Ce qui m'inquiète maintenant c'est la montée des tensions entre communautés, j'ai peur que pour le bénéfice de la bourgeoisie, on aille vers la guerre civile intercommunautaire, peut importe son intensité. Il faut relancer le combat contre toutes les discriminations et passer du piteux antilibéralisme a un véritable anticapitalisme.
Ancien utilisateur
Il ne faut pas non plus oublier que les premières victimes de violence racistes en France sont tout de même les Musulmans, les sans-papiers et les personnes d'origine immigrées, Noires, Basanées, Roms, surtout, et autres personnes visibles. Il ne faudrait pas que la médiatisation des crimes (présumés, l'affaire n'ayant pas encore été jugée) de Fofana aboutisse a renforcer les préjugés post-coloniaux et a éludé la question des rapports de domination Nord-Sud en stigmatisant encore plus par des amalgames nauséeux, les Musulmans. Le tout pour le plus grand bénéfice des fouteurs de guerre néo-conservateurs. J'ai peur qu'en jouant avec les angoisses ont suscite dans notre communauté une réaction... droitière.
Ancien utilisateur
Du reste en matière d'antisémitisme, je suis d'avantage inquiet vis a vis du Front National.
Ancien utilisateur
la haine contre les juifs augmente partout en europe
Ancien utilisateur
Du reste en matière de trollisme, je suis d'avantage inquiet vis a vis d'Eqal.
Ancien utilisateur
Du reste en matière d'antisémitisme, je suis d'avantage inquiet vis a vis du Front National.
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Je n'inquiètes pas pour le FN, au moins pas trop, mais quand nous verrons les islamistes et leurs idées impregnés avec l'haine de l'étrangère, et surtout les juifs.......ça....c'est inquiètant.
Ancien utilisateur
Egal
"Je ne comprend pas comment on peut se dire Marxiste en ayant confiance en la Justice bourgeoise d'un pays capitaliste?"
C'est sûr que les tribunaux staliniens étaient réputés pour leur sens de la justice et d'amour de l'humanité...
Ancien utilisateur
Il est vrai qu'entre le Bétar, la LDJ et Avidgor Liebermann, notre communauté est de moins en moins crédible pour se plaindre de racisme. Il seraît temps pour ne pas dire urgent, de faire la chasse aux fachos dans nos rangs. On sera plus crédible quand on voudra le faire ensuite chez les autres.
Ancien utilisateur
je suis pas etonner qu il ya beaucoup d antisemitisme en france , si tu regarde sur internet les plus grosse populations qu on immigres en france apres la deuxieme guerre mondial , tu poura voir qu il ya parmis ces population une grosse partie d italien et et d allemand , deux pays neo nazi pendan la seconde guerre mondial , il parle de plus de 500000 imigres pour chacun de ses deux pays.,
Ancien utilisateur
Tout est mortel, sauf le Juif. Quel est le secret de son immortalité ?
Le secret de l'immortalité des Juifs
Le peuple allemand a une longue histoire concernant son passé nazi.
Le 13 avril dernier, Günter Wilhelm Grass, l’écrivain, poète et dramaturge allemand, lauréat du prix Nobel de littérature en 1999, est décédé.
Plus qu’aucun autre Allemand, il illustre l’attitude ambivalente de l’Allemagne envers son passé. Grass a fouillé le passé de l’Allemagne, tout en cachant le sien en tant que membre dans les Waffen-SS. Il n’a pas été le seul Allemand à cacher son passé nazi ; mais sa confrontation courageuse du passé de son pays et la révélation de sa propre participation ont causé un moment de réflexion profonde sur la nature humaine, aussi bien en Allemagne que dans le monde entier.
Au cours des dernières années de sa vie, il est devenu antisioniste, et a publié un poème intitulé « Ce qui doit être dit ». Concernant l’accusation de Grass contre le sionisme, le Prof. D.G Myers a dit qu’elle a été l’expression d’«un nouveau antisémitisme européen qui prétend n’être que de l’antisionisme ».
