Les arabes oppriment les berbères et les juifs même en France

Ancien utilisateur
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Emoboy

exact l ami ,je confirme
c etait Beyazid II notre bienfaiteur il a declaree a l epoque en parlant de l expulsion des Juifs d Espagne """ et vous dites que vos rois sont intelligents?,pourtant ils se debarrassent de gens intelligent et utiles,donnez l ordre a mes gouverneurs de faciliter ,de tout faire pour sauver ces gens!,qu ils soient le bienvenu dans notre empire(.......)""
en remerciement les Juifs livreront , quelques annees plus tard ,au Ottomans Turcs ,le secret d un alliage de metal inedit qui va permettre au canons Turcs de tirer des obus plus puissant,ce qui va donner aux Turcs un avantage certains sur les Chretiens sur les champs de bataille.......
shavoua tov

Ancien utilisateur
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y'a même des gars qui se font chier à copier coller des articles entiers d'encyclopédies et d'articles bidons!!

sérieux y'en a qui ont vraimenr rien à foutre dans leur vie.

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

ben tiens, comme moi aussi j'ai rien à foutre, je balance:

La terreur islamique commença dans les îles britanniques lors du « terrible été de 1625 » quand des corsaires esclavagistes nord-africains envahirent et dévastèrent les côtes sud de l'Angleterre, et hissèrent même pendant un bref instant l'étendard de bataille vert de l'islam sur le territoire anglais, un étendard sur lequel était inscrite la terrible promesse : « Les portes du Paradis sont à l'ombre des épées ».

Sur les côtes de Cornouailles, du Devon, du Dorset et d'Irlande du Sud, les corsaires islamiques tuèrent et pillèrent des villages entiers pour les vendre comme esclaves dans l'empire islamique d'Orient.

En 1625, les marchands d'esclaves retournèrent ensuite à Alger - dans ce seul raid - avec un millier d'hommes, de femmes et d'enfants britanniques à vendre comme esclaves. Au total, les pirates islamiques nord-africains enlevèrent et réduisirent en esclavage 1,3 million d'Européens blancs entre 1530 et 1780 dans une série de raids qui dépeuplèrent les villes côtières, de la Sicile à la Cornouaille.

Pour que la population esclave reste stable, environ un quart devait être remplacé chaque année, ce qui pour la période de 1580 à 1680 signifiait environ 8.500 nouveaux esclaves par an, arrivant à un total de 850.000 esclaves. La même méthodologie suggère que 475.000 furent enlevés dans les siècles précédant et suivant. De 1500 à 1650, quand l'esclavage transatlantique était encore à ses débuts, il y eut probablement plus d'esclaves chrétiens blancs emmenés chez les Barbaresques que d'esclaves africains noirs aux Amériques.

D'après une estimation, 7.000 Anglais furent enlevés entre 1622 et 1644, beaucoup d'entre eux étant des équipages et des passagers de bateaux qui furent interceptés et capturés par des marchands d'esclaves.

L'impact de ces attaques sur les nations européennes attaquées par les pirates meurtriers fut dévastateur - la France, l'Angleterre et l'Espagne perdirent chacune des milliers de bateaux, et de longues étendues des côtes espagnoles et italiennes furent presque complètement dépeuplées et abandonnées par leurs habitants. Des villages entiers de ces pays furent vidés de leurs habitants emmenés en esclavage. A leur apogée, la destruction et le dépeuplement de certaines régions européennes excédèrent ce que les esclavagistes européens infligeront plus tard à l'intérieur africain quand les esclavagistes africains vendront leurs compagnons noirs aux esclavagistes européens. A cette époque, l'Europe vivait dans la peur de l'islam.

Bien que les centaines de milliers d'esclaves chrétiens furent principalement enlevés dans les pays méditerranéens, les effets des raids esclavagistes musulmans furent ressentis beaucoup plus loin et durant la plus grande partie du XVIIe siècle l'Angleterre perdit au moins 400 marins par an du fait des marchands d'esclaves islamiques. Les Américains ne furent pas épargnés. Par exemple, un esclave américain raconta que 130 autres Américains avaient été réduits en esclavage par les Algériens en Méditerranée et dans l'Atlantique rien qu'entre 1785 et 1793.

