La vie : une princesse ou une chienne ?

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Parfois la vie nous comble de bienfaits, et parfois elle nous accable de malheurs : disparition d'un être cher, maladie grave, accident qui vous laisse tétraplégique.
Comment garder alors sa joie de vivre ? Qu'est-ce qui nous donne la force de ne pas en finir tout de suite ?
Les croyants répondront : la foi.
C'est la réponse des autres qui m'intéresse.

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

C'est l'instinct de survie. Cela dit je ne vois pas en quoi cette réponse serait plus celle d'un croyant ou d'un non croyant.

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

La vie est une princesse plutot chienne...

quand aux maux de foi... Il sont dépendant de son alimentation et des soins qu'on procure.

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Euh, je suis croyant, je suis traditionnaliste, mais je vais essayer de répondre quand même, philosophiquement parlant :

Dans la vie, comme tu le dis Nath2, il y a des belles choses et des mauvaises choses...il y a toujours une balance entre les 2, pour établir l'équilibre entre le bien et le mal...sans bien, le mal n'existerait pas, et inversement !
Quand un malheur arrive, décés ou grave accident, on a parfois tendance à oublier le bien et ne voir que le mal, alors que l'équilibre est toujours le même !

Inconsciemment, on peut garder cette envie de vivre en sachant que la vie est aussi faite de bonnes choses !

Et puis paradoxalement, la mort nous rappelle les vraies bonnes valeurs de la vie, alors lors d'un décés d'un proche, c'est dans ce moment-là qu'on s'aperçoit à quel point la vie est importante, qu'on s'aperçoit qu'on est vivant, que c'est une chance, qu'on ne vit qu'une fois, que la vie est courte, et qu'il faut en profiter pour ne rien regretter dans l'antichambre de notre mort...
Pcq quand un proche décède, on a des regrets, des regrets de ne pas avoir vécu plus avec cette personne...et on sait à quel point les regrets sont douloureux dans notre esprit !

Et pour les accidents qui peuvent nous laisser handicapés, c'est pareil...on se rend compte qu'on est plus comme avant, mais qu'on a toujours un coeur qui bat, et c'est le plus important !

Les personnes qui méditent le plus, et qui connaissent le plus la valeur de la vie, ce sont les personnes qui souffrent le plus, pcq on peut atteindre un niveau de souffrance si bas, qu'il nous semble impossible de descendre encore plus, sauf si on meurt...alors inconsciemment on sait qu'on ne peut que remonter, et ça nous aider à aller mieux, et à retrouver une joie de vivre, qui ne laisse que le positif dans notre avenir !

@+

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

le "D" nous a donné pleins choses dont "le pouvoire d'oublier le malheur..."
le jour ou ça arrive tout est noir pour nous ... mais avec le temps ça lui donne du bonheur...
tout comme le ciel Apres la tempete
tout comme le jour apres la nuit
tout comme la vie apres la mort
tout comme la paix apres la geurre
tout comme le bien apres le mal
tout comme le bonheur apres le malheur...

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

pour moi la seule chose qui compte dans ces situations là c'est l'entourage, la présence des amis et de la famille ... si on est seul je ne crois pas qu'on ait la force...

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Nath2
Pas seulement la foi, mais la force et la volonte de vivre pour celui ou ceux qui nous aiment !

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

je pense que les choses grave font parties de la vie
Il faut donc apprendre a vivre avec et ne pas les oublier, car elles font parties de notre experience et intrinsequement de notre vie.

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Comme le dit aznavour dans une de ses chansons :
La vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie.

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Je suis entièrement d'accord avec Joshua74

Forums

partagez et débattez