, le témoignage de Luc Delière Si vous avez un peu de temps pour me lire, je vais vous raconter comment Satan derrière la Franc-Maçonnerie nous a détruits, mon fils, ma mère et moi. Mais nous sommes encore vivants, malgré des tentatives (de notre part) … pour en finir. Car l’épreuve qui nous assaille depuis ma démission définitive de la Loge est longue, très éprouvante, et ce encore à ce jour, 8 ans après.
En 1998 j’ai décidé de rompre avec le Grand Orient. J’étais bien considéré, 20 années de présence, j’y avais de nombreux vrais amis, d’excellents "frères". Mais bien des années avant (1987), je m’étais converti à Christ dans la douleur, pour des raisons familiales, problème de couple, divorce etc... Durant ces événements difficiles, je me suis approché de Jésus, souvent maladroitement mais obstinément, ce qui ne fut guère facile, et tout cela en fréquentant la loge de moins en moins. Un jour j’ai décidé de vivre autrement, d’être en ordre avec Jésus, car il est vrai que je n’avais toujours pas été convaincu de l’impossibilité de fréquenter et la loge, et de vivre avec Christ. Il s’agit pourtant là de deux voies opposées.
A ce sujet, il est intéressant de lire les condamnations exprimées par l’église catholique, ne serait-ce que pour information, car il faut avouer que de ce côté-là, elle a très vite perçu l’orientation diabolique de la F-M, et malgré la mode (morale) qui évolue avec les siècles, sa position reste heureusement inchangée.
Il faut savoir qu’une fois membre rien ne paraît anormal, nous avions tous la conviction d’appartenir à un super club ou seule l’élite (nous) est présente. C’est un aveuglement profond qui de suite nous conditionne à tout accepter, malgré les rituels symboliques qui n’ont rien d’euphorisant, car se retrouver dans une petite pièce sombre, sans fenêtres, les murs peints en noir, pièce dans laquelle se trouve une chaise, une vieille table en bois sur laquelle trône un authentique crâne humain, un stylo et quelques feuilles de papier pour répondre à quelques questions de type philosophique, tout cela révèle une situation trop étrange pour rassurer. Un verre d’eau également pour les plus émotifs. Cette épreuve dure de 1 à 2 heures, voir plus. Tout être sensé et connaissant Dieu devrait au bout de quelques minutes décider de quitter les lieux, et ce, en courant. Mais hélas, l’individu, qui pourtant n’est toujours pas initié (membre) mais seulement observé et interrogé depuis deux ans, (certaines enquêtes peuvent durer plus de 5 ou 6 ans), en acceptant l’éventualité de postuler, l’éventualité d’être reçu, ouvre dès lors une porte qui jamais ne se refermera, car il s’offre à Satan, qu’il en soit conscient ou non, ce fait est inéluctable. Par la suite, il ne cessera lors des divers rituels de passage de grades, d’ouvrir toujours plus l’accès aux œuvres démoniaques qui gèreront sa vie, et qui de fait, auront un impact sur les siens et leur descendance.
Les crânes, les cercueils lors de certain passage de grades, ainsi que bien d’autres bizarreries du même genre ne permettent pas une prise de conscience pourtant logique en ces circonstances. L’individu perd très vite toute notion de bien et de mal, et est complètement régi par la morale maçonnique qui à ses yeux est la seule qui soit sensée. Dans cet égarement, j’ai été approché par un "frère maçon" très sympathique au demeurant, radiesthésiste notoire, qui décela de suite cette sensibilité particulière me permettant d’agir comme lui, voire mieux. Les tests furent faits et réussis, et… voilà comment l’occultisme se greffa à mon athéisme stupide. Comme quoi un malheur ne vient jamais seul.
Cet occultisme m’a rattrapé après ma démission car la précarité de ma vie nécessitait de ma part d’agir, l’épreuve étant longue et particulièrement pénible.
Heureusement, j’ai vécu avec Jésus Christ une expérience extraordinaire, il m’accorda subitement la nouvelle naissance en l’année 2005. Cette expérience est en soi un autre témoignage, tellement extraordinaire, mais ce n’est pas le sujet d’aujourd’hui. Toutefois quelques mots, car Jésus s’est emparé de moi ce jour-là avec force et puissance, et cela en accentuant les faits par le baptême de Saint-Esprit, la prière à voix haute (peu importe l’entourage), des visions, etc. Il m’a interpellé pour m’interdire formellement toute action occulte, radiesthésie, et dès ce jour, j’ai pu rompre instantanément et définitivement avec cette partie d’héritage maçonnique. De cela, de cette période, il reste d’ailleurs des traces sur le net qu’il m’est impossible de supprimer malgré mes nombreuses démarches auprès des sites en question, mais après tout, qu’ai-je à cacher puisque ma vie désormais appartient à Christ. J’ai été guéri miraculeusement récemment, d’une douleur persistante, présente depuis plus de quarante ans. Aucune intervention chirurgicale n’était envisageable pour apporter une amélioration.
À un certain moment de la vie maçonnique, des initiations particulières sont réalisées pour ceux qui courent derrière les grades et se font une fierté d’arborer des décors de plus en plus précis. Nul n’est à l’abri de l’orgueil, de la vanité, du syndrome du pouvoir. Et le pouvoir s’obtient très vite, quelques grades plus haut, sans devoir pour cela atteindre les sommets. Le 3ème grade déjà (maître) vous permet d’être membre de la commission et d’évoluer vers la position de "vénérable maître", patron de l’endroit pour 4 ans. Avec tous les pouvoirs. C’est en progressant vers les "hauts grades" que des révélations de plus en plus ténébreuses devraient permettre de prendre conscience de l’absurde de la situation, et pourtant l’aveuglement reste constant. Personne ne réagit !
