Légendes urbaines

Ancien utilisateur
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Je viens de passer un petit bout de temps à lire des légendes urbaines sur Internet.

Vous en connaissez?

Si vous en connaissez, racontez les!

Ancien utilisateur
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le hashe elle aime de renaud.

Ancien utilisateur
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DAns les 60's à Orléans on accusait les magasins de vetement juifs de kidnapper des femmes dans les cabines d'essayages afin d'organiser la traite des blanches.

On a longtemps fait croire que les K sur les paquets de marlboro étaient les K du Ku Klux Klan.

Ancien utilisateur
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Le film "The Ring" est parti d'une légende urbaine. On dit que dans la première édition DVD de la version japonaise, si tu mettais sur stop histoire de respirer, les images qui remplaçaient "Toshiba Bienvenue" étaient si atroces que tu remettais vite le film.
J'ai loué le DVD, mais j'ai pas eu cette version-là...

Ancien utilisateur
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La légende de la daurade urbaine.

Il était une fois la princesse "snow bean hard", skieuse pétomane actrice de films porno. Elle vivait dans la plus haute tour d'un petit chateau au rez de chaussée, où elle exerçait la fonction de gardienne d'immeuble sous le pseudonyme de "Madame Carneiro".

Un jour, la princesse rencontra un bouseux, de ceux qui vivaient dans les marais et ne se mélaient que rarement à la haute sauf pour leur voler leur bracelets montres.

Le bouseux lui fit des avances grossières auxquelles elle répondit par l'affirmative en lui proposant même d'avaler.

C'est une belle histoire, s'il en est de la part d'une personne qui n'est pas un révolutionnaire mexicain mais qui vous une haine inconsidérée aux mutagènes neurotoxiques qui avilissent notre belle vieillesse...

Extrait de dialogue de "sous le soleil", Août 2001 : "Je vous conseille la daurade elle est excellente".

Zapata

Ancien utilisateur
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La légende du parano urbain

07H00 : lever difficile. Ils ont sûrement plombé ma bouffe à la cantine hier. J'éteins mes trois réveils, vérifie que mon Smith&Wesson est toujours sous mon oreiller et je me lève. J'enjambe les faisceaux lasers reliés à l'alarme . Je déverrouille les dix cadenas de la porte de ma chambre et fait quelques pas dans le couloir, direction la cuisine. La journée va être longue. Comme toutes les autres. Ma survie est un combat du quotidien, un combat des routines, qui peuvent être fatales.


07H05 : petit déjeuner. La nourriture est emballée sous vide et provient de stocks détournés d'un Station Soyout. On ne sait jamais. Je n'écoute pas la radio. Les fausses informations, comme les publicités d'ailleurs, distillent des messages subliminaux qui limitent notre manière de penser et endorment notre méfiance. J'enfile des gants en caoutchouc pour lire les journaux. Leur encre est en effet un mélange subtil de poisons rares qui, au contact, engourdissent l'esprit et les réflexes. Un coup d'oeil furtif sur les écrans de contrôle m'indique que personne n'a tenté de franchir les grillages de mon bunker : la journée s'annonce prometteuse...



07H20 : toilette. Je me rince la bouche avec de l'eau stérilisé médicalement. Eaux du robinet et en bouteilles sont à proscrire. J'ai connu le cas d'un homme dont la réserve d'eau était plombée à l'ecstasi. La dernière fois qu'on l'a vu, il voulait traverser l'autoroute en courant. Plus de nouvelles depuis.


07H25 : habillage. J'enfile mon pare-balles, ma veste pare-éclats réversible, mes rangers, vérifie ma trousse de survie (allumettes, jumelles, nourriture et eau pour 5 jours, trousse de soin ), charge mon porte-bonheur ( une mega magen david blindée), et me prépare à affronter le monde urbain.


07H30 : départ de chez moi à vélo. Pneus increvables, freins inusables.


07H35 : je change de vélo et retourne ma veste en passant sous un pont, et prend une autre direction.


