encore ceci : ce rapport amour/haine, on le trouve partout (vis à vis de sa famille, peuple, culture, pays, couple, passion, n'importe quoi) et je ne crois pas qu'il y ait de réponse unique à cette névrose.
antisemitisme et trouble de l'identite
kiwi ce que tu dis de nath 2 me touche et juste sur le plan qui me preoccupe. Oui j'ai peut etre eu tord et je l'espère, en tout cas par risque de mejuger je ravise ma facon de penser et me range derriere cette belle analyse que tu fais du: questionner pour heurter et etre contredit et avoir les arguments valides pour accepter quelques choses.
Si c'est bien la sa demarche c'est bien entendu acceptable je ne l'avais pas vu sous cet angle, tu parle aussi d'une souffrance intérieure qui fait poser les question autrement et cela aussi je peux l'entendre et le saisir.
Je ne sais pas si c'étais ton objectif mais tu viens de me convaincre de m'abstenir de tourner en dérision ce qui m'apparaissait comme des attaques dans sa demarche.
Je ne suis pas obtu je sais entendre et je remercie celle qui m'a fait entendre une autre facon de comprendre. Todah
J'ai envie d'ajouter un truc et de vous poser une question qu'il va falloir prendre avec des pincettes et du recul, surla question du mal et de l'antisémitisme, d'un point de veu spirituel:
Est-ce que les gens mauvais (par exemple) les antisémites) n'existent pas pour nous tester? Pour nous obliger à devenir meilleur et nous obliger à rafermir en nous nos valeurs humanistes, de façon très concrète (en l'occurence, la pratique du judaisme)?
moi je vois ça vraiment comme un yetser hara déguisé pout nous happer dedans tout cru, en sautant dans la haine avec lui
oui c'était l'objectif, merci pour Nath d'avoir entendu et pour moi-même au passage. Quelqu'un a dit sur ces forums que la haine ou l'agression c'est toujours la marque d'une souffrance (qui?). Bigre que c'est pas facile de voir ça quand on prend des insultes dans la tronche ou qu'on est remis en question, j'ai pas toujours envie de faire cet effort non plus tu sais.