Cette année, vu la montée de l’antisémitisme dans le monde, l’Allemagne a fait une déclaration frappante au sujet de son passé. Mais le temps passe, et les juifs aussi bien que les non-juifs cherchent à mettre le passé derrière eux et à tourner la page. Le désir de « passer à autre chose », en ce qui concerne la Shoah, est devenu si tangible que le 25 janvier dernier, Journée internationale commémorative de l’Holocauste, la BBC a posé sur sa page Twitter « Les Grandes Questions »: est-il temps d’enterrer l’Holocauste?
A mon avis, ni le remord, ni le reniement, ni l’humiliation de la Shoah, n’empêcheront son retour. Je pense qu’une manière plus constructive d’y faire face est de comprendre pourquoi elle s’est produite, et quoi faire pour éviter qu’elle ne se reproduise. Aujourd’hui surtout, alors que le monde est submergé par une nouvelle vague d’antisémitisme, il est impératif que nous tirions notre leçon et que nous prenions des mesures pratiques pour éviter une autre tragédie.
L’Allemagne n’a pas inventé l’antisémitisme. Les juifs ont été persécutés tout au long de l’histoire. Et pourtant, simplement se souvenir des persécutions et des exécutions, n’empêche pas de futures atrocités de se produire. Nous devrions donc nous interroger :
1) Pourquoi se rappeler n’a pas empêché de futures persécutions ?
2) Qu’est-ce qui évitera la prochaine catastrophe ?
Et le plus important,
3) Si tant de nations ont essayé d’anéantir les juifs pendant tant de siècles, pourquoi ont-elles toutes échoué?
Durant des siècles, les érudits, les artistes, le clergé, et les politiciens ont réfléchi à la question de la permanence des juifs. Le philosophe Blaise Pascal a écrit que : « En dépit des efforts déployés par de nombreux rois puissants qui ont cent fois essayé de détruire (les juifs) … ces derniers ont quand même été préservés ». Le célèbre romancier Léon Tolstoï a contemplé poétiquement la persévérance des juifs : « De quelle sorte de créature unique s’agit-il, que les gouverneurs de toutes les nations du monde ont déshonorée et écrasée et exilée et détruite, persécutée, brûlée et noyée, et qui, malgré leur colère et leur fureur, continue à vivre et à s’épanouir ? ».
Sur la même note, l’historien Cecil Roth a écrit : « A chaque fois, dans son histoire, (le Juif) a été sauvé du désastre d’une manière qui ne peut être que « providentielle » .
Mark Twain, lui-même, a exprimé son admiration envers la survie des juifs : « Les Egyptiens, les Babyloniens et les Perses se sont élevés, et ont couvert la planète de splendeur, et puis ils se sont effacés dans un rêve et ont disparu ; le Grecs et les Romains ont suivis, … et ne sont plus. …Le juif les a tous vus, les a tous battus, et se retrouve aujourd’hui comme il s’est toujours trouvé…. Tout est mortel, sauf le juif ; toutes les autres puissances passent, mais il demeure. Quel est le secret de son immortalité ? ».
Alors, pourquoi survivre dans des conditions de persécution et de tourments incessants?
Ce n’est pas par hasard que les juifs sont persécutés. Les juifs ne sont pas des boucs émissaires, comme certains le croient. Ils sont la cible de ceux qui les haïssent et qui les blâment pour leurs malheurs. Les juifs sont tenus responsables de tous les maux du monde, même dans les pays où pratiquement aucune population juive n’existe (par exemple en Corée du Sud).
Bien que sur le plan personnel, les antisémites puissent se lier d'amitié avec les juifs, lorsque l'on considère les juifs en tant que groupe ethnique ou religieux, la majorité du monde est contre eux et leur reproche à peu près tout ce qui va mal dans le monde.
Pour éradiquer, ou au moins atténuer l'antisémitisme, un autre élément est nécessaire, quelque chose pour répondre directement aux accusations des antisémites contre les juifs. Lorsque nous fournirons cet élément, je crois que nous saurons alors comment prévenir la prochaine catastrophe.
