les femmes dans la bible

Noa'h et jenny Schemba
Noa'h et jenny Schemba

Ouvrage machiste, la femme doit se taire???

lisez un peu, etudiez beaucoup et vous verrez que 9 Tzadikim (justes) sont entres de leur vivants au Gan Eden parmis eux Sera'h (une femme)
(Midrash Berechit)

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Qui as prononcé mon prenom en vain ??

:p

Choussar ? !

lol

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Comme je ne prétends pas avoir aucune autorité en terme de Torah, alors je me permet juste de relever quelque phrases par ci par là.


" 9 Tzadikim (justes) sont entres de leur vivants au Gan Eden parmis eux Sera'h (une femme)" Ca fait un sur neuf c'est loin d'être une stat en faveur de la parité

"On ne peut qualifier la Thorah d'un quelconque adjectif !
Elle est comme Elle est ! Point !" : Et celui qui pense le contraire il passe à la guillotine ?


"la thora attribue des qualités ou fonctions particulieres aux femmes et aux hommes," Le déterminisme fonctionel lié au sexe de l'individu n'est il pas un peu comme un conditionnement qui mène à l'aliénation ?

"Dans la Thora on compare souvent les femmes a des joyaux, a des perles. Je ne vois pas de machisme !" C'est sûr que comparer les femmes à des cailloux (joyaux) ou à de concrétions de cooquillages(perles) n'est pas machiste du tout

"La tradition juive considère la femme comme étant plus réparée que l'homme." Et l'homme est plus cassé ?

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Joshai

Je suis tout à fait d'accord avec toi quand tu dis que la Thora protège et avantage la femme à bien des niveaux.

On La dit Machiste aujourd'hui, parce que nous n'acceptons pas le fait que la femme ait son role a jouer à la maison, et qu'il soit très important pour la famille qu'elle y reste !

En ayant les deux parents qui travaillent à l'extérieur, les enfants ne communiquent plus avec leurs géniteurs et on voit ce qui arrive, la cellule familiale explose (pour reprendre ton expression).

Je trouve que son rôle au sein du judaïsme est mmagnifique. Il faut étudier pour meiux comprendre.

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

ashkedavid

Si ca ne marche pas dans la musique lance toi dans un cabaret, comme humoriste !!!

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

"Qui as prononcé mon prenom en vain ??"

Euh, ça va, la tête, t'arrives encore à passer les portes ? lol
D'abord, ce n'est pas moi qui ai commencé. Ensuite ce n'était certainement pas en vain... pour le sanctifier, peut-etre (je trouve que c'est un super beau prénom) !

kol touv

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Joshai orthographies-moi mieux stp ! Qu'est-ce que j'ai écrit de drôle ? Tu as un commentaire à mon commentaire ? Fais nous en part.

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Ashkdavid

J'ai constate que sur le forum tu est souvent satirique, d'ou l'invitation a ce que tu fasse un one man show, quoique tu es sur la bonne voie, puisque tu l'as commence ici !! ;-p

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Joshai, les extrait que j'ai choisi et commentaires devraient t'inciter à réfléchir et à argumenter ... même si c'est drôle. C'est des femmes et de la bible qu'il s'agit pas de mon humour. ...

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Quand Adam dit, à la vue de sa femme :
Celle-ci, cette fois, est un membre extrait de mes membres et une chair de ma chair... (Genese, 2,23), il exprime par la là différence fondamentale entre le role de la compagne chez l'homme et chez l'animal.
Tous les animaux, certes, ont été créés par couple, male et femelle, mais le lien entre le couple est accidentel et n'a pour but que de contribuer à la reproduction de l'espèce.
La femme, elle, est la collaboratrice fidèle de l'homme ; elle est véritablement un membre extrait de l'homme.
C'est pour cela qu'elle se nomme "Ichah" (issue de "Ich"-Homme).
Elle est associée à l'homme, a son mari, dans toutes ses activités. Aussi nos Maîtres nous enseignent qu’un homme non marie ne mérite pas le nom d’homme (Talmud Babli. Traité Yabamoth). Il n’est, en effet, pas un homme parfait, tant qu’il n’a pas de compagne qui le complète.

Le rôle de la femme est donc de parfaire l’homme, de s’associer pleinement à lui dans toutes ses occupations. Il doit exister une influence réciproque de l’homme sur la femme et de la femme sur l’homme en vue de parvenir à un couple harmonieux. L’homme et la femme doivent être associés non seulement dans la création des enfants, mais également dans leur éducation. La femme sera « l’auxiliaire » du mari, coopérera avec lui et, de la sorte le complétera.

Nos sages disent que Dieu a doué la femme d’une intelligence particulière, dont serait dépourvu l’homme (Talmud Babli. Traité Niddah)
Les commentateurs s’interrogent à ce sujet, et se demandent si cette sentence ne contredit pas d’autres affirmations reprochant aux femmes d’être irréfléchies. Cela signifie, me semble-t-il, que la perspicacité que l’expérience, les nécessités de son travail donnent à l’homme, la femme la possède intuitivement, naturellement en quelque sorte.
En cela réside la supériorité de la femme, et cela n’exclut pas nécessairement l’irréflexion : un homme aussi, quoique doué de bon sens, peut, dans certaines circonstances, faire preuve d’étourderie ; chez nous les femmes, cette précipitation dans les jugements peut être plus fréquente du fait que notre mode de vie est différent de celui des hommes.

En définitive, il apparaît incontestable que la Loi juive accorde une importance particulière au rôle de la femme : elle occupe, au sein de la société et de la nation, une place d’honneur, semblable à celle de l’homme ; elle est apte, -grâce à l’intelligence dont elle est douée- à agir, de façon constructive, au sein du foyer et dans le domaine qui est le sien : contribuer à l’épanouissement des facultés intellectuelles du mari et à l’éducation des enfants, en les engageant sur la voie de l’étude de la Loi et des valeurs morales. C’est cela que l’Ecriture définit : « l’enseignement de la mère », quand elle recommande : N’abandonne pas l’enseignement de ta mère. (Proverbes, 1. 8). En adoptant cette conduite, la femme méritera alors qu’on dise à son sujet : Ses fils se lèvent pour la proclamer heureuse, son époux, pour faire son éloge. (Ibid., 31.28)

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