Il n'y a que 2 solutions :
soit tu es POUR la barrière et alors tu acceptes "qu'on ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs", à moins que tu ne soupçonnes la Cour Suprême d'être pro-Palestinienne,
soit tu es CONTRE la barrière et à ce moment -là ce n'est que le juste retour des choses : les Palestiniens indemnisés seront pareillement privés de leur outil de travail, qui s'en soucie ?