En réalité, il n'est nul besoin de chercher une explication au comportement particulier des palestiniens ailleurs que dans les mots même de « Palestine » et « palestinien ».
En arabe littéraire, le mot « Palestine » est une combinaison de deux mots : « falas » et « tin », reliés par un « s » employé (dans la langue arabe) comme conjonction de coordination.
Or, en arabe, « falas » signifie « faillite », c'est-à-dire l'échec complet d'une entreprise, et le mot « tin » signifie « boue » mais également « terre argileuse », c'est-à-dire terre infertile.
Ainsi, en langue arabe, le mot « Palestine » n'est rien d'autre que la « faillite de la terre argileuse » ou encore « de la terre non fertile » comme si le terme « Palestine » correspondait exactement au sort que se réservent eux même les palestiniens.
Pour ce qu'il en est de la « faillite », les réalisations palestiniennes parlent d'elles même : la société palestinienne érige ses valeurs dans la haine et la mort à travers un système idéologique dans lequel «la cause» transcende «la vie», peu importe sa justesse. Bien évidemment, et sans qu'il ne soit nécessaire de rattacher ce fonctionnement humain à une prévision religieuse particulière, un tel système est voué à l'échec.
Par ailleurs, « la terre argileuse et infertile » est la population arabe locale elle-même que les vendeurs de haine déshumanisent et plongent dans le désespoir et la désolation pour en faire des barbares dociles et soumis. En d'autre terme, la population arabe locale, par essence humaine, est déviée du sens fondamental de l'humanité tout en étant convaincue que l'entreprise participe d'un projet divin.
De cette terre, il ne sortira rien.
Il appartient donc à la population arabe de la bande de Gaza et du Judée Samarie de se libérer de cet enfermement intellectuel dans lequel elle se trouve cantonnée, c'est-à-dire se libérer de cet objectif qu'est « la faillite de la terre infertile », assigné par les idéologues de la mort.
Pour ce faire, il faut commencer par sortir de ce statut de « palestinien ».
En effet, le mot « palestinien » est issu du mot « phlistim » (en français philistin) qui se traduit par en arabe par « envahisseurs ».
Or, tant que les populations arabes de Gaza et de Judée Samarie se prendront consciemment ou inconsciemment pour des « envahisseurs », ils ne pourront recouvrer les valeurs humaines et vivre harmonieusement avec les voisins juifs.
La tâche est d'autant plus urgente à entreprendre que les fondamentalistes palestiniens tentent d'entraîner la population arabe d'Israël vers ce « destin palestinien » c'est-à-dire vers ce statut d'« envahisseurs » de l' intérieur.
Il appartiendra, comme toujours, à Israël d'aider les populations arabes à se dégager de cette spirale infernale mais avant d'y parvenir, il sera nécessaire de conserver un strict contrôle juif de l'Etat, quelque soit la composition de la population locale.