Etes-vous pour ou contre le retrait des colonies israëliennes de Cisjordanie ?
Merci d'expliquer.
Etes-vous pour ou contre le retrait des colonies israëliennes de Cisjordanie ?
Merci d'expliquer.
ca regarde les israeliens et non les feujs de france et d'ailleurs
Je suis pour, pour que la paix il y a !
Je suis contre à cause d'une part du déracinement et aussi parce que j'ai appris que le KKL avait acheté les terres et que donc elles appartiennent bien au peuple juif aujourd'hui.
Quelles colonies ?
Tout le monde sait que les tortues sont extrêmement avisées. Un jour, l’une d’entre elles rassembla tous les animaux pour les avertir : " Une dangereuse plante pousse dans la bande de Gaza. Nous devons la supprimer, sinon c’est elle qui nous supprimera ! " La tortue conduisit les animaux à la lisière de la bande de Gaza où s’étendaient les champs de chanvre et dit : " Voici la plante en question ! " Les animaux l’examinèrent et goûtèrent à ses petites feuilles. L’antilope fit la grimace : " C’est amer. Je ne vois pas pourquoi je devrais la brouter. " Le flamant hochait la tête : " Moi non plus. Je ne peux rien faire du chanvre, puisque je vis la plupart du temps dans l’eau." La carpe ne dit rien, mais s’en alla d’un coup de nageoire. Ainsi, le chanvre poussa en toute tranquillité. Un jour, les hommes vinrent, l’arrachèrent et en tressèrent des cordes. Ils les prirent pour bander leurs arcs. Ensuite, ils taillèrent des flèches dans l’écorce des oliviers et allèrent chasser les oiseaux. Arrivés au bord de l’eau, ils lancèrent leurs flèches contre une bande de flamants. Les oiseaux s’envolèrent, mais l’un d’entre eux resta sur la rive, mortellement blessé. La tortue s’approcha de lui : " Si tu m’avais obéi lorsque je t’avais demandé de supprimer la plante de la bande de gaza, tu volerais aujourd’hui tranquillement dans les cieux ! " Le flamant supplia : " Aie, tortue ! aide-moi " " Il est trop tard. " Un homme vint, prit le flamant et l’emporta chez lui. Ensuite, les hommes prirent une canne et y attachèrent une corde avec un crochet au bout. Ils plongèrent l’hameçon dans l’eau et en très peu de temps, une carpe s’agita au bout de la corde. La tortue s’approcha d’elle à la nage : " Si tu m’avais écoutée, tu nagerais aujourd’hui en toute tranquillité ! " " Aïe, tortue ! aide-moi ! " supplia la carpe. " Il est trop tard ", répondit la tortue. Un homme tira sur la canne et sortit la carpe de l’eau. Ensuite, les hommes prirent les cordes et en firent des noeuds coulants qu’ils disposèrent sur un sentier. L’antilope s’y laissa prendre. La tortue s’approcha d’elle : " Si tu m’avais écoutée, tu courrais aujourd’hui tranquillement dans la clairière ! " " Aie, tortue ! aide-moi ! " supplia l’antilope. La tortue rongea la corde et libéra l’antilope. Depuis ce jour, elles furent amies.
contre. Les Arabes ont déclaré la guerre à Israël, ont souhaité et souhaitent sa destruction, Israël a gagné la guerre, les Arabes continuent d'agresser Israël, d'assassiner des innocents... pourquoi se retirer de ces ces territoires qui faisaient d'ailleurs partie de l'ancien Israël?
d'accord avec choussar, quelles colonies ?
Pour, c'est inévitable de toute façon. Je ne comprend pas l'interet de vivre dans un camp retranché au milieu d'arabes hostiles... c'est trop facile de dire "contre" quand tu vis en France sans subir l'atmosphère pesante de menace permanante d'attentat quand tu prend ton bus.
A l'inverse, je suis absolument contre le retour des "réfugiés" en Israël; si ils créent leur etat palestinien, alors qu'ils y retournent. Je comprendrais meme les colons qui demanderaient de revenir en Israël contre une famille arabe israëlienne; ça devrait etre donnant-donnant. enfin...
Sinon, pour le mur, je ne le trouve légal que sur les frontieres de 67 , je vois pas l'interet d'encercler sur 3 points cardinaux certaines villes de Cisjordanie.
