN des dirigeants de l\'organisation terroristes TANZIM. Un corps de palestiniens a été formés pour préparer des attentats à la bombe, des tirs sporadiques des lynchages, et toute autre forme de terrorismes décidée par les dirigeants.

Les bénéficiaires de cette manne sont le commandant des Tanzim MARWAN BARGHOUTI, ainsi que Kemal Hamad, Ahmed Abayat (éliminer il y a peu de temps), Issam abu Bake, et bien d\'autres sbires d\'Arafat.

Les procédures sont très détaillées sur les documents.

Arafat rempli ses caisses destinées au terrorisme grâce aux subsides décidés par les pays de l\'Union Européenne, parmis lesquels l\'Allemagne, la Belgique, la France, l\'Angleterre et l\'Italie.

Depuis qu\'Arafat a déclaré la guerre à Israel il y a14 mois, vous avez contribué par vos impots, régulièrment et à votre insu, aux actes terroristes commis contre des innocents en ISrael: bombes dans les bus, les restaurants, les discothèques, bébés assasinés, kamikazes, etc etc... Le montant total de ce soutien au terrorisme s\'élève à environ US$ 2.190.000 par mois, soit US$ 31.000.000 entre septembre 2000 et la date de la découverte de ces documents...

Notons que les documents saisis ne font apparaître qu\'une partie de ce financement, à savoir la part européenne! Preuves à l\'appuie, Arafat dépense pour le crime, au total, plus de 300.000.000 de dollars par an. Soit presque autant que Ben Laden.

(à Hanavy: je ne peux pas te transmettre ce texte, car je l\'ai écrit (pas comme els autres qui sont dans mon disque dur)... dès que j\'ai un peu de temps, je te le rédigerai et je te l\'enverrai...)

Ancien utilisateur
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Voici le texte original:

