Syllan,
Pour faire une tv de qualité je présume qu'il faut d'abord les moyens, non ?

s'ils n'avaient pas les moyens, les emissions étaient à l'image de ce qu'ils pouvaient se permettre...
Il ne faut pas trop juger quelque chose que l'on a jamais fait soi-même.

Je ne suis pas d'accord avec toi, parfois il faut se lancer dans une entreprise et voir ensuite. Sinon la peur de ne pas réussir nous empêche d'avancer.

effectivement, ils en sont au même point que l'an dernier.

Ce que je souhaite ? et bien :

- une image qui ne saute pas (il faut avoir vu TFJ pour le comprendre, même mon vieux camescope de 1995 filme mieux que ça)
- des animateurs/speakers qui me fassent pas ronfler comme c'est le cas (purée qu'ils sont chiants à écouter et à entendre)
- des émissions
- culturelles intéressantes (histoire entre autre)
- jeunesses (talk show, jeux, ...)
- juives (explication de la religion pour les juifs de tout type [du simple regard jusqu'à l'expert en judaisme]
- actualités, débats politiques
....

Alors oui, d'une vous direz que je veux tout. Et je vous réponds : non, pas du tout. Il suffit de prendre exemple sur le plupart des chaines de la TNT : on commence avec peu de moyen, avec quelques astuces (émissions pas chères rentabilisées, prêt, émissions pas chères et dynamiques, on comble avec ce qu'on peut, et on met quelques heures de qualité par jour).

L'intérêt ? capter les 1ers téléspectateurs = capter de la publicité = financer = dépenser raisonnablement sans se noyer.

Et petit à petit, on monte en qualité. Voilà une très bonne technique. Je n'invente rien, je retranscris à partir des éléments d'interview des responsables de plusieurs des nouvelles chaines de la TNT.

Ce n'est qu'une technique parmis d'autres.

Et ça permet de faire avec des moyens très limités une chaine de TV.

nota : Tsimbler : par "vraie télé juive", j'entends par là une télé que j'aurai plaisir à voir, parce qu'elle serait intéressante et donc je serai particulièrement fier. Elle "me" représenterait en qq sorte. Bref, une "bonne" télé juive, qui remplirait son rôle de télé communautaire.

Eteex, est-ce que tu as vu leur 'tite speakerine (je sais qu'ils l'avaient l'an dernier en tout cas) troooooop mignonne ?
Est-ce que tu t'es donné les moyens de gratter son numéro (pour me le donner par la suite) ?
Si tu as répondu oui aux deux précédentes questions, je te paye un menu McBacon quand je monte à la grand' ville !

Syllian, c'est intéressant tout ce que tu dis et ça pourrait être bien de communiquer ces remarques aux dirigeants de la chaîne, ça pourra leur servir à un moment ou à un autre.
C'est clair que cette chaîne manque de sang jeune et de dynamisme, mais de ce que je la connais, elle n'est pas inintéressante.
Et surtout, chose importante par dessus toutes, elle s'attachait à ne pas être une chaîne faite par des juifs, parlant de choses juives en s'adressant à des juifs. (comble de l'enfermement et du manque d'ouverture, vous en conviendrez)

Donc si nouvelle télé juive il y a, j'aimerais qu'elle garde cet esprit d'ouverture tout en instaurant des moments plus spécifiquement "juifs".
Et si une nouvelle télé se monte, tenez moi au courant, j'ai des trucs à y dire et à y faire !

Je tiens aussi à dire que je pense que c'est parfaitement illusoire de croire qu'une chaîne de télé puisse te représenter.
Si elle te représente toi, est-ce qu'elle me représentera moi, ou Mayane ou Eteex ?
La "communauté" est loin d'être assez homogène pour être bien représentée. Regarde le CRIF, dont c'est pourtant le travail...

mais pkoi on en etendait jamais de cette chaine, dans okun magazine juif, parceke le mec de tfj (je sais plus son nom) est un gros con completement megalo......

TFJ est morte.

Pour avoir un peu donné des coups de main à TFJ, je peux dire que le vrai problème était interne.
Je ne veux pas les descendre, car j'y étais finalement très attaché, mais en dehors de tous les réels soucis d'argent, il y régnait un joyeux bordel, qui dépassait très largement les limites de l'amateurisme.

Je regrette que TFJ a cessé d'emettre, mais c'était inéluctable quand on sait la manière surréaliste dont elle a été gerée.