Gould
Pour les 2 raisons habituelles :
--->J`en rajouterai une troisieme: Du fait du fort pourcentage d`enfant d`origine arabo-musulmane endoctrines a la propagande des medias; il est tres dur voir impossible d`enseigner la choa dans les lycees publics de banlieue.
Gould c'est en expliquant et en faisant découvrir notre histoire que les points de vue peuvent évoluer.
Nethanel...je vois MOINS de menace de les enfants arabo-musulmans que les ptits evangeliste chretiens.
Gould, un probleme que je vois avec l'enseignment de le Shoah dans des ecoles publiques c'est que le plupart de les juifs sepharads ne connait pas profondement l'histoire de le Shoah, ni d'allemagne pre et post war.
faut pas confondre les qq cons qui restent une exception avec l'immense majorité qui ne peut rester insensible devant les images, les films d'époque, les témoignages etc...
encore faut il que tout le monde ai reçu l'instruction sur ce sujet.
nethanel t'as ete journaliste ou enqueteur de personnalité ?
Parce qu'au risque de te vexer tu m'a fait une reflexion la derniere sur la désinformation vu que je ne vivais pas en israel mais tu vis pas en france ??????alors arrete de generaliser et de dire que l'enseignement de la shoah est difficile en banlieue..........
Tous les ans, il y a des voyages qui sont organisés pour la visite des camps et sont compris dedans des élèves de banlieues et d'origines arabo-musulmanes
Je me suis mal fait comprendre : je trouverais ça très utile d'en parler.
Je ne fais, hélas, que citer des enseignants qui témoignent de l'impossibilité de le faire dans ce livre de Brenner. Un rapport fameux de l'Education Nationale sur ce sujet de l'antisémitisme arrive aux mêmes conclusions.
Sheli47
Parce qu'au risque de te vexer tu m'a fait une reflexion la derniere sur la désinformation vu que je ne vivais pas en israel mais tu vis pas en france ??????alors arrete de generaliser et de dire que l'enseignement de la shoah est difficile en banlieue..........
---> mais ma cherie, je suis ne en France et j`y ai grandi pendant 21 ans, ca ne fais que 2 ans et demi que je suis en Israel.
D`autant plus que j`ai grandi en banlieue dans le 93, donc je sais de quoi il en retourne.
Et puis meme si tout ce que j`ai dis s`avere faux, je sais lire quand meme, tu devrais lire les territoires perdus de la republique ecrit par une prof d`ecole en banlieue...
tu devrais voir les interview televises qui en parlent les temoignages des profs qui ont du mal a enseigner la shoa en classe a cause de ce que j`ai dit...
Libi
encore une fois tu critique les sefarades
Nous connaissons l histoire de la shoa et nous connaissons l histoire de l allemagne avant et apres
Quand arreteras tu de croire que nous n avons que tu couscous dans la tete, les ashkenazes ne sont pas les seuls a avoir un cerveau ca se saurais merci
De plus bon nombre de seph sont morts dans les camps ne l oublie pas
Quant au fait d enseigner cette partie de l histoire a l ecole serait un bien pour tous car petit a petit les survivants meurent et il ne faudrais pas que cela tombe dans l oubli nous avons un devoir de memoire, mais c est vrai que lorsque j etais au college et que j ais demande pourquoi les livres et les profs n en parlaient pas personne n a su me repondre.
J espere que les choses vont evoluer car il existe encore des gens qui ou n y croient pas ou ne savent pas tout.
Au début, on n’en parlait pas.
Trop de mal dans les esprits, chacun sa douleur.
Et puis avec le temps, les enfants ont commencé à oublier.
Il a fallu raconter, retrouver les images, les témoignages, pour se souvenir.
La conscience du souvenir.
De nouveau, ils ont recommencé : A oublier, avec le temps.
Alors on a fait des recherches pour retrouver tous les criminels, des procès pour les juger, on raconte encore, scandales. On mobilise.
Plus qu’une conscience, c’est un devoir. Le devoir du souvenir.
Et puis l’oubli ; Le temps qui efface.
Alors on se démène, on sensibilise, on parle des enfants qui ne sont pas revenus, on provoque, on rejoue même les affreux convois.
C’est le temps du souvenir, qui s’en ira lui aussi !
Parce qu’il manque sans doute l’essentiel ; La leçon !
La leçon de la Choah.
Pour que l’on s’en souvienne enfin, il y a la mémoire de chacun, faite de souvenirs, sensible et personnelle. Intransmissible !
Et puis, il y a la mémoire du Peuple, faite de leçons, parce que par essence elle doit être transmise, et que l’on ne transmet que des leçons, pas des souvenirs.
C’est ce que Nos Sages nous enseignent dans le Talmud, dans les Pirké Avot (maximes de nos Pères), lorsqu’ils devaient transmettre à leurs élèves leur expérience de la vie, c’est sous forme de maximes, de leçons qu’ils la transmettaient, mais pas de souvenirs.
La Thora nous enseigne que lorsque les Bné Israël de par leurs fautes sont exilés de leur terre et que celle-ci reste seule, désolée, chaotique, les quelques passants qui s’y aventureront seront marqués par cette déchéance, contrastant avec son passé glorieux, pleine de prospérité et d’abondance.
Parce que rien ne pouvait laisser prévoir apparemment un tel bouleversement.
C’est peut-être une des leçons de la Choah, que personne n’y croyait, pas même les victimes (z ‘’l) ou que l’on ne se sentait pas concerné.
Une situation normale en apparence, comme aujourd’hui.
et encore tu me critiques alya24654
si tu connais telllllllleemmmeennntt sur l'histoire juif ashkenaze, montes-le et avec intelligence