07H45 : arrivée à la faculté. Sous d'insignifiants bavardages, je sais que 10% des étudiants réunis en groupe ne sont pas là pour les cours. Ils prennent la place de leaders d'opinion et pensent pour nous. J'en ai pour preuve qu'ils sont habillés pour des grandes marques. C'est soi-disant un coup de pub, mais ils travaillent en fait pour le gouvernement , qui leur fournit les moyens de maîtriser les masses populaires. Croyez-vous vraiment qu'un état laisserait planer la menace de la foule ? Je fais semblant de rien. Je parle de la pluie et du beau temps. Lorsque je pose certaines questions d'ordre culturel, ils semblent tous me réciter une phrase type, j'ai remarqué qu'ils ne prennent pas le temps de réfléchir pour répondre. Ils savaient déjà ce que je voulais dire.


08H00 : Premier cours, une heure de physique. Ils nous cachent la vérité sur les vrais lois de la physique, limitent notre accès au savoir. Je sais que la NSA a 900 ans d'avance sur le reste du monde en matière de connaissances scientifiques, car leur logique est différente de la notre. Conseillés par les "gris", les plus grands scientifiques des USA ont réinventé les mathématiques en les basant sur la logique tétravalente . Ils ont ainsi démontré les théorèmes de Fermat. Ces informations ont coûté la vie de dizaines de civils américains, kidnappés pour d'indicibles expérimentationsde la CIA.

Je n'ai jamais réussi à déterminer si le professeur est complice du grand secret ou simple pion sur l'échiquier. Quant à la personne qui m'a fournit ces renseignements, j'ai entendu dire qu'il a été pris .


08H55 : heure de permanence. Je me réfugie au CDI (Centre de Désinformation et d'Illusions). Je me choisis une place loin des fenêtres et proche de la porte. Là, comme tout bon universitaire endoctriné passif qui se respecte, je relis la leçon du cours suivant.


09H50 : pause. Le moment le plus dangereux de la journée. Le mal peut surgir de partout, du type qui te bouscule à celui qui est planqué sur un toit. On est à découvert dans la cour intérieure, pas d'échappatoire en cas de problème, si ce n'est l'abri de la foule elle-même. Pas de petit pain, merci. On ne sait jamais, même s'ils me font saliver depuis trois mois.

10H05 : deux heures de philosophie. Le professeur nous parle avec un drôle de vocabulaire, comme s'il voulait communiquer avec nous. Mais rien à faire. Ses mots créent une sensation de fatigue, de coma à long terme. Je me demande s'il s'agit d'un "gris" rebelle qui veut nous prévenir du danger que nous courons tous, d'un instrument subversif de diversion complice du gouvernement ou tout simplement d'un rabbin... à moins que ce soit ce qu'il veut nous faire croire.


11H55 : cantine. Certains appellent ça le meilleur moment de la journée. Le repas est agréable au goût, mais impossible de déterminer ce que c'est. Je n'ai d'ailleurs jamais vu le moindre cuisinier à la cantine. J'ai aussi remarqué que les professeurs ont droits à des plats différents des étudiants. Je me débrouille toujours pour en subtiliser un. Le réfectoire est très vitré, ce qui est très stressant (on se sent épié en permanence). Je quitte le plus tôt possible l'endroit.


11H58 : une heure et quarante-trois minutes à gérer. Je me joins discrètement à quelques groupes d'étudiants qui semblent neutres. Je tente de les convertir, de trouver un successeur digne de ce nom qui reprendra le flambeau de la vérité et l'agitera fièrement dans les ténèbres du mensonge. Je leur explique que je peux succomber à tout moment d'un "accident" de voiture, voire simplement disparaître (mais c'est moins glorieux). Ils me rient au nez, les inconscients. Ils disent qu'ils veulent une vie de loisirs, de bonheur, profiter de la société de consommation. Je leur rétorque que tous ceux qui sont morts avant moi sont alors morts pour rien. Ils disent qu'ils s'en foutent, que s'il y a des morts à faire, c'est eux qui les font, et que dévoiler la vérité, ça ne rapporte rien. Je me trouverais un successeur demain .



