Je pensais que ça ne s'était jamais vu mais mon homme dit que c'est déjà arrivé.
Immense colère et incompréhension : on ne me dira pas que c'est le geste d'un désespéré. Le gars était marié, père de famille, avait un travail et il choisit de mettre tout ça en l'air pour commettre un acte ignoble.
Je ne vois pas quelle punition pourrait être assez sévère pour faire face à ça.
Ancien utilisateur
Nath4, on ne sait pas ce qui se passe dans la tête des gens - ce qui me paraît sûr en revanche, c'est que certains n'ont vraiment pas grand chose - dans leur tête - pour gâcher leur vie et celle de leur famille (marié et père de famille) et détruire celle des autres de manière ignoble.
Ancien utilisateur
bah il est mort
c'est relativement sévère comme punition
en tout cas on a encore rien inventer de plus efficace comme punition
Ancien utilisateur
Babarnum
"bah il est mort
c'est relativement sévère comme punition
en tout cas on a encore rien inventer de plus efficace comme punition"
La mort par la torture.
Violer sa femme et tuer ses enfants sous ses yeux.
Mais accomplir de tels actes ce serait devenir ce qu'il est...
C'est justement ce que nous ne sommes pas et paradoxalement c'est ce dont on nous accuse... (genocide, epuration ethnique, meurtres d'enfants, viols etc...)
Ancien utilisateur
Et bien , vraiment , qu'est ce passe dans la tête des gens ? On a découvert la lune , on dirait.
Les Paléstiniens vengent pour l'annection de Jérusaleme est . Il faut comprendre que pour eux , s'est ce que m'a expliqué un copain musulman , le reglement des compts , ça va de soit-même . Et la famille de lui était plutôt au courant avant qu'il ne passe à l'acte.
Ancien utilisateur
"La mort par la torture"=> Mais imagine il est maso et il aime ça ?...
"Violer sa femme et tuer ses enfants sous ses yeux." => Sa se trouve tu lui rendrais service , imagine que sa femme lui casse les C*** et que ses gosses soit moches comme des poux...
Ancien utilisateur
c golom lui loll sardo tes grave tes psicopate loll
Ancien utilisateur
Le Palestinien qui a tué trois personnes et en a blessé plusieurs dizaines au volant d'un bulldozer mercredi à Jérusalem a eu pendant trois ans une liaison avec une Israélienne de confession juive, a-t-on appris vendredi. Un fait rare dans une ville où les relations entre arabes et juifs sont quasi-inexistantes.
Dans un entretien publié dans le journal israélien "Yediot Ahronot", la jeune femme, identifiée seulement par la lettre "S", raconte que l'assaillant Hussam Dwayat -qui a été tué dans l'attaque- était le père de son enfant âgé de sept ans.
Dwayat, 30 ans, était marié à une Palestinienne, avec qui il a eu deux fils. Mais il avait auparavant fréquenté cette Israélienne: il s'était "fiancé" avec elle jusqu'à ce que la famille de la jeune femme ne l'éloigne de lui, selon la belle-mère de Dwayat, Hoda Dabash.
L'ancienne petite amie a raconté aux médias israéliens que sa relation avec Dwayat avait commencé il y a 12 ans et a duré plus de cinq ans. Elle ne pense pas que son attaque ait été motivée par l'extrémisme. "Il ne détestait pas les juifs", a-t-elle déclaré au "Yediot Ahronot". "Le problème est qu'il fumait beaucoup de drogue. C'est peut-être à cause de ça", a-t-elle ajouté.
source : nouvelobs.com
Ancien utilisateur
Nath4: j'adore ce que tu peux publier sur le forum ....
Ancien utilisateur
Je pense plutôt que les relations "juifs arabes" ne sont assorties d'aucune publicité, car même si elles restent très marginales, elles existent depuis des lustres. Souvent, la pub c'est un drame d'un côté ou de l'autre.
Il y a sept ans, le herald tribune avait fait un reportage sur la vie d'un jeune homme juif (sa mère l'était) de père palestinien. La maman était partie vivre avec le père; elle avait été rejetée par sa famille. Lorsque les fondamentalistes musulmans ont commencé à prendre le pas sur les jeunes, par peur d'en embrigadement de son fils, le père a divorcé de la mère pour qu'elle et leur fils reviennent vivre avec du côté juif. Le jeune homme a ensuite fait son service dans l'armée israélienne comme pour tout autre juif. Mais il n'a jamais renié son père et a tout fait pour le soutenir - notamment en raison des difficultés de communication ou de travail du côté palestinien.