Non je n'ai pas vu les affiches.
Mais je te souhaite néanmoins la bienvenue.

Merci de votre accueil.

Pour répondre à Kylebrody, c'est tout à fait mon genre de mettre tant de choses sur un seul post, et encore je me bride ... déjà que pour certain cela semble être confus !

Choussar merci beaucoup, tu ne perds rien.

En effet, je fais allusion aux affiches "Paris dit non etc ..." mais comme je me souvenais plus du contenu j'ai inventé, c'est comme ça que je fais, moi.

Romanalex tu as raison, les affiches sont pourries et c'est pour cette raison que j'ai mis ce post, parce que je trouvais ça hypocrite, un acte de principe et non de conviction, qui ne signifie rien d'autre que 'nous autres à Paris, on est pas de sales cons'. Je sais pas s'il faut comprendre 'allez donc à Marseille pour voir ce que c'est que le racisme' ! En tout cas mon pompier c'était un alsacien...

Mais vous êtes vraiment jamais contents, c'est étonnant !

Voila une campagne d'affichage qui a le mérite d'être claire, même si elle ne correspond pas à vos gouts artistiques !

Et vous faites quoi ? Vous en cherchez le sens caché, vous y trouvez même de l'hypocrisie !

Allons, c'est quoi ces conneries ? C'est une campagne à l'initative de la mairie de Paris, donc elle parle de Paris, un point c'est tout. Chacun ses compétences territoriales, inutile d'aller chercher des sous-entendus sur les autres villes de France !

"Un acte de principe et non de conviction" c'est quoi cette distinction sortie de nulle part ? Ne faut-il pas avoir une conviction pour commettre un acte de principe ?

Vous proposez quoi de super constructif ? L'abandon de la campagne et le retrait des affiches ? Pffff...

tout d'abord je tiens à remercier XY pour affirmer allègrement que je ne suis qu'une débile profonde qui pioche ses expressions au pif dans sa boite à phrases à la con

Ensuite, je voudrais lui faire remarquer une distinction qui ne sort pas de nulle part, à part si on considère que ma tête à moi c'est nulle part, auquel cas d'accord mais franchement c'est purement rhétorique comme problématique.
la distinction est la suivante : on croule sous les actes de principes : les paroles en l'air, les 'moi j'aime pas le racisme', tandis que d'un autre côté il y a les convictions et surtout les convictions parisiennes qui écument les diners mondains et l'élite professionelle non-juive : rien de moins que des phrases lancées comme ça par des avocats en dejeuner d'affaire : 'moi je dis que toutes les religions se valent j'ai des amis partout mais je dois avouer que les juifs m'emmerdent !'
argh
autant dire que l'arête de ton saumon poché aux herbes de provences accompagné de dès de tubercules poélés à la romaine, te reste un peu coincé dans la trachée.
bien sûr c'est pas la faute de la mairie de Paris, qui ne peut pas surveiller les diners mondains, mais on aurait pu prétendre à un minimum de créativité pour une si grande cause. quand tu vois ce que peux faire benetton pour vendre des chaussettes en laine, tu te dis qu'en investissant un peu, on agit beaucoup. J'ai crée suffisamment de campagnes d'affichages pour le savoir.
là j'ai l'impression de me trouver devant un tout petit bonhomme entouré de mastards énervés qui lèverait le doigt en disant dans sa barbe (avec courage) : euh... moi je suis contre ... euh !

Allez un peu de mémoire ceux de ma génération (les autres, vos gueules ! je suis pas vieille merde), vous vous souvenez des pins 'touche pas à mon pote' ! TOUT LE MONDE portait le pins touche pas à mon pote. Et ils étaient pour qui ces pins ?! Pour les juifs ? NON ! alors une affiche de merde péremptoire comme un tribun, excuses mais ça me fait doucement rigoler.