13H45 : histoire . Le professeur, tout vêtu de noir, les yeux rouges, est un complice du mensonge. Il a un jour voulu s'élever contre eux mais sa maison a entièrement brûlé le soir même. Il porte encore des brûlures sur tout le corps, et dort très peu. Il a prit l'habitude de fumer depuis ce jour là, se borne à enseigner ce qu'on lui a permi de savoir. Nous disons donc, les Etats-Unis sont un grand pays, qui n'a rien à cacher. Les Etats-Unis sont très gentils, aussi.


14H40 : Informatique. Meilleure heure de la journée, car la plus instructive. On y apprend la langue d'Internet. Dommage que les rares règles de grammaire qui nous sont confiées sont " rédigez à l'oreille" et "fiez-vous à votre instinct". Il est probable que le retard sur le programme est volontaire, pour nous empêcher d'accéder un des principaux instruments de communication. Chaque individu conserve alors sa langue. Diviser pour conquérir.


15H35 : pause. Quelques pas dans la cour interieure me font le plus grand bien, même si c'est l'endroit qui est potentiellement le plus dangereux.


15H45 : Archéologie. L'heure la plus étrange de la journée. Je soupçonne la salle 109 d'être un vortex temporel, où le temps s'allonge à l'infini. Les montres se bloquent, le temps ne passe plus. Notre professeur, qui a l'apparence d'une femme d'une cinquantaine d'années a en fait 195 ans. Seulement, elle est prisonnière de la salle. Le non-vieillissement n'est valable que si l'on ne quitte pas la pièce. Pour nous, simples élèves, cela ne change rien. Mais pour elle, elle met un pied dehors et récupère les 140 ans de retard. On dit que la mort est foudroyante.


16H40 : fin de ma journée. Il ne reste plus qu'à rentrer, à vélo, à changer de vélo, de veste...


17H03 : arrivée chez moi. Analyse rétinienne, distribution d'oxygène dans la maison (elle est sous vide lors de mon absence), enjambement des faisceaux lasers, direction la douche désinfectante. Avec tous les virus répandus sur cette planète, on ne sait jamais. Injection d'une triple dose de sérums et vaccins divers.


17H30 : Il est temps de glaner les vrais informations sur le web. Voyons...crash d'un ovni au Nouveau Mexique, premier clonage humain réussi par les raëliens, Executive Outcomes recruté en Sierra Leone, traffic de nouvelles armes automatiques en Irak...


18H54 : coup de téléphone. Je décroche. Une voix sans timbre feint de s'être trompée de numéro, et racroche. Il est fort probable que ce soient des petits malins comme Vik ou Dr_Slump qui veulent "visiter" ma maison ce soir. Ils ne connaissent pas mon nouveau système de sécurité "no remorse". S'ils arrivent en un seul morceau jusqu'à la porte d'entrée, ce sera déjà un miracle.


19H25 : dîner. Le seul moment de la journée où je me sens à l'aise. Je me délecte de nourriture incolore, inodore et sans saveur. Mais ça prend du temps. Je songe à me nourrir en intraveineuse, comme les droqués.


20H03 : départ à pied de chez moi, direction le cinéma. J'ai entendu un "leader d'opinion" y donner rendez-vous à ses "amis". Voyons de quoi il en retourne.


20H28 : arrivé devant le cinéma. Ils sont déjà là. Je me fonds dans la foule et m'installe deux rangs derrière eux.


21H00 : début de film. Il était temps : 30 minutes de publicité pour des superproductions ponctuées d'incitations à la consommation d'une boisson américaine gazéifiée. J'ai cru mourrir. Quand je pense qu'il y a des gens qui vont au cinéma rien que pour ça.


22H55 : fin du film. Incroyable, mais les Américains ont encore gagné. Ils sont vraiment trop forts. Pour le groupe, aucun propos particulier n'a été échangé. Ils ont dû me repérer.


23H21 : retour chez moi. Il n'y pas eu d'effraction. C'est bien la preuve que mon système de "surveillance et répression" est efficace.


