Eh bin...
Manquerait plus qu'être intello relève du fait d'être versé dans la torah et les histoires hassidiques!
Me faites pas rigoler comme ça pendant mon café du matin, je risquerais de m'étouffer... Et en plus le chat sur mes genoux (à défaut d'une femme, c'est toujours sympa) va être effrayé.
je veux pas choquer les jeunes mais le cri le plus poignant c kan ta copine ......... : )
Si le rabbin de Kotzk avait accouché sans péridurale, il l'aurait laissé sortir son cri : ah ces hommes !
tsimbler , quel soupaulait !!
c'est vrai qu'un chat ou une chatte sur tes genoux , c'est ce qu'il y a de plus chaud parfois .
Le silence peut-il être toujours interprété avec "justesse" ?
Il paraît que "qui ne dit mot, consent"... Je ne partage pas cette assertion. Réduire le silence à simple une acceptation tacite serait très réducteur.
exact alain, on disait 'ailleurs de ce même rabbi, que même quand il parlait, il ne brisait pas le silence. Ce silence redempteur, lourd de sens ou de non sens. Mais silence chargé tout de même. Silence qui n'est pas manquede parole, mais etre en soi.
haim potock s'en est inspire dans "l'elu", avec son "rabbin h'assidique".
Kaubi, plutôt théaubrocoli en fait, mais c'est sensiblement la même.
j'aimerai bien être un chat parfois...
Mayane,
dans ce cas là , faut que ce soit un chat de chez moi, parce qu'imagine que tu te retrouves chat dans les ruelles de Marakech ou du vieux Jerusalem... Ce serait moins fun et moins confartable!