Mais les corsaires n'interceptaient pas seulement les navires au milieu de l'océan ; ils débarquaient aussi sur les plages non gardées, souvent de nuit, pour s'emparer des villageois endormis. Cela se passa dans des parties de la Cornouaille et presque tous les habitants du village de Baltimore, en Irlande, furent capturés en 1631, et il y eut d'autres raids dans le Devon. L'une des plus riches épaves au trésor trouvées au large de l'Angleterre - à Salcombe, Devon - était un bateau barbaresque du XVIe siècle en route pour capturer des esclaves.

Toutes les côtes des pays bordant l'Atlantique et la Méditerranée furent touchés. Le nombres exactes de personnes enlevées est sûrement sous estimé. Les milliers de chrétiens blancs qui étaient capturés chaque année devaient travailler comme esclaves sexuels, galériens, travailleurs et concubins des seigneurs musulmans dans ce qui est aujourd'hui le Maroc, la Tunisie, l'Algérie et la Libye.

Ce furent en fait des esclaves européens qui furent forcés de construire les palais de Meknès pour le tyran marocain, Moulay Ismaïl, au début du XVIIIe siècle. Dépassant Versailles en taille et en splendeur, ils furent construits par des esclaves chrétiens, par un souverain qui se glorifiait de son pouvoir absolu. Par exemple, il traitait le roi d'Angleterre de faiblard pitoyable, puisque celui-ci permettait à un parlement de limiter son autorité.

Le cauchemar ne cessa qu'en 1816, quand la Royal Navy obligea par la force le port d'Alger à la soumission et imposa la cessation de la vente d'esclaves chrétiens dans le Maghreb, une action inspirée par Sir Sidney Smith et sa « Société des Chevaliers Libérateurs des Esclaves Blancs d'Afrique ».

Le bombardement d'Alger pour libérer les esclaves blancs eut lieu le 27 août 1816, quand une flotte anglo-hollandaise sous le commandement de l'amiral Lord Exmouth bombarda les bateaux et les défenses portuaires d'Alger.

Bien qu'il y eut une campagne continue de diverses marines européennes et de la marine américaine pour supprimer la piraterie contre les Européens de la part des Etats barbaresques nord-africains, le but spécifique de cette expédition était de libérer les esclaves chrétiens et de stopper la pratique de l'esclavage contre les Européens. Cette fin fut partiellement atteinte quand le Dey d'Alger libéra un millier d'esclaves après le bombardement et signa un traité contre l'esclavage des Européens.

Pourtant, si l'on fait des recherches sur la bataille d'Alger en 1816 et les raisons se trouvant derrière l'attaque, on découvre que la bataille elle-même semble avoir été évacuée de l'histoire. Cet esclavagisme est considéré aujourd'hui par les musulmans comme un « enrichissement culturel ».

Pour les 1 ou 1,3 million d'esclaves enlevés d'Europe par les marchands d'esclaves islamiques, a aussi l'intention de demander des réparations à des pays comme le Maroc, la Tunisie, l'Algérie et la riche Libye. Nous estimons que le gouvernement britannique doit recevoir plus de dix milliards de livres de dommages et intérêts pour les souffrances et le meurtre de nos gens.

Le 27 août de chaque année, à partir de 2006, une journée de mémoire pour les 1 ou 1,3 million d'esclaves enlevés d'Europe par les marchands d'esclaves islamiques. Ce jour-là un prix sera décerné aux personnes qui auront fait le plus pour faire connaître les questions concernant l'expansion islamique en Occident. Une association européenne, le BNP, a l'intention de demander des réparations à des pays comme le Maroc, la Tunisie, l'Algérie et la riche Libye.


Rajoute ca et l'intransigeance du Dey d'alger, tu as une des principales raisons de la colonisation française en Algérie (qui fut à mon sens une erreur).Alors sam19 arrête de venir chialer sur tes "pauvres petits arabes innocents massacrés par les vilains français alors qu'ils étaient pacifistes", pour un passionné d'historie comme moi, ce jeu ne prend pas.

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

ou alors avant de venir répandre ton venin , équilibre tes propos en dénoncant également les massacres immondes du FLN sur toutes les populations algériennes (dont certains membres de ma famille d'ailleurs, des bébés égorgés, des testicules coupées et avalées, des gamins mitraillés, des vieux décapités et j'en passe).Tout n'est pas noir ou blanc, loin de là, comme tu essaies d'ailleurs de le dire dans tes lâches messages en pv.

