dahaka ta quelque chose contre moi et ma femme libi ou quoi tu veux quoi
t jalous sa ta déranger que on et amoureux tu crois pas a la moure ou quoi
dahaka ta quelque chose contre moi et ma femme libi ou quoi tu veux quoi
t jalous sa ta déranger que on et amoureux tu crois pas a la moure ou quoi
art-l jaime libi pluse que tous
judie mercie t un ange
Momojakob
Oui tu l'aimes plus que nous l'aimons, c'est sur ! ;)
nos gouts different et heureusement encore !
momojakob"""
t jalous sa ta déranger que on et amoureux tu crois pas a la MOURE"""
tu voulais dire Morue non? :p
LA PLUME ET L'OISEAU
Il est une heure du matin.
Je n’ai pas sommeil.
D’ailleurs a quoi bon perdre son temps, un temps si precieux ?
Et puis la vie est tellement plus exitante la nuit !
Un métro passe, ce doit etre ce fameux wagon qui, dernier de la journée, transporte de l’or sous le sol parisien.
Mais enfin, pourquoi ai-je pris la plume ? Elle me démangait il est vrai ! Elle doita voir besoin de courir, de temps à autres et les lignes l’aident a ne pas s’égarée.
Car où irait-elle, si elle n’était pas guidée ? Elle s’envolerait peut-etre, et par l’encoignure de la fenetre s’evanouirait dans la nuit. Elle irait rejoindre un oiseau et s’y blottirait. Elle aurait chaud, et l’oiseau serait content d’avoir une plume nouvelle, et il aurait plus chaud !
Ce doit etre cela : les plumes s’echappent du bureau, échappent à la maison qui les retenait et vont se blottir contre un oiseau pour lui tenir chaud. Ainsi une après une les plumes veuves de mpartout se rassemblent autour de l’oiseau et quand l’oiseau est suffisament paré, il s’envole a sont tour, plus vite et plus loin encore que la plume et lui fait découvrir le monde, ce monde si merveilleux !
Elodie
Comme toute réponse a la méchancetée de certains je répons par la poésie, ma poésie. C'est tout.
LE COLLIER
Un collier dort sur la table.
Il attend.
Il attend d’etre saisi, le jour levé.
Il attend d’etre enlacé autour d’un cou.
Il aime l’idée de retrouvé la chaleur du cou.
Il sait qu’il rehaussera ce cou.
Il aime a savoir combien le cou est joyeux de le savoir enlacé autour de lui.
Et ce sera ce cou et pas un autre. Car il est attaché a ce cou, il l’aime et il est fier de montrer son eclat qui rehausse la puretée du cou.
Mais un jour viendra ou le cou perdar sa puretée et le collier fera tous ses efforts pour le gardé jeune et gai, il tentera de sintillé et de paradé plus que jamais. Mais a quoi bon ? Le cou, malgrés le gentil collier perdra sa fraicheur.
A présent le collier ne dort plus sur la table. Il attend d’etre saisi, le jour levé, mais il sait qu’il ne pourra plus jamais enlacé le cou qu’il chérissait jadis, la le cou n’est plus ….
Elodie
J'ai oubliée de precisé que "Le collier" a été composer la semaine avant le début de Pessah et que depuis, l'inspiration aidant, j'en ai ecrit bien d'autres.
Cyrillette excusez moi mais votre hymne ne veut rien dire du tout.
Carlitoo, si vou esperez me faire la cour par les poemes il faudra faire des progres ! Et de toute facon ce n'esdt meme pas la peine d'essayé, Patrick est quelqu'un de tres précieux !