Il y a toujours un prétexte à la persécution des juifs. En général, c’est à cause d’un tort inexcusable que les juifs ont apparemment perpétré contre la société. Les accusations varient, mais le scénario de blâme, et puis de l'expulsion ou de la destruction des juifs, reste inchangé.
La cause de l'antisémitisme persistant ne relève pas de circonstances passagères, mais du rôle du peuple juif, de la raison de son existence. Le célèbre écrivain et homme politique allemand, Johann Goethe, a écrit que « Chaque juif, aussi insignifiant soit-il, poursuit un but décisif et immédiat ». De même, l'historien, T.R. Glover, a écrit: «L'histoire de nul autre peuple ancien ne serait aussi précieuse, si seulement nous pouvions la restituer et la comprendre. ... La question principale n’est pas «Que s'est-il passé?», mais «Pourquoi est-ce arrivé? » « Pourquoi le judaïsme existe-t-il ?"
En effet, il y a un but et une raison à l'existence des juifs et du judaïsme. Le peuple juif a été fondé en une nation quand ses membres ont réussi à surmonter une montagne de haine, connue sous le nom de Mont Sinaï (du mot hébreu, Sin’ah [haine]). Ils y ont réussi en s’unissant « comme un seul homme dans un seul cœur ».
Parallèlement à cette unité, ils se sont engagés à être « une lumière pour les nations », à savoir partager avec le reste du monde leur capacité de s’unir. Malheureusement, le contraire s’est produit, les juifs ont sombré par inadvertance dans l'égocentrisme et l'égoïsme, connus dans les écritures hébraïques comme « la haine sans fondement » (la haine sans cause), et ainsi leur « lumière d'unité » s’est atténuée.
Bien qu'ils aient perdu leur capacité à maîtriser leur ego, ils ont gardé au plus profond d’eux-mêmes leur capacité à se connecter, et s’en servent à présent à des fins mondaines. En conséquence, les juifs excellent souvent dans le commerce, la politique, et tout ce qui a trait à la compréhension des systèmes et des connexions. Mais ce faisant, ils suscitent contre eux l'hostilité des nations qui sentent qu'ils détiennent un secret sans le partager, profitant ainsi d’un avantage injuste. Aussitôt, l'antisémitisme en résulte.
L’ancien président de l’université Brandeis, le Prof. Jehuda Reinharz, a écrit dans son livre Living With Antisemitism: Modern Jewish Responses: « L’exemple le plus frappant de l’échec de la réaction politique juive à l’antisémitisme est l’impuissance à surmonter la fragmentation des juifs ». Dans une déclaration encore plus alarmante du même livre, Prof. Reinharz écrit : « Même dans les années 1930, lorsque l’antisémitisme augmenta rapidement (en Allemagne), l’unité juive était un slogan politique plutôt qu’une réalité ».
Il n’y a qu’une solution à ce problème : les juifs doivent réapprendre à utiliser leur capacité de s’unir, non pas à des fins mondaines, mais pour créer la cohésion profonde qui en avait fait une nation au pied du Mont Sinaï. Ainsi ils deviendront un exemple de solidarité pour le reste du monde.
Chaque Juif possède en lui cette qualité d’union, et puisqu’elle s’y trouve, elle peut être réactivée. Il ne dépend que de la volonté des juifs de l'éveiller.
Une fois que les juifs s’uniront, ils seront un exemple pour le monde, et ils montreront comment il est possible de transformer les relations égocentriques qui prévalent à travers l'humanité en une préoccupation mutuelle. Ce sera finalement la réponse à la question concernant la persistance des Juifs à travers toutes les persécutions.
Les atrocités de la Seconde Guerre mondiale ont marqué non seulement les juifs, mais toute l'humanité, en particulier les Allemands. L’ambivalence apparente de Günter Grass envers les juifs peut être comprise uniquement lorsque nous comprenons leur rôle. Quand les Juifs commenceront à remplir leur rôle, et que les nations les encourageront à poursuivre, c’est-à-dire à s’unir afin de donner l'exemple, il n'y aura plus de persécution, ni de haine, et les holocaustes disparaîtront