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Sam19 je n'es jamais dis que ce génocide avait été positif je voulais dire que la situation des pays du maghreb tel qu'elle était juste avant la guerre d'algérie était peut être plus positive que mainetant ce qui est vrai excuse moi quand même. J'aurais du faire part conditions économique et social et e l'époque ainsi que des libertés fondamentales. Mais je n'es jamais dit que le tromatisme qu'on subit les algériens avait été positif ne mélange pas tout et pas besoins de me faire un exposé.

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

et la source : www.nationalvanguard.org

Précisons aussi que ces 1 millions d'européens ont tout bonnement été exterminés et ne se sont pas fondus dans la population locale comme par exemples les Africains aux USA.

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

et comme sam19 me gonfle passablement, j'en rajoute une couche:

Olivier Pétré-Grenouilleau, Professeur à l’université de Bretagne-Sud (Lorient)

On l’ignore totalement : au XVIe siècle, les esclaves blancs razziés par les musulmans furent plus nombreux que les Africains déportés aux Amériques. L’historien américain Robert C. Davis restitue les pénibles conditions de vie de ces captifs italiens ou espagnols*.

On a pris aujourd’hui la mesure de la traite des esclaves noirs organisée par les négriers musulmans à travers le Sahara, ainsi qu’en direction du Moyen-Orient et des régions de l’océan Indien (1). On sait aussi que l’affrontement entre l’islam et la chrétienté a alimenté en maures et en chrétiens les marchés d’esclaves des deux côtés de la Méditerranée médiévale.
Mais si des travaux, maintenant assez nombreux, avaient permis d’éclairer la question de l’esclavage dans les pays chrétiens, et notamment dans la péninsule Ibérique, on ne savait pas grand-chose de la condition réelle des esclaves chrétiens dans les États “ barbaresques ” d’Afrique du Nord. Une histoire souvent obscurcie par la légende.
Professeur d’histoire sociale italienne à l’université d’État de l’Ohio, Robert C. Davis nous en livre désormais, dans un ouvrage remarquable, une approche véritablement scientifique. Le fruit de dix ans de travail, principalement en Italie.
Car l’Italie, “ œil de la chrétienté ”, fut sans aucun doute, entre le XVIe et le XVIIIe siècle, la région la plus touchée par les raids des Barbaresques, ou Africains du Nord. Des villages y furent sinistrés, des activités (comme la pêche) entravées, des esprits et des sociétés durablement secoués. La Méditerranée devenant “ la mer de la peur ”, nombre d’Italiens auraient alors délaissé les littoraux pour s’installer plus loin, vers l’intérieur. A propos des effets à long terme de ces razzias, l’auteur va jusqu’à parler de “ désastre social et psychologique ” – une question qui mériterait sans doute des études plus étoffées.