Les impots des européens servent à financer le terrorisme palestinien Le 30 octobre, 4 jours avant la conférence économique de Majorque sur le Moyen-Orient, l\'Allemagne annonça qu\'elle transférait 250 millions de Deutchmarks à l\'Autorité Palestinienne. Le 22 octobre, quand les forces israéliennes firent irruption dans les bureaux du Quartier Général de la Garde Présidentielle de Yasser Arafat (la Force 17) pour rechercher les assassins du ministre, ils trouvèrent un tas extraordinaire de documents prouvant qu\'Arafat paye l\'intégralité du budget des organisations terroristes Tanzim et Fatah avec ses propres deniers, sur son budget \"présidentiel\". Les chiffres sont écrits noir sur blanc. Chacun des 10.000 terroristes du Tanzim reçoit mensuellement 875 shekels soit 1.400 francs français, et ceci depuis qu\'Arafat a déclaré la guerre à Israel en septembre 2000, soit à ce jour l\'équivalent de 200.000.000 de francs.Les documents montrent les directives d\'Arafat signées de sa propre main, 3 semaines avant le déclenchement de l\'Intifada (oui, 3 semaines AVANT), pour verser 22.000 dollars sur le compte en banque de CHACUN des dirigeants de l\'organisation terroriste Fatah, comme remboursement des frais de création de la nouvelle organisation terroriste \"TANZIM\". Un corps de palestiniens a été formé pour préparer des attentats à la bombe, des tirs sporadiques, des lynchages, et toute autre forme de terrorisme décidée par les dirigeants.Les bénéficiaire de cette manne sont le Commandant des Tanzim Marwan Barghouti, ainsi que Kemal Hamad, Ahmed Abayat (éliminé ce mois-ci) Issam Abu Bakr, et bien d\'autres sbires d\'Arafat.Les procédures sont très détaillées sur les documents.Arafat remplit ses caisses destinées au terrorisme grâce aux subsides décidés par les pays de l\'Union Européenne, parmi lesquels l\'Allemagne, la Belgique, la France, l\'Angleterre et l\'Italie. Depuis qu\'Arafat a déclaré la guerre à Israël il y a 14 mois, vous avez contribué par vos impôts, régulièrement et à votre insu, aux actes terroristes commis contre les innocents en Israël: Bombes dans les bus, les restaurants, les discothèques, bébés assassinés, etc etc. Le montant total de ce soutien au terrorisme s\'élève à environ US $ 2,190,000 par mois, soit US $ 31million depuis septembre 2000.Notons que les documents saisis ne font apparaitre qu\'une partie de ce financement, à savoir la part européenne ! Des experts pensent qu\'au total Arafat dépense pour le crime presque autant que Bin Laden, à savoir 300 millions de dollars par an. 2) Arafat en auditPar Steve Rodan Dictature policière, gestion \"patrimoniale\", détournement de l\'aide internationale : le bilan accablant de trois années d\'autonomie palestinienne. Seize ministres des Territoires palestiniens autonomes, sur un total de dix-huit, ont remis leur démission a Yasser Arafat le 4 août 1997. Ils ont été mis en cause par un audit interne de l\'Autorité palestinienne, publié le 21 juillet. Selon ce document, 326 millions de dollars - plus de 40 % du budget des Territoires - auraient été \"gaspillés\" ou dilapidés\" en 1996, sinon même purement et simplement détournés par les ministres ou hauts fonctionnaires qui en avaient la charge.\"Les comptes officiels de certains ministères ont été ouverts au nom du ministre titulaire, sans que le ministère des Finances en ait été informé, note le rapport... Des dons et des aides de l\'étranger ont été versés sur ces comptes sans être enregistrés dans les budgets ministériels\".Des constatations accablantes. Mais qui seraient elles-mêmes, selon de nombreux observateurs palestiniens ou étrangers, bien en deçà de la réalité. Dans une opinion publiée le 23 juin 1997 par le Washington Post, l\'écrivain palestinien Fawaz Turki décrivait le régime en place en Cisjordanie et à Gaza comme \"la dissolution de toute société civile, de toutes normes civilisées, de tout espoir\". Tandis que dans le Guardian du 27 juillet 1997, le journaliste britannique David Hirst, spécialiste de la question palestinienne, le définissait comme un \"édifice branlant de népotisme, de racket et d\'extorsion\".L\'Autorité palestinienne contrôle actuellement la quasi-totalité des agglomérations palestiniennes de Cisjordanie et de Gaza : une population de 2 millions âmes, avec un PNB qui se situerait, selon la Banque mondiale, aux environs de 3 milliards de dollars. D\'importantes disparités existent entre les deux zones palestiniennes : en 1992, le revenu par habitant était de 2500 dollars en Cisjordanie et de moins de 1200 dollars a Gaza ; en 1997, le revenu par habitant serait reste à peu près le même en Cisjordanie mais aurait baissé de près de 40 % a Gaza.Sur le papier, la Palestine autonome créée en 1993 par les accords d\'Oslo et mise en place est partir de 1994 dispose d\'institutions démocratiques : un Conseil législatif élu en janvier 1996, un président élu par ce Conseil, un gouvernement désigné par le président, une Cour suprême, des tribunaux, des conseils municipaux. En fait, tous les pouvoirs sont concentrés entre les mains de Yasser Arafat, qui est à la fois le président de la Palestine autonome et le chef de l\'OLP, le mouvement national palestinien. Installé à la tête de la Cisjordanie et de Gaza, en vertu des accords d\'Oslo, ce dernier gouverne par la force et par l\'argent, les deux étant d\'ailleurs liés.La force, ce sont près de 50 000 gendarmes et agents secrets recrutés à l\'étranger et ne dépendant que de lui seul : ce qui ferait de la Palestine autonome, observe Fawaz Turki, \"le pays doté du plus grand nombre de policiers par habitant\". Selon les organisations des droits de l\'homme, quartorze personnes au moins sont décédées sous la torture dans les prisons palestiniennes depuis 1994 ; un nombre plus élevé encore de personnes a \"disparu\" ou a été sommairement exécuté.L\'argent, c\'est celui de la société Al-Bahr (\"La Mer\"), le holding présidé par Suha Arafat, l\'épouse du président. Crée en 1995, Al-Bahr contrôle directement ou indirectement toute l\'économie des Territoires autonomes, des BTP a l\'hôtellerie, de la publicité a l\'édition et de l\'informatique aux loisirs. Une entreprise qui refuserait de le prendre pour partenaire ou associé se verrait refuser l\'attribution ou le renouvellement de la \"licence\" : le permis, institué par le pouvoir autonome palestinien dès 1994, nécessaire a toute activité industrielle ou commerciale.