Les enfants d'Oslo

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Le 20 novembre 1949, il y a 55 ans, ,2 avions transportant 58 enfants juifs, membres de la Aliat Hanoar ,quittaient la Tunisie pour Oslo.

ces enfants,dont on ne parle jamais........

je viens d'ecouter une émission télé sur ses 58 enfants.La tragédie a eut lieu le dimanche 20 novembre 1949 à 16h56 très exactement.
Il s´agissait d´un avion type DOUGLAS C-47A-25-DK qui appartenait à la compagnie Aero Holland.L´avion étant en provenance de l´aéroport de Brussel-Zaventem en Belgique et devait attérir à l´aéroport de Oslo-Fornebu en Norvège..


Un des avions,ce 20 novembre 1949, n’arrivera jamais a destination - il est porte disparu, ses debris ont etes retrouves, pres de la ville d'oslo, de là le nom les enfants d’Oslo. Il y avait 35 personnes à bord, dont 4 membres d´équipage; 34 des personnes périrent lorsque l´avion s´écrasa dans une forêt

Un seul petit garcon, est reste vivant, et a ete retrouve parmi les debris, de l'avion : ce petit garcon s'appele Iskhak Ellal, il a 12 ans, seul survivant des 26 enfants, ses enfants revaient jour et nuit d'aller en israel, ils sont morts sans l'avoir connu, comme les noyes du bateau egoz.

26 petits anges,qui auraient eu 62 à 65 ans aujourd'hui.

Quel malheur !!!!!!!.

Le gouvernement norvégien fait construire pour ces familles 27 maisons., En israel, on n ne parle pas , ni du bateau egoz, ni de ses enfants d'Oslo, c'est dommage, car on a le droit de tout savoir, .
En 1999, a l'occasion du 50 eme anniversaire, l'evenement aurait ete tres marque en Norvege.

Yskhak Ellal le seul petit survivant sera adopte et soigné .En effet l'accident l'avait marque profondément et le personnel norvégien etait conscient de cela. Yskhak Ellal est decede voila quelques annees seulement en Israel.


si vous avez entendu parler de ces enfants s'il vous plait, ecrivez moi.

Ancien utilisateur
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Jamais entendue parler.

Ancien utilisateur
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Très touchant récit.

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Ton récit Amara me rappele un conte, un tres vieux conte africain :

Autrefois, le peuple des éléphants vivait au bord de la rivière Sankourou. Il avait pour roi le Khoro. Un jour, le petit tisserin se posa sur la défense de Khoro et lui raconta, tout effrayé :

" Hélas, puissant Khoro ! c’est terrible ! Une foule d’êtres noirs à deux pattes est arrivée dans notre pays. Ils possèdent de drôles d’objets qui tuent. Ils s’étendent partout et dévastent tout sur leur passage. "

Khoro sourit :

" Je connais ces êtres. Ce sont les hommes. Ils sont petits et ne sont pas très forts. Leurs armes ne peuvent pas transpercer l’épaisse peau des éléphants. "

Cependant, peu de temps après, Khoro cessa de sourire. Les hommes noirs n’étaient ni très grands, ni très forts, mais ils étaient nombreux. Certes, leurs armes ne pouvaient transpercer l’épaisse peau des éléphants. Toutefois, une flèche bien lancée pouvait tuer un éléphant si elle le frappait à l’oeil. Les hommes brûlaient les forêts pour en faire des champs. En outre, une terrible sécheresse éprouvait le pays. Les éléphants se trouvèrent aux abois. Ils mouraient de faim et par les armes des hommes noirs. C’est alors que le puissant Roi des Éléphants rassembla ses sujets et leur dit :

" Cette terre n’est plus bénie des dieux. La famine et les hommes noirs nous font souffrir. Nous devons partir d’ici. Nous irons vers le soleil couchant. Notre route sera droite, comme l’était jusqu’à présent notre vie. Nous passerons sur tout ce qui se trouvera sur notre chemin, que ce soient les marécages ou les hommes noirs. Nous sommes peut-être un petit peuple, mais chacun de nous est plus fort que dix fois dix singes. Nous atteindrons notre but. Il n’en reste pas moins que ce pays a toujours été notre terre. Aussi, nous y reviendrons quelques jours chaque année, le premier mois qui suit la saison des pluies. Ainsi, nos enfants la connaîtront, les vieux et les malades pourront y vivre leurs derniers instants. "

Ainsi parla le puissant Khoro, et il en fut comme il dit. Le passage des éléphants ressembla à celui d’une tornade : les arbres furent arrachés, les champs piétinés, les villages détruits. Beaucoup d’hommes périrent. La force des éléphants était effrayante. Cela s’est passé, il y a longtemps, très longtemps, mais chaque année, les éléphants continuent à emprunter le même chemin pour montrer leur ancienne patrie à leurs petits et pour que les vieux puissent y mourir. Depuis ce temps, on ne trouve plus de cadavres d’éléphants dans la forêt car ceux-ci vont mourir sur les bords de la rivière Sankourou. Là se trouve leur cimetière bien que personne ne sache l’endroit exact.


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