Mais qu'est-ce qu'ils ont tous à chialer, à faire la tête et à s'engueuler pour un rien ? Cet endroit de rêve où l'on est logé, nourri, blanchi pendant des mois pour faire uniquement ce qu'on aime serait-il finalement un enfer où l'on se retrouve coupé du monde, de sa famille, de toute forme d'affection et de lien structurant ?