Sur fond d'élections au grand rabbinat, elle aura lieu Dimanche : qui y va ?
La fête de l'unité
C'est ou ?
Je n'y vais pas (pas par idéologie mais je ne vais juste jamais à ce genre de trucs)
Juste pour info, l'avis plutôt féroce d'un chroniqueur (Raphael Drai) sur radio-J (ptite remarque ces mots ne représentent pas mon opinion) :
"En réalité, cette prétendue fête de l’unité n’a d’unitaire que le nom. Elle a été intentionnellement fixée à une semaine à peine du vote auquel doivent se livrer en leur âme et conscience les membres du collège électoral prévu par les statuts du Consistoire central. Or, dans la publicité obsédante faite pour ce meeting, les présidents de communauté, membres de ce collège, sont invités à grossir les rangs des manifestants du Zenith ce qui constitue une forme inadmissible de pression à leur encontre, et sans doute un possible motif de mise en cause de l’élection elle même. De tels procédés altèrent l’esprit même de l’institution consistoriale dont on vient de vanter avec son bicentenaire et devant toutes les autorités de la République l’excellence démocratique.
Mais qui se soucie de la démocratie quand font rage les excès démagogiques et le culte de la personnalité ? "
J'irais pas
pas le temps ...
Sawah
tu as la pub en page d'accueil. Apparemment c'est gratuit mais il faut réserver ses places.
Et du côté Bernheim, en même temps comme par hasard, se tiendra une soirée d'étude à la syna des Tournelles sur le thème "le Peuple Juif : le secret de sa survie" diffusé sur le net en direct sur
http://www.gillesbernheim2008.fr/
L'ironie de l'histoire, c'est que chacun a invité l'autre à sa fête, soit pour l'inaugurer, soit pour la conclure. Je pense qu'ils n'ont pas fait le déplacement dans "l'autre camp" : quelqu'un en sait davantage ?
Tout me porte à croire, depuis le début, qu'en posant à nouveau sa candidature, Bernheim a déclaré une guerre ouverte à Sitruk qui ne lui pardonnera jamais. Tout le reste, les réunions, d'unité ou pas, les soirées d'études, les interviews, et même les invitations à l'autre camp, ne sont que l'arbre qui cache la forêt, ou plutôt, le brasier.
On peut être pour ou contre l'un des deux à titre personnel ou par sensibilité, mais néanmoins le climat détestable qui prévaut semble confirmer que ceux qui nous représentent ont beaucoup de mal à revenir sur terre en acceptant la concurrence. Pêché d'orgueil sans doute.