- Al-Bahr porte vraiment bien son nom, dit-on à Gaza. Elle a recouvert la Palestine de ses flots.Le capital initial d\'Al-Bahr a lui-même été prélèvé sur le \"trésor de la révolution\" : entre 7 et 12 milliards de dollars (deux a quatre fois le PNB de la Cisjordanie et de Gaza), amassés pendant une trentaine d\'années par des moyens divers, allant du meilleur (des placements judicieux) au pire (l\'\"impot révolutionnaire\" levé sur les réfugiés palestiniens, le chantage au terrorisme, des pillages et des trafics divers, notamment au Liban entre 1975 et 1982 avant qu\'ils en soient chassés par les israéliens).Cette fortune colossale est déposée à travers le monde sous la signature personnelle d\'Arafat. A la veille des accords d\'Oslo, le chef de l\'OLP l\'utilisait pour payer directement ses 100 000 ( ! ) combattants et permanents politiques : en prenant soin de ne jamais laisser à un bureau ou a une unité de l\'OLP plus d\'un mois d\'avance en trésorerie. Depuis la mise en place des Territoires autonomes, Arafat tend à réserver le \"trésor\" pour les investissements a long terme et a recourir à une autre source de financement pour ses dépenses politiques et militaires : l\'aide internationale.Trente-quatre pays et quatre organisations internationales se sont engagés des 1994 a verser près de 2,4 milliards de dollars a l\'Autorité palestinienne sur quatre ans, entre 1994 et 1998, soit au titre de l\'aide au peuple palestinien, soit pour soutenir le processus de paix au Proche-Orient. En 1996, lors de la conférence de Paris sur l\'aide internationale à la Palestine, 865 millions de dollars supplémentaires ont été débloqués. En outre, Israël accorde des facilités de trésorerie pouvant atteindre, selon certaines estimations, 500 millions de dollars par an.Tant pour renforcer la mainmise d\'Al-Bahr sur l\'économie palestinienne que pour redistribuer l\'aide internationale a sa convenance, Arafat a eu intérêt au délabrement et a la désagrégation de toute comptabilité nationale et de toute fiscalité régulière dans les Territoires. Cet effondrement a favorisé, à son tour, une corruption à grande échelle. Si Arafat passe pour mener personnellement un train de vie assez austère, il n\'en va pas de même, en effet, du reste de l\'Establishment palestinien : ceux qu\'on surnomme les \"Tunisiens\" parce qu\'ils vivaient avant 1994 a Tunis, la ville ou l\'OLP s\'était repliee après les opérations israéliennes sur Beyrouth en 1982.Des fortunes tapageuses ont été édifiées en trois ans, alors même que le niveau de vie des Palestiniens stagnait ou déclinait. Le cas d\'Abou Mazen, l\'un des \"architectes\" des accords d\'Oslo, est souvent cité : la résidence qu\'il s\'est fait bâtir à Gaza, dans un style \"croisé\" du plus bel effet, mi-oriental, mi-gothique, est évaluée a plus de 2 millions de dollars. Autre parrain du processus de paix, Nabil Shaath s\'est approprié, avec le soutien d\'Al-Bahr, la jeune industrie informatique palestinienne. Lors de son récent remariage, il n\'a pas donné moins de quatre réceptions : a Gaza, au Caire, à Orient House, le siège officieux des institutions palestiniennes à Jérusalem-Est, et enfin a l\'Hôtel Ambassador, immeuble \"privé\" de Jérusalem ou il pouvait accueillir en toute tranquillité ses amis israéliens.Le système Arafat a atteint actuellement ses limites. 2 milliards de dollars d\'aide internationale, sur les 3,2 milliards promis, n\'ont pas été versés ou sont \"gelés\" jusqu\'à ce que l\'Autorité palestinienne apporte des garanties sur l\'emploi qui en sera fait. Un donateur tel que la Norvège, qui s\'est engagé pour la somme tout-à-fait considérable de 100 millions de dollars, a été choqué de découvrir, par exemple, que des fonds destinés à des projets agricoles avaient \"disparu\". La Grande-Bretagne n\'a pas apprécié qu\'une partie de son aide soit affectée, sans qu\'elle le sache, à la police politique d\'Arafat, le Mukhabarat Siri. D\'autres donateurs, comme les Etats-Unis et Israël, sont moins exigeants en matière purement financière, mais intraitables en ce qui concerne les contreparties politiques attendues de l\'Autorité palestinienne : l\'arrêt total du terrorisme ou la renonciation a une rhétorique de djihad anti-israelien et anti-occidental.L\'opinion palestinienne, quant a elle, est en train de glisser du désenchantement a la fronde. Une évolution que les mesures répressives prises à l\'encontre d\'intellectuels célèbres à le suite de leurs critiques - l\'interdiction de parole signifiée au philosophe americano-palestinien Edward Said, l\'arrestation du journaliste Daoud Kuttab - n\'ont fait qu\'accélérer. Dans son article du Washington Post, Fawaz Turki n\'hésite plus, par exemple, a s\'en prendre personnellement a \"Yasser Arafat, cet homme aux origines incertaines qui n\'a pas lu une demi-douzaine de livres de sa vie ni exerce la moindre profession honnête\".C\'est en partie pour desserrer cette double pression qu\'Arafat a fait réaliser l\'audit de l\'Autorité palestinienne. Une \"transparence\" homéopathique, en quelque sorte. D\'ailleurs les états arabes ne sont pas aussi idiots que les européens : combien soutiennent les palestiniens ?......

Ancien utilisateur
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PS: ce texte figure sur ce site:

http://www.particonstitutionnel.net/p1065001.htm

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