Un million d’esclaves entre 1530 et 1780

Les causes de l’esclavage des chrétiens sont tour à tour mentionnées par Robert C. Davis : la Reconquista, le désir, de la part des musulmans, de prendre une revanche sur les croisades, l’appât du gain. Mais ce qui l’intéresse, c’est surtout la question des conditions de vie de ces esclaves. Une question qui fut l’un des thèmes porteurs de l’historiographie consacrée à l’esclavage américain, et que Robert C. Davis tente d’appliquer, ici, à l’esclavage musulman.
Difficile d’estimer le nombre des esclaves blancs dans les pays barbaresques. On ne dispose que de données partielles, d’époques différentes, qu’il faut recouper avec soin. Parfois même se contenter de projections.
Contre Fernand Braudel, qui en avait minimisé l’ampleur (2), tout ce travail conduit l’auteur à une nouvelle pesée du phénomène. Estimant à environ 15 % le taux de mortalité des esclaves déjà plus ou moins acclimatés à leur nouvelle condition, il évalue entre un million et 1250000 le nombre d’esclaves blancs détenus, entre 1530 et 1780, sur un territoire s’étendant de l’Algérie à la Libye actuelles. Au XVIe siècle, il y avait donc annuellement plus d’esclaves blancs razziés que d’Africains déportés aux Amériques.
90 % au moins de ces esclaves blancs étaient des hommes. Et comme on ne leur laissa guère l’occasion, de fait, d’avoir une descendance, la seule chose d’eux qui aurait pu leur survivre est le produit de leur travail, du moins pour ceux qui étaient affectés à de grandes tâches étatiques : construction de digues, de fortifications, de ports, de rues ou encore de palais. Mais une bonne partie de ces constructions a disparu. Cette institution, qui dura pourtant près de trois siècles, n’a donc laissé pratiquement aucune trace perceptible. “ L’autre esclavage ”, écrit Robert C. Davis, est ainsi devenu “ l’invisible esclavage ”.
Au XVIe siècle, de vastes opérations militaires étaient menées par les États barbaresques, jusqu’à l’intérieur des terres ennemies pour se procurer des esclaves. Mais, à partir des premières décennies du XVIIe siècle, les captifs blancs furent surtout le produit d’opérations corsaires privées. La valeur des esclaves pouvait représenter entre 20 et 100 % de celle des autres prises, navire et marchandises inclus. Aussi les Barbaresques s’occupaient-ils directement, non seulement de capturer les esclaves, mais aussi de les transporter et de les vendre.
L’appât du gain était renforcé par l’arrière-plan conflictuel entre chrétienté et islam. Sinon, comment comprendre l’horreur toute particulière que les cloches des églises des villages qu’ils razziaient inspiraient aux corsaires – dont certains étaient des chrétiens renégats ? Des cloches qu’ils déposaient souvent, et parfois emportaient avec eux – le bronze n’étant pas sans valeur. La violence exercée lors de ces raids avait également une tonalité en partie symbolique qui permettait d’entretenir la crainte des populations littorales.
Même chose pour les humiliations infligées dès leur capture aux nouveaux esclaves : obligation de se dénuder, administration de coups à l’aide de cordes à nœuds, puis, à leur arrivée à bon port, défilé des nouveaux asservis destiné à officialiser le triomphe de leurs nouveaux maîtres. Ainsi désocialisés, les esclaves étaient plus facilement soumis.
D’abord un peu mieux traités, afin qu’ils s’acclimatent correctement, ils étaient ensuite orientés vers des activités variées, allant du travail dans les orangeraies de Tunis au service domestique. Néanmoins, la plupart se voyaient confier des tâches particulièrement dures : galères, extraction et convoyage de pierres, construction, etc. Et aucun “ code blanc ” (à l’imitation du fameux code noir appliqué dans les Antilles françaises), même symbolique, ne venait limiter le pouvoir du maître sur son esclave “ infidèle ”.
Certains captifs jouissaient cependant d’un certain degré de liberté On leur demandait seulement de ramener, chaque matin, une certaine somme d’argent à leur maître ; système rappelant celui, dans les Antilles, des “ nègres à talents ” loués à des entrepreneurs. Le vol pouvait alors être à la fois acte de résistance et moyen de survivre au sein du système esclavagiste.

Cervantès captif des Barbaresques

Souvent, les esclaves chrétiens travaillaient comme domestiques au service de familles musulmanes. Mais ce type d’esclavage déclina plus rapidement que celui organisé au bénéfice des États barbaresques. Au point que, à la fin du XVIIIe siècle, la moitié des esclaves chrétiens d’Alger vivaient dans des bagnes publics. Les conditions d’existence y étaient extrêmement dures : il y régnait un climat de violence, notamment sexuelle, les geôliers étant accusés d’y favoriser, contre paiement, des pratiques sodomites.
Les captifs qui pouvaient faire l’objet d’une forte rançon échappaient vite à ces conditions d’existence. D’autres pouvaient être rachetés au bout de quelques années. Ce qui fut le cas de Miguel de Cervantès (1547-1616), l’auteur de Don Quichotte, esclave des Barbaresques entre 1571 et 1580. La chose devint théoriquement plus facile avec le temps, car des institutions religieuses spécialisées dans le rachat des captifs furent organisées de l’autre côté de la Méditerranée ; en Italie, des sommes importantes furent mobilisées pour le paiement des esclaves chrétiens.
La durée de captivité s’étendait ainsi, dans nombre de cas, de cinq à douze ans au maximum. Le taux de mortalité, cependant, demeurait élevé. Beaucoup d’esclaves n’avaient donc que peu d’espoir de retourner, un jour, chez eux.



Alors bien sûr parlez de ca, et on vous traitera de fasciste, de Le Pen en herbe etc...Pourtant c'est la stricte vérité.Tu as vu ce qu'ont fait tes ancêtres sam19??C'est pas bien hein???

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Sam19
Tes discours ainsi que ta fiche puent l antisémitisme, je vois pas ce que tu fous là, à part jouer les provocateurs à deux balles.

T es envie de rayer Israel de la carte hein
Ben moi je rayerais bien tous les connards comme toi de la carte, crois moi ça ferai du menage, surtout dans les pays que tu affectionne .

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

un riffain qui s'incruste dans nos affaires algériennes,lol lol lol

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

ok kohen merci pour la précision.

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