André Dufour connaît le prix de Munich et du pacifisme ... Alors, quand l’Europe et l’ONU préparent un “remake” face à l’islamisme, l’ancien résistant au nazisme refuse de déposer les armes et nous livre un bloc-notes pour le moins “combatif” ...
La France gagnée par la culture islamique
Après de multiples manifestations de la culture islamique qui s’implante en terre de Gaule, telles que les assauts pour imposer le foulard islamique dans les écoles, l’abrogation de la mixité dans les piscines et gymnases, la censure des cours dans l’enseignement public, les incendies de voitures, l’Intifada des «banlieues», les «tournantes», le «bizness», le racket, le bâillon sur les journalistes et dessinateurs, les menaces de mort contre les «islamophobes», les barbares au visage suintant la stupidité, la bestialité et la haine, défilant librement dans nos rues en vociférant contre notre liberté et en injuriant les pays dont la seule faute impardonnable est de les avoir imprudemment accueillis, un nouveau pas est à présent franchi pour compléter l’islamisation de la France: prises d’otages avec demande de rançon, ou torture et meurtre de la victime lorsqu’elle n’est pas «rentable», ce qui place la France dans le peloton des pays musulmans les moins sûrs tels que le Pakistan, l’Irak, le Yémen, l’Afghanistan ou le Kosovo.
Le jeune Ilan, 20 ans, dont on a retrouvé le corps dénudé et mutilé près de la gare de Ste Geneviève des Bois, se trouve en tête de liste des victimes. Rien ne prouve, officiellement du moins, que ce crime, qualifié de crapuleux par les médias bien en cour, implique le terrorisme islamiste, encore que la distinction entre les crimes crapuleux et les crimes djihadistes me semble relever de la «discrimination positive» en faveur de ces derniers, mais le mode opératoire, qui n’est pas sans rappeler le meurtre d’un jeune internaute israélien par le truchement d’une «séductrice» palestinienne, n’en a pas moins quelques relents islamistes. Il ne faut pas trop s’en émouvoir puisqu’il n’était que Juif et, circonstance aggravante, de famille peu fortunée. Peut-on alors parler d’un «simple» crime crapuleux alors que les rôles des «simples» criminels et des djihadistes criminels sont interchangeables chez leurs auteurs? Attendons donc que quelques Français et Françaises «de souche» viennent allonger cette liste macabre pour nous en émouvoir et, d’ici là, mettons la main sur notre porte monnaie pour augmenter et encore augmenter les subventions distribuées en pure perte aux «jeunes défavorisés des banlieues défavorisées», de Bagneux cette fois-ci ... Le rôle des dhimmis n’est-il pas de payer?
Agression dans un train de banlieue
Une lectrice de Liberty Vox qui voici quelques jours descendait d’un train de banlieue, a été victime d’un vol à l’arrachée. Fait-divers banal en région parisienne ou marseillaise. Mais dans le cas que nous évoquons, qui se passe au Japon, tout près de Tokyo, nous restons en «pays connu» puisque les voleurs qui ont réussi à se fondre dans la foule sont de type maghrébin ou «proche oriental», repérables dans la foule japonaise. Se rendant fréquemment au Japon, notre amie aimait ce pays pour le sentiment de sécurité, qu’il y a encore peu, on y ressentait. Une femme seule pouvait circuler dans la rue, à toute heure du jour ou de la nuit, sans être inquiétée. L’immigration de culture arabo musulmane, alors qu’elle est infiniment moins massive que celle que nous subissons, a pourtant suffi pour que tout cela change.
