Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, vous me voyez fort flatté de l'intérêt que vous portez à ma petite personne, dont l'utilité en ce bas monde est toute tournée vers l'épanouissement de ses contemporains.

Comme vous le savez, j'aurais du m'appeler coach si un imbécile n'avait déjà utilisé mon pseudonyme, m'obligeant d'une part à vous avouer mon vrai nom, d'autre part à lui procurer des nouvelles baskets en béton qu'il décrasse au large du Cap Corse.

Je ne suis qu'un humble serviteur du développement personnel.

Inutile de chercher mon adresse IP, ma seule véritable adresse est PQ, et je n'ai rien de véritablement primordial à cacher maintenant que vous connaissez mon ridicule patronyme.

Pour vous prouver mes bons sentiments à votre égards, mes contemporains, je m'en vais rendre un hommage à l'Alsacien, Gottfried de Strasbourg, qui en dépit de son nom pourri à lui aussi, donna au monde la parabole de l'amour ultime : Tristan et Isolde. Et quoi de plus universel que de dire je t’aime ? Ich hoan dich gear.