Il n’est possible de réaliser la réalité de tous les liens de ce mauvais choix que lorsque l’on en est sorti de manière définitive et non "en sommeil".
Et en sortir, voilà le problème. En fait, il n’existe qu’une seule façon de faire, c’est la "mise en sommeil". D’ailleurs si vous rencontrez des maçons qui ont démissionné et qui n’ont rien vécu de particulier, si leur vie a continué sans accroc, sachez qu’en fait ils sont toujours maçons, en congé tout simplement. Car si des années après, ce qui arrive dans la plupart des cas, ils décident de retourner voir les "frères", il leur suffit de frapper à la porte, plus besoin d’enquête, d’examen, de vote, d’initiation. Bienvenue mon frère, reprends ta place.
Pour ma part, ou j’écrivais un discours, ou quelques lignes très précises. En 3 ou 4 lignes ce fut chose faite. J’ai bien précisé "pas de mise en sommeil" mais une "démission définitive", avec l’interdiction de mon vivant (et après) d’approcher mon fils afin de le corrompre.
Je dois dire que jamais je n’ai eu d’ennuis avec Pierre, Paul ou Jacques, veuillez m’excuser du choix de ces prénoms. L’ennemi invisible s’est occupé de moi sans utiliser qui que ce soit (à ma connaissance), il s’est simplement servi des circonstances de la vie. J’étais un homme d’affaire prospère, 2 sociétés, 15 salariés, plus des sous-traitants, une villa de luxe, Mercedes, et tout ce qui va avec. L’année suivante j’avais des contrats pour des montants extrêmement importants. Je touchais au but que je m’étais fixé lors de ma jeunesse, ayant tout fait pour sortir du milieu ouvrier qui était le mien.
En quelques mois tout à été perdu, sans faillite, ce qui déjà n’est pas courant, des faux sont apparus dans ma comptabilité, ma villa a brûlé, j’ai changé de voiture, une Jaguar sport… Je l’ai gardée 6 heures, accident incompréhensible : 20 ans sans accident et pourtant plus ou moins 80.000 km par an. J’ai voulu faire expertiser la voiture mais impossible, perte totale. Ennuis avec la police, ils m’ont battu pendant des heures, une nuit au poste, plainte de ma part, des années plus tard tribunal, séance reportée deux fois, puis à la troisième ils mentent et ont des versions contradictoires sous serment, 4ème séance, je suis condamné 1.500 € d’amende et/ou 2 mois de prison. Voilà les anecdotes. J’oubliais, pour l’incendie l’assurance a payé, mais quelqu’un s’est emparé de l’argent sur mon compte, et…. pas de suite.
Mon fils n’a pu faire d’études, moi sans travail, impossible de rembourser le moindre petit crédit ridicule, j’ai été fiché, j’ai connu la valse des huissiers, etc. Et évidement, les banques c’est fini, plus question de négocier un prêt ni d’avoir une relation d’affaire avec elles. J’ai encore la force et la volonté de recommencer. 54 ans ce n’est pas dramatique, mais pas moyen pour l’instant de mettre le pied à l’étrier.
Aujourd’hui, malgré toutes mes démarches, je subis encore d’énormes oppositions dans ma vie. Mes dettes seront entièrement réglées d’ici un ou deux mois, alors que l’argent est au service de médiation judiciaire depuis plus d’un an… Aujourd’hui j’ai une allocation qui permet de manger et de payer le loyer d’un appartement minable dans un quartier qui l’est tout autant.
Voilà les dégâts qu’impose l’ennemi à ceux qui le quittent. Pas facile tout ça, pas facile du tout, mais il faut être conscient de cette réalité et agir si on le peut.
Après ma démission, j’ai recherché la délivrance pour couper tous les liens démoniaques dont j’étais victime ainsi que ma descendance.
L’ennemi est là, bien présent, et pour une fois on peut le désigner du doigt, le dénoncer matériellement, concrètement. Il ne faut pas se voiler la face, mais au contraire se dresser et combattre car nous ne sommes pas de son parti, voilà ce à quoi j’invite tous les "maçons", fuir le mauvais combat, décider de faire le choix qui sauve et non celui détruit malgré les apparences trompeuses.
Dieu est un Dieu jaloux et ne nous autorise pas à nous soumettre corps et âme en dehors de lui. Or Dieu n’est pas évoqué en Franc-Maçonnerie, car on laisse le libre choix à chacun de créer son propre dieu, via le "Grand architecte de l’univers" qui n’est autre que la liberté luciférienne, l’offrande de sa vie à l’ennemi, un pacte symbolique avec le diable.
J’aime à penser que toute cette démarche qui a bouleversé ma vie, m’a permis de quitter le "grand architecte" pour le "petit charpentier".
Il m’arrive souvent de me souvenir avec émotions des amis que j’avais là-bas. Je prie pour eux car ils ne sont en rien (pour la plupart) conscient de cet emprisonnement. Excepté s’ils ont atteint les hauts grades, là ils savent !
Je pense souvent à Paul et son épouse M, à un autre Paul (domaine de la construction) cet ami qui un jour m’a aidé, à André (poète et écrivain), à un autre André et son épouse qui adhéra, elle aussi à une loge féminine, à Etienne et son épouse F, Etienne également un jour m’a rendu service tout comme son épouse, je n’ai rien oublié. S’ils me lisent, qu’ils sachent tous que je prie pour eux.
Luc Delière
lucdeliere@yahoo.fr
Ps : je n’utilise pas de pseudo car ce serait lâche dans ce cas ci. De qui aurais-je peur si le Seigneur est avec moi ? Certains en profiteront pour me salir, mais d’autres auront besoin de moi pour les aider à sortir de l’horreur, il est bon pour eux qu’ils sachent me joindre.