On nous objectera que toute généralisation relève du racisme et on avancera que la majorité des musulmans qui séjournent parmi nous ne demandent qu’à vivre paisiblement de leur travail; cela comporte une part de vérité. Mais il faudrait aussi expliquer pourquoi les musulmans, très sous-évalués officiellement à 10% de la population française (alors que 20% semblerait plus proche de la réalité sur le terrain, mais qui, même à 10%, placent de toute façon la France en tête de l’U.E pour ce qui est de l’islamisation), figurent pour au moins 90% de la délinquance, des trafics illicites, des fraudes diverses, des incendies de voitures et des incivilités? Sans oublier l’esprit d’intolérance et de mépris envers la population autochtone, leur prétention d’imposer leurs lois, coutumes et règles de vie et d’exiger que les lois du pays qui les accueille s’adaptent à leur sectarisme.
Ce comportement se manifeste dans des pays aussi divers que le Japon, la Nouvelle Zélande, l’Australie, Danemark, Pays Bas, Belgique, Allemagne, Grande Bretagne. Les enfants des immigrés bénéficiant de la loi du sol avec les mêmes droits que les «autochtones», il faudrait expliquer pourquoi l’engagement dans le djihad n’est pas le fait de «damnés de la terre», mais de jeunes qui ont suivi une scolarité normale et qui avaient un emploi et des revenus décents, comme on l’a vu l’été dernier à Londres, comme on l’a vu à Amsterdam ou en France.
Ainsi, il nous paraît difficile de soutenir que Zacarias Moussaoui, impliqué dans les attentats du 11 septembre 2001 aux États-unis, est un «Français» défendu à grands frais par la France alors que lui-même hurle dans son procès qu’il n’est pas français et qu’il comparaît devant la justice américaine en tant que musulman, ce qui devrait nous rappeler que l’islam n’est pas une religion, «la deuxième de France», au même titre que la catholique, protestante, juive, bouddhiste ou sikh, mais une «Oumma», une nation malade d’une idéologie totalitaire, impérialiste et colonisatrice. On est alors en droit de se demander pourquoi tout individu impliqué dans des actes de terrorisme contre un pays dont la France (qui l’eût cru?) est l’alliée, est défendu par elle aux frais du contribuable au lieu d’être déchu de la nationalité française, qui ne lui sert que de paravent et de source de revenus, et le laisser se dépatouiller comme il veut ou se faire défendre par les pieuses organisations ou les états musulmans assez riches pour financer le djihad. Qu’il pourrisse en prison ou qu’il se fasse griller nous laisse indifférents, l’essentiel étant qu’il soit mis hors d’état de nuire. Nous préférons garder notre pitié et notre indignation envers les victimes de ce genre de salopards. Un citoyen français qui combat en Irak ou en Afghanistan dans les rangs djihadistes n’est pas un Français, quoi qu’en stipule l’absurde et irréaliste droit du sol ou une naturalisation inconsidérée et trop complaisante. Et s’il y laisse sa peau, bon débarras, cela épargnera quelques vies innocentes.
Des excuses? Qu’ils aillent se faire f.
Ce n’est pas notre président Chirac qui le dit, même s’il le pense (qu’en sait-on ?). Là où il y a des musulmans (qui ne sont pas tous des terroristes) il y a de la violence, des meurtres, des attentats, des prises d’otages. Regardez une mappemonde: sur tous les continents, aux Philippines, en Indonésie, en Inde, au Pakistan, en Irak, en Iran, aux Pays-Bas, à Londres, Madrid, Paris, Côte d’Azur, Maroc, Algérie, Nigeria, Israël, Palestine, New York, Montréal, Washington, Kenya, Cachemire, Égypte, et cette liste n’est pas exhaustive, l’Islam se fait connaître par le déni des droits de l’homme, l’abaissement de la femme, la violence, le crime, le vandalisme et tout cela est commis au nom du coran dont l’auteur ou transmetteur des messages d’Allah, reçus via l’ange Djibral, alias Gabriel, n’est autre que Mahomet. Et combien d’entre les innombrables Musulmans paisibles ou modérés ont-ils déclaré ce genre de saloperies contraire à la lettre du coran? Tout au plus déplorent-ils que ce genre d’actions nuisent à l’image de marque de l’Islam aux yeux des Occidentaux ou à la «cause palestinienne». En somme, la différence entre un «fondamentaliste» et un «modéré» réside dans le fait que pour ce dernier, c’est une mauvaise pub, non une mauvaise action condamnable au plan religieux ou moral.