voili voila
Mdr choussar remballe toi
Pourquoi ? la réponse est bien simple parce que le peuple dIsraël a certes possédé ces terres mais il y a plus de 2000ans ... Entre temps certains juifs sont restés et vivaient parfaitement avec leurs amis arabes (musulmans ou pas) dans un état qui n'était pas le leur mais auquel il participaient au meme titre que les arabes. Seulement les choses n'en sont pas rester là : Le sionisme engendra une profusion d'idées et d'idéologies différentes. Les sionistes culturels souhaitaient ainsi que la Palestine fût le centre de la renaissance spirituelle et culturelle du peuple juif. Une autre tendance s'était formée autour de A.D. Gordon lequel, ayant écrit la Religion du travail, mettait en pratique cette idée tolstoïenne fondée sur l'importance du travail de la terre. Les sionistes socialistes, quant à eux, cherchaient à apporter une vulgate marxiste au sionisme : il fallait aux Juifs un territoire leur appartenant en propre afin d'y établir une société normalement stratifiée, dans laquelle ils pourraient engager le processus de lutte des classes menant à la révolution. Les expériences sociales de coopératives agricoles aboutirent à une création sioniste unique, le kibboutz (terme hébreu signifiant « collectivité »), qui formait le pivot politique, culturel et militaire des Yishuv (terme hébreu signifiant « colonie », ou communauté juive en Palestine) avant la création de l'État d'Israël et durant les années qui suivirent. Enfin, les sionistes religieux considéraient comme relevant de leur devoir le fait d'orienter le renouveau national juif sur une voie plus traditionnelle. Cependant, ils devaient être bientôt accusés de compromettre leur foi par la quête du pouvoir politique.
Durant la Première Guerre mondiale, les Britanniques avaient cherché à s'assurer les faveurs des sionistes afin de gagner les Juifs du monde entier à la cause alliée. La déclaration, formulée dans une lettre du ministre des Affaires étrangères Arthur James Balfour à un leader sioniste britannique, approuvait la création en Palestine d'un « foyer national pour le peuple juif ». L'établissement du mandat britannique sur la Palestine procura aux sionistes la charte à laquelle ils aspiraient.
Pendant la durée du mandat britannique (1920-1948), la population des Yishuv passa de 50 000 à 600 000 habitants. La plupart des nouveaux immigrants étaient des réfugiés fuyant les persécutions national-socialistes en Europe. En 1935, un groupe révisionniste dirigé par Z.V. Jabotinsky se sépara du mouvement pour former le Nouveau Parti sioniste. À la fin des années 1930, Jabotinsky, qui préconisait un État juif sur les deux rives du Jourdain, se voua sans succès à une campagne afin d'organiser l'évacuation massive des Juifs européens vers la Palestine.
Cependant, la coexistence avec les Arabes de Palestine devenait un problème de plus en plus aigu. La multiplication des émeutes dans les années 1920 s'intensifia jusqu'au conflit de 1936-1939. Le mouvement sioniste adoptait alors des positions divergentes, préconisant la fondation d'un État commun arabo-juif ou soutenant, au contraire, avec David Ben Gourion, qu'un accord avec les Arabes ne se concrétiserait que sur la base d'une position de force, une fois les Yishuv devenues majoritaires. Les sionistes socialistes se trouvaient partagés entre l'idéal d'une coopération de classe avec les travailleurs arabes, et l'intérêt national supérieur de la nouvelle classe ouvrière juive en Palestine.
À la veille de la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement britannique modifia sa politique palestinienne afin de tenter d'apaiser le monde arabe. Le Livre blanc de mai 1939 mettait fin à l'engagement britannique en faveur du sionisme et prévoyait la création d'un État palestinien dans les dix ans. La majorité arabe en Palestine se voyait garantie par une clause limitant l'immigration juive à 75 000 personnes au cours des cinq années à venir puis soumettait l'immigration juive ultérieure à l'approbation arabe.
Le Livre blanc de 1939, rompant l'alliance anglo-sioniste traditionnelle, provoqua de violentes protestations dans les Yishuv. En mai 1942, les leaders sionistes, réunis à l'hôtel Biltmore de New York, exigèrent un Commonwealth juif démocratique, à savoir un État, dans tout l'ouest de la Palestine, en tant que partie constituante du nouvel ordre mondial d'après-guerre. Ce « programme Biltmore » inaugura la réorientation radicale de la politique sioniste. L'Holocauste finit par convaincre les Occidentaux de la nécessité d'un État juif. En 1944, l'Irgun Zvai Leumi (Organisation militaire nationale), force de guérilla sioniste dirigée par le futur Premier ministre Menahem Begin, lança une révolte armée contre le gouvernement britannique en Palestine. Afin de faire pression, des attentats terroristes furent ainsi dirigés contre les fonctionnaires et les troupes britanniques, d'une part, contre les Arabes palestiniens, d'autre part.
Le 14 mai 1948 à minuit, au terme du mandat britannique sur la Palestine, les Juifs proclamèrent leur indépendance dans le nouvel État d'Israël. Le pays se créait avec le soutien politique du président américain Truman. La Grande-Bretagne renonça ainsi à son rôle en Palestine, tandis que les Yishuv se montraient déterminés à créer comme à maintenir leur propre État.
Maintenant si tu as bien lu jeune homme tu sauras pourquoi il faut qu'Israël retire ses colonnies ne serait ce qu'à titre d'appaisement car aujourd'hui l'expansion sur le territoire Palestinien ne se justifie plus et pire les Palestinien sur la bande de Gaza s'entassent ce qui ne favorise rien de bon : un peuple qui se sent à l'étroit et comme un animal acculé : il est pres à tout tenter pour survivre...
A bon entendeur...