23H30 : l'heure de se coucher. Je retrouve mon lit et mon Smith&Wesson sous l'oreiller. Une journée comme une autre...

Disons que demain est un autre jour, et que demain c'est loin.

roonnnn bizzzzzz ronnnnnn


Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Moi je connais une légende urbaine et croyez moi elle fiche les chtons !
D’ailleurs, cette histoire a été reprise par le film maintenant devenu célèbre : « Souviens-toi l’hiver dernier quand tu criais lors de ta destination finale : la rencontre avec Freddy Krueger »

Tout se passait dans la paisible ville de Tunis la belle, petite ville calme, sans histoires, où regnait une population encore méconnue de la plupart de nous tous, qui s’appellaient : les Tunisiens !

Vous ne me croyez pas ? Oui je sais ce que vous devez vous dire : « Mais quel mytho celui là ! » C’est pourtant vrai, je connais l’histoire des tunisiens, peuple légendaire connu pour sa voracité en huile, sa bonne humeur et son cri strident reconnaissable entre tous : « Yallaaaaaaaaaaah »

Booouuuuh j’ai déjà un frisson qui vient de me traverser (enfin c’est imagé, en vrai un frisson ca traverse pas les gens, c’est pas possible ! Imagineriez-vous un frisson qui arrive et qui attende que le bonhomme soit vert pour me traverser ?)

Notre histoire commence donc sur le port de la goulette, la légende qui se raconte depuis quelques générations dirait que lorsqu'une personne du manger comme tous les jours son casse-croute (Qui ne s’appellait pas encore casse-croute tunisien, vu que l’on est en Tunisie. C’est comme « Léon de Bruxelles » à Bruxelles il s’appelle juste Léon –une des choses qui m’a le plus marqué dans cette ville d’ailleurs-) cette personne n’aurait pas mis d’harissa dans son sandwich !

Je sais, je sais vous ne me croyez pas. C’est comme si on mettait des merguez sur une Pizza, c’est in-con-ce-vable (mais je crois que ca existe).

Quand on m’a raconté cette histoire, je n’ai pas dormi pendant au moins un mois. Ca aurait pu briser ma vie.

Imaginer un casse croute tunisien, huileux à souhait, avec du thon fraichement péché, des piments fraichements piquants, du pain fraichement sorti du four mais sans harissa, c’était pire que la fin du monde !

Heureusement qua quand je me reveillais le matin, je ne prenais pas de petit déjeuner et je passais direct chez Gabin boulevard de belleville et je m’achetais un casse croute tunisien rempli d’harissa pour seulement 25 francs à l’époque, c’est mieux que le paradis, mieux qu’un kinder surprise, mieux qu’un kinder bueno, mieux que des marshmallows, mieux que du chocolat au lait, mieux que la meilleure pizza du monde (sans merguez) bref c’est mieux quoi !

Alors, elle est pas flippante cette légende urbaine ???

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

On raconte aussi que le mélange Baileys/Schweps (orthographes incertaines) se solidifie dans l'estomac et fait périr d'une mort atroce en quelques instants le malheureux qui a avalé ça.

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Dans le style des vraies-fausses légendes urbaines, le site www.findmygobelin.be montrait l'appel désespéré d'un gars qui avait perdu son gobelin, qui errait à présent seul dans Bruxelles.
Le message était : "J'ai perdu mon gobelin, il est vert, petit et aime la limonade.."

Un journal gratuit distribué dans tous les trains et métros du pays joua le jeu en en parlant en 2e page.

Qq jours plus tard, on se rendit compte que toute cette sympatique histoire était en fait... une pub pour Sprite ! (on pouvais voir une canette/bouteille de Sprite ds avis de recherche de la bébete).

Comme quoi nous sommes tous manipulés par les grandes compagnies commerciales qui distillent des messages subliminaux qui limitent notre manière de penser et endorment notre méfiance. (lol Amara ;-)

Ancien utilisateur
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Moi celle qui me faisait vraiment peur c'etait celle ou on disait il y avait de la drogue dans les tatouages des chewing gum.... Ma mere ne voulait plus que j en achete.... Sniffff!

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