Alors comment s’étonner qu’un caricaturiste, dont l’art consiste justement à forcer le trait pour résumer la façon dont l’islam est perçu, non seulement par les «infidèles» que nous sommes, mais aussi par ceux des maghrébins totalement détachés des interdits et mythes islamiques et que nos autorités s’obstinent à compter comme «musulmans», oui, comment s’étonner du rapprochement qui vient irrésistiblement à l’esprit entre l’Islam et la violence terroriste, en associant cette violence à Mahomet qui, on ne le rappelle jamais trop, s’est lui-même imposé par l’intolérance, la violence et le meurtre?
Ah, nous allions oublier que l’Islam interdit de représenter l’image de Mahomet. Objection, Messieurs les censeurs hallal!
D’une part, nous ne sommes pas (ou pas encore) musulmans et dès lors vos lois ne sont opposables qu’aux musulmans (qui ne peuvent du reste quitter cette galère sans se faire égorger en toute douceur et miséricorde) ou alors, il faudrait aussi interdire l’élevage, la vente et la consommation du porc sur tout le territoire européen, interdire d’avoir un chien, ce sympathique compagnon de l’homme et de la femme étant considéré comme islamiquement impur (l’islam a raison pour ce qui est des crottes sur les trottoirs, mais j’en incriminerais plutôt son maître mal éduqué).
Cette histoire d’image bouscule mes connaissances théologiques: l’interdiction de l’image qui figure dans le Décalogue ne concerne que celle de Dieu. L’Islam, grossier plagiat du Judaïsme, se démarque justement du Christianisme en soutenant qu’il n’est d’autre dieu que Dieu et que, contrairement à ce que les Chrétiens affirment pour son confrère Jésus, Mahomet n’est pas d’essence divine ou «consubstantiel» avec Dieu-le-Père, mais tout simplement un homme (Ein Mensch, comme dirait Mozart dans la Flûte Enchantée) et ce serait déjà bien méritoire. Le blasphème pour un musulman, ne serait-il pas de placer Mahomet, (chef de guerre habile et rusé, polygame, chef pillard prenant sa part du butin, bref, tous les défauts dont un homme, plus particulièrement quand il s’agit d’un homme politique, peut se rendre coupable), sur un pied d’égalité avec Allah Soi même? Mais laissons les musulmans se dépatouiller avec ce genre de problèmes qui nous laisseraient froids s’ils ne venaient pas nous empoisonner l’existence avec leurs conneries meurtrières. Donc, Mahomet c’est sacré et, à défaut d’en faire notre tasse de thé, nous devons le respecter, faute de quoi nous «blessons» la susceptibilité de nos musulmans, même de ceux qui n’en ont rien à foutre de leur religion et de ses interdits. Nous les «humilions» en bafouant leurs valeurs et leur foi. OK. Mais ces gus là pensent-ils que nos valeurs et nos symboles c’est de la gnognotte? Un drapeau, fut-il celui d’un pays «infidèle», n’est-il pas un symbole sacré? Qui parmi nos aînés n’a éprouvé de l’émotion à la vue du drapeau tricolore hissé à la place du sinistre drapeau à croix gammée? Alors, piétiner et brûler un drapeau, c’est une profanation tout aussi profanatoire que de piétiner le coran ou de croquer un «prophète» avec ou sans turban, avec ou sans barbe, avec ou sans bombe.
