Merci Marise Cohen

Je vous souhainte une bonne thérapie

Kaubi, tu parles de ma chienne, c'est ça ?

je profite de ce sujet tres ail truie, pour envoyer un message personnel, a la personne qui ne se reconnaitra pas, en lui disant que je suis deja agenouille devant mon verre de vin de messe, pour te souhaiter que de bonnes nouvelles et de ne pas t'inquieter car... le vin en question est une bonne cuvee.

je vous embrasse tous dans mon coeur et avec mes pieds car j'ai les doigts occupes.

il y a quelques mois, j'etais invite a passer chabbath chez une famille tres bien, et dans une ville tres bien (si, si, je vous assure!).
apres un repas excellent, arrose de succulents bordeaux, fruites bien que capiteux, je proposais a mes hotes une petite promenade du vendredi soir dans les rues calmes de cette ville BOURGeoise.
ils refuserent (pour une raison que j'ignore encore), je sortie seul donc accompagne de ma chemise pc (pierre cardin!! pas partie communiste!!!) et de mon pantalon en laine peigne (tout comme mon cheveu).
je fis quelques pas vers mon destin (tu penses!), mais la pluie (au mois de juillet! pays de froidure que tu es!!), me fis me remettre les idees en place.
aussi, je rebroussais chemin.
et la, a ma grande surprise, une femme etait apparu sur le bord du trottoir, comme par magie, mais son maquillage l'apparentait plus a peggy la cochone qu'a la princesse anne d'angleterre (mais pourquoi elle!! je suis pas dans mixite et conversion).
elle me sourie et un court instant je me trouvais beau.
puis elle m'invita a faire des trucs pas tres catholiques dans une ville a reputation huguenot.
mon esprit foudroyant, crea ex-nihilo, une reponse tout autant foudroyante que profonde:
"- je n'ai pas d'argent sur moi cherie."
mais peut-etre me trompais-je, et simplement voulais engager une conversation sur fond de parlement europeen.
mais la pluie aidant, le morceau de tissu colle a sa peau, semblait devoiler des formes qui ne pouvait que me mettre en forme.
5 minute durant, la paupiere a moitie fermee et la bouche grande ouverte, je me mis a cogiter.
devrai-je l'inviter a monter boire un earl grey chez ma famille d'accueil?
en fin de compte, je fermais mes levres pendantes et molles et lui promettant de jours meilleurs dans un monde meilleur, je tournais les talons et revins chez ces gens si sympathiques et puritains, qui auraient eus du mal a accepter une puritaine aux effluves porto-ricaine.

tu sais quoi ? effectivement ce serai interressant.