Réponse de mon chéri qui est en conversion comme moi : "pour être moi-même".
Réponse de mon chéri qui est en conversion comme moi : "pour être moi-même".
C'es marrant Nath2, pour moi ça a été exactement l'inverse. J'ai dabord décidé et dit oui, puis approfondi ce à quoi j'avais (j'ai) dit oui. Et je continue, ça s'appele l'étude.
Est ce que je peux me convertir? Je suis déjà circoncis.
:o)
Chomer Shabbat Kiwi ????! Tout à fait d'accord avec toi !
Oui, chomer shabbat et chomer mitsvoth (enfin autant que je puis parce que toutes c'est non seulement impossible mais illusoire, mais j'essaie, à la mesure de ma petite personne)
Ma question, ça pourrait être aussi un peu de savoir ce que ça fait lorsqu'en s'intéressant au judaïsme, on découvre les mitsvoth et autres commandements : c'est pas bizarre de devoir, d'un coup comme çà, faire gaffe à ce que l'on mange ? On se demande pas pourquoi le poulet oui et pourquoi le porc non ? Et pour chabbat, ne plus "rien" faire de la journée doit aussi être, sinon bizarre, du moins difficile à respecter.
Pareil pour le premier contact à la synagogue...
Quand on est "dedans" depuis petit, celà semble naturel, par contre le découvrir à l'âge adulte doit faire vraiment bizarre, non ?
Dans le même ordre d'idée, comment ont réagis vos proches à l'annonce de votre conversion ?
Voili c'est un peu le même questionnement posé différemment !
Non Macromik ce n'est pas bizarre. Au contraire, c'est (pour moi) une reconnaissance, le sentiment -puis la certitude? de rentrer chez moi
Mazala , pour te réconcilier avec tes racines t'as la psychanalyse... La conversion c'est pour aimer et craindre D.ieu, donc fais le plus dans ce but, sinon tu vas vite en avoir marre de tes racines.
macromik,
comment ça ne RIEN faire à shabbat ? Vendredi soir syna et repas shabbatique, samedi matin syna (3h) et kiddouch communautaire. Samedi après-midi étude, samedi soir havdala : tu appelles ça RIEN ? Moi je trouve que ce n'est pas de tout repos
Macromik: ce qui est surtout bizarre au début, c'est qu'on est plus zélé au départ et tenté par être "plus juif que juif" (lol). Alors je me suis souvent demandé pourquoi un tel ou untelle ne faisait pas shabbat, ou bien, le faisant avec une famille, pourquoi c'était fait apparemment sans coeur, avec routine, etc... L'étonnement va dans les deux sens...
Car pour moi si ce n'est pas fait avec coeur et et plaisir, surtout shabbat, c'est comme une trahison. Jusqu'à ce que je découvre moi aussi les moments où on pratique sans être pleinement "dedans" mais en respectant quand même, ce qui est aussi important malgré tout, de tenir le cap.