Et puis, symbole pour symbole, comment un musulman s’offusque-t-il d’un dessin faisant le rapprochement entre l’islam et la violence alors que le drapeau de leur prophète est frappé d’un cimeterre ou sabre? Cela ne ressemble en rien à un rameau d’olivier (qui ne figure sur le drapeau d’aucun pays musulman). Alors il faut à notre président Chirac une sacrée dose d’impudence pour demander à Charlie Hebdo de ménager la sensibilité des musulmans. N’aurait-il pas gagné un peu de notre estime en demandant également aux musulmans de ménager notre sensibilité blessée par les caricatures anti-occidentales ou antisémites, choquée par les vidéo cassettes exhibant des encagoulés musulmans et leurs otages qu’ils vont massacrer. Dans le mythe de la civilisation judéo chrétienne qui rallie au moins autant d’humains que l’islam, l’homme est crée à l’image de Dieu; torturer et tuer un homme c’est blasphémer Dieu dont le Décalogue (que prudemment Mahomet n’a pas inclus dans le coran) interdit justement l’homicide. Il paraît que le coran lui aussi interdit le meurtre……d’un Musulman (mais pas semble-t-il d’une Musulmane: ce n’est qu’une femme). Alors, en attendant que les autorités islamiques admettent miraculeusement cette réciprocité et nous considèrent comme des hommes nés égaux en droits comme nous le faisons déjà envers tous les humains, il me paraît salutaire de nous rappeler du mot prêté à Cambronne et envoyons les se faire f …..
L’Europe dhimmie
Les envoyer paître? Ce n’est pas la voie choisie par notre Union Européenne à dominante affairiste ou socialo mollassonne. Ainsi, tels les Bourgeois de Calais, Javier Solana, au nom de toutes las nations de l’U.E, se rend en Arabie saoudite, non pas pour traiter avec un gouvernement, mais avec un machin, une ONG connue sous le nom de «Organisation de la conférence islamique» dont le siège est à Riyad. Rappelons que cette OCI créée pour «libérer» Jérusalem, regroupe non pas des autorités religieuses mais pratiquement tous les gouvernements des Etats musulmans. Il est donc piquant, pour ne pas dire inquiétant, révélateur en tous cas, d’apprendre que l’actuel secrétaire général de cette «pieuse» organisation soit un représentant officiel non pas de l’islam turc mais de l’État «laïque» Turc que nos politiciens, au mépris des suffrages populaires, entendent introduire, tel un cheval de Troie, dans l’Union Européenne déjà mitée par les implantations et enclaves musulmanes. Tiens, justement, Troie ne se trouve-t-elle pas dans l’actuelle Turquie? Quel rapprochement! Quel symbole! Tout un programme.
Alors notre Espagnol, qui nous représente, s’entend dicter par ce Turc, représentant le gouvernement d’une Turquie «laïque», les quatre conditions qui permettront à l’OCI de faire cesser toutes les manifestations «spontanées» contre les pays européens. (En espérant qu’il n’y a pas, comme ce fut le cas du pacte germano-soviétique, des additifs secrets).
- «Vote par le parlement européen d’une loi réprimant l’islamophobie» (et gare à nous si une opposition fait échouer ce projet de loi).
- «L’U.E et l’OCI (c’est-à-dire un machin religieux traitant sur un pied d’égalité avec un ensemble d’états démocratiques souverains) soutiendront l’adoption par l’ONU d’une résolution identique à celle de l’UE, étendue à la diffamation des religions» (y compris l’Hindouisme, le Bouddhisme, le Judaïsme, le Chamanisme, le Druidisme?). Autrement dit, les athées ou les agnostiques seront mis à mort ou enfermés dans des camps de rééducation par le culte.
- «L’U.E doit adopter un code de conduite pour les médias européens qui tienne compte de la sensibilité des musulmans» (les non musulmans n’ayant semble-t-il pas de «sensibilité»).
- «L’ONU doit adopter un code de la communication internationale qui définirait les limites de la liberté d’expression dans le domaine des symboles religieux.»
