yom azikaron

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

La parade des héros de Haïm Hefer

Ils arrivent des montagnes, de la plaine, du désert
Ils arrivent-noms, faces, yeux et se rangent pour la parade
Costauds et bronzés, ils arrivent d'un pas balancé,
Ils sortent des avions écrasés et des blindés brûlés
Ils se lèvent de derrière les rochers, d'au delà des dunes et des tranchées
Braves comme des lions, forts comme des tigre, légers comme des aigles
Et ils passent un par un entre deux rangées d'anges qui leur distribuent des sucreries
Et leur passent au cou des colliers de fleurs
Je les contemples, et tous sont heureux
Ce sont mes frères, ce sont mes frères

Et ils se rencontrent, yeux noirs yeux bleux yeux marrons
Et ils se jettent l'un à l'autre des noms d'engins et de lieux
Ils se versent l'un à l'autre du café et du thé
Et poussent en coeur des "Hip-Hip-Hip ! "
Et ils rencontrent une foule d'amis, de camarades,
Et les commandants tapent sur l'épaule de leurs soldats
Et les soldats serrant la main des commandants
Ils se mettent à chanter en tapant dans les mains
Et tous les résidents des cieux les écoutent avec admiration
Et la rencontre dure jour et nuit,
car une troupe comme celle-là
La-haut il n'y en avait encore jamais eu
Soudain ils entendent des voix chères se lamenter
Ils regardent, chez eux, père et mère, femme, enfants et frères
Et ils font silence déconcertés
Jusqu'à ce que l'un d'eux murmure :
Désolés, mais nous étions obligés, nous avons gagné et à présent nous reposons en paix
Ce sont mes frères, ce sont mes frères.

Ainsi se tiennent-ils rayonnats
Et seul D. passe parmi eux
Baisant leur plaies, les larmes aux yeux
En disant à ses anges blancs :
Ce sont mes fils, ce sont mes fils.La parade des héros de Haïm Hefer

Ils arrivent des montagnes, de la plaine, du désert
Ils arrivent-noms, faces, yeux et se rangent pour la parade
Costauds et bronzés, ils arrivent d'un pas balancé,
Ils sortent des avions écrasés et des blindés brûlés
Ils se lèvent de derrière les rochers, d'au delà des dunes et des tranchées
Braves comme des lions, forts comme des tigre, légers comme des aigles
Et ils passent un par un entre deux rangées d'anges qui leur distribuent des sucreries
Et leur passent au cou des colliers de fleurs
Je les contemples, et tous sont heureux
Ce sont mes frères, ce sont mes frères

Et ils se rencontrent, yeux noirs yeux bleux yeux marrons
Et ils se jettent l'un à l'autre des noms d'engins et de lieux
Ils se versent l'un à l'autre du café et du thé
Et poussent en coeur des "Hip-Hip-Hip ! "
Et ils rencontrent une foule d'amis, de camarades,
Et les commandants tapent sur l'épaule de leurs soldats
Et les soldats serrant la main des commandants
Ils se mettent à chanter en tapant dans les mains
Et tous les résidents des cieux les écoutent avec admiration
Et la rencontre dure jour et nuit,
car une troupe comme celle-là
La-haut il n'y en avait encore jamais eu
Soudain ils entendent des voix chères se lamenter
Ils regardent, chez eux, père et mère, femme, enfants et frères
Et ils font silence déconcertés
Jusqu'à ce que l'un d'eux murmure :
Désolés, mais nous étions obligés, nous avons gagné et à présent nous reposons en paix
Ce sont mes frères, ce sont mes frères.

Ainsi se tiennent-ils rayonnats
Et seul D. passe parmi eux
Baisant leur plaies, les larmes aux yeux
En disant à ses anges blancs :
Ce sont mes fils, ce sont mes fils.

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Alex54, il est de toi celui-ci aussi ? ;))

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

trop long comme post . ca prend la tete

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

art-l non j'aurai aimé mais il est de HAIM hefer jlai posté car jle trouve magnifique tt simplement.

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Il l'est Alex54, mais je suis certain que tu aurais ete capable d'en ecrire d'aussi beau

Forums

partagez et débattez