Lors des émeutes de nos chers enfants de banlieues, Clichy sous bois s'était muée en Djénine rugissant un flot inquiétant de mimétisme islamiste. Aujourd'hui, c'est un autre territoire de non droit que le feu de l'actualité éclaire. En effet, Bagneux, ville des Hauts de Seine vient d'être le théâtre d'un crime odieux.
Les faits sont bruts, choquants et les énumérer en détails seraient comme consulter un catalogue de la barbarie inhumaine. Un nom émerge pourtant : Ilan Halimi que nous ne devons jamais oublier ! Un frère d'un combat irréel mort pour rien ou peut-être pour une certaine France mais qu'est-ce notre pays aux temps chiraquiens ? Durant ces longs jours où il fut torturé Bagneux s'appelait Falloudja et cette question résonnera longtemps dans ma tête : s'il n'avait pas été juif serait-il mort ?
A l'instant où j'écris ces lignes, les autorités morales et castratrices m'ont déjà condamné mais je m'en fiche totalement brûlant ce qu'il me reste de souffle pour hurler (avec nettement moindre courage) comme hurlait Ilan lorsque ses bourreaux le frappaient.
Personne n'a su relever la symbolique du lieu d'abandon de son corps : une voie ferrée ! Pourtant, l'histoire nous apprend que le malheur du peuple juif commence souvent par ces morceaux de fer mis bout à bout et qui se termine par un non retour. Ici l'agonie ressemble à un destin programmé de son ascendance religieuse.
Après cela que nos autorités tentent une lobotomie sur ce qu'il nous reste de cerveau pour nous faire avaler des couleuvres libre à vous de croire mais ce sera sans moi !
Et pourtant le guide suprême à affirmé avec sa HALDE et son MRAP que le politiquement correct était religion d'état ! Malheureusement pour lui, il se trouve que l'honneur est bien souvent en dehors de ces comités et qu'inventer le futur requiers d'autres armes que la commisération.
Alors oui, nous bombarderons Bagneux avec notre intelligence et notre mémoire. Ce qui nous fait Hommes obligera à la création (comme le souhaite Philippe De Villiers) d'une garde nationale destinée à la surveillance de territoires intérieurs.
Cela passera également par une absence de compromis et l'affirmation (au risque d'une censure des eurocrates) simple et précise de qui à le droit de vivre dans notre pays.