Il s’agit là d’un véritable diktat islamique, d’un chantage, d’une menace à peine «voilée»: vous n’aurez pas la paix, nous dit cette Religion d’Amour, de Tolérance et de Paix (RATP), on vous empoisonnera l’existence par un harcèlement de revendications, d’actions et de manifestations populaires «spontanées», on vous coupera le pétrole et tout le reste si vous européens ne vous soumettez pas à ces quatre articles du pacte de dhimmitude que dans notre grande générosité et mansuétude et au nom d’Allah le tout puissant et miséricordieux nous vous imposons. Quant à notre «liberté absolue de conscience», du droit des femmes à disposer de leur corps, du droit de publier ou de mettre en ligne Charlie Hebdo, le Canard Enchaîné…ou Liberty Vox, ces titres ne sont pas mentionnés dans le coran, donc ils ne sont pas hallal, alors il faut les interdire. Il nous restera toujours la possibilité de lire le Nouvel Obs, Le Monde et Libé. Comme nos aînés lisaient l’Oeuvre, ce quotidien socialo pacifiste des années 30. A l’instar de ce journal, notre presse donneuse de leçons saura prendre le virage au bon moment.
On se demande parfois avec étonnement comment une petite horde de barbares incultes a pu soumettre les prestigieuses civilisations de Perse, de Byzance, d’Egypte avant de se répandre sur les dépouilles de l’empire romain et des empires d’Asie centrale. Ces barbares avaient-ils le courage pour eux? En partie, mais ce courage, fait par le mépris de la vie et de la mort et la promesse d’un bordel céleste, était surtout entretenu par la division et la lâcheté des dirigeants de ces grandes civilisations.
La situation actuelle n’est pas tellement différente. Et pourtant il faut peu de choses pour briser l’insolence des parvenus abrutis qui veulent réduire l’humanité à leur grotesque image. Leur couper le fric. C'est-à-dire, développer tous les moyens de produire de l’énergie. Nous les avons. Au départ et comme dans toute révolution, ils coûteront plus cher que le pétrole mais moins cher que notre liberté et notre dignité. Moins cher et moins coûteux en vies humaines que de faire la guerre. A commencer par multiplier les centrales nucléaires (eh oui, minables écolos qui préfèrent la prolifération islamique iranienne ou Pakistanaise, à se demander si les mouvements écolos ne sont pas subventionnés par les saoudiens et les émirs du Golfe comme les «pacifistes» tels que Marcel Déat (Pierre Laval était également pacifiste) émargeaient au service de la propagande nazie) et développer les énergies renouvelables, quitte à la subventionner. Ces subventions seraient largement compensées à court terme. Et puis la liberté n’a pas de prix. Quand l’Islam aura moins de fric, nous aurons moins d’imams prédicateurs de la haine, moins de terroristes (quitte à les éliminer au lieu de les garder en prison) et nous aurons les coudées plus franches pour expulser les trublions. L’Islam nous fait-il peur? Il faut alors que la peur change de camp. Mais faisons vite, pendant que nous en avons encore la possibilité.
Censure ou pétrole ?
Des sites appelant à la résistance contre la dictature islamique attaqués et mis dans l’impossibilité de mettre en ligne leurs articles. Le lien d’une interview de Maurice Dantec accordée à Ismaël Trépanier pour la radio canadienne Rockik rendu subitement inaccessible à la suite, paraît-il d’une amicale pression d’un parti de notre majorité gouvernementale crée pour soutenir Jacques Chirac, …… tout cela ressemble à une concession aux exigences de l’Organisation de la Conférence Islamique présentées à Javier Solana, représentant l’U.E. Le pacte de dhimmitude entrerait-il en application? Il faut au moins ça pour préparer le terrain à l’admission de la très «laïque» Turquie dans l’U.E.
Nous avions le choix entre le courage et le pétrole. Faute de courage, nous sommes en train de perdre l’honneur en attendant de devoir faire d’autres concessions à l’Islam pour «mériter» de recevoir du pétrole au prix fort.
André Dufour, pour LibertyVox.
http://www.libertyvox.com/une.php