Les Neturei Karta me degoutent...

Ancien utilisateur
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Libi5767

c`est une secte tres dangereuse et anti sionistes...Ils ne sont pas juifs..


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Ah oui, je vois que t'es en train de joueur D encore, et que toi, Nethanel, nationaliste supreme, est là pour nous dit qu'il est plus juif que l'autre. T'es PATHETIQUE.

Les satmars, par contre, sont plus juif que tes amis loubav....au moins ils PRATIQUE ceraints mitzvot comme...'pas d'idolatrie'..

Ancien utilisateur
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Libi5767

pourquoi tu me parles des chrétiens ? on le sait qu'ils ont fait du mal aux Juifs (pogroms, inquisition, expulsion...) alors de leur part ça ne m'étonne pas.

Ancien utilisateur
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Il est tout à fait legitime qu'un juif ne soit pas sioniste, mais de la à en arriver à des extremités pareilles c'est choquant


:(

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

j'ai cité ca comme exemple, parce que ca allé avec l'idée antisioniste=antisemitisme.

Ancien utilisateur
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Et un chose de plus, je pense qu'on devrait etre un peu soulagé si le NK sont en train d'y aller a cette conference...pour le raison qu'ils sont des juifs, et evidement, ils ne nie pas le Shoa...mais je dira que qqchose ne vas pas, s'ils etaient comme le mec sorti de prison hier a Wien qui a nié completement le Shoah...ca c'est triste.

Ancien utilisateur
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moi ils me degoutent ces debiles, on devrait leur interdire l'entree en israel.
savez-vous qu'au moment des accords d'oslo, les naturei karta ont refile 1 millions de dollars a l'olp pour le financement du terrorisme?

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Un article de Guysen:

Les maîtres du Talmud nous avaient prévenus qu’à l’approche des temps messianiques les maisons d’étude seraient transformées en lieux de débauche (fin du traité talmudique Sotah). Certains ont donné à cette prédiction une ampleur hallucinante.


Car oui chers lecteurs, Afflelou ne vous a pas vendu de la camelote : ce sont bien des…rabbins, affublés de tout l’accoutrement destiné à accréditer l’idée qu’ils incarnent la Loi de Moïse, qui côtoient ici et écoutent – religieusement s’entend – le sinistre négationniste Robert Faurisson, lequel inspire la répulsion à des millions de personnes qui n’ont pas besoin d’avoir la tête couverte pour le tenir pour un ennemi déclaré du genre humain. Il s’agit des « rabbins » (les guillemets se faisaient attendre je sais…) Moshe Arieh Friedman et Aharon Cohen – un prénom et un nom qui ne s’inventent pas – venus porter la caution de la tradition d’Israël à la « Conférence sur l’Holocauste » organisée par celui qui crie au monde entier son intention de faire une hécatombe atomique du pays promis aux Patriarches que ces « rabbins » invoquent trois fois par jour.





Nous étions bien prévenus. Moïse, dans le dernier cantique qu’il prononça avant de quitter ce monde, avertit les Enfants d’Israël que l’ultime génération serait témoin d’abominations nouvelles que n’avaient pas même redoutées ses ancêtres (Deutéronome 32,17). Reste qu’ici, les égouts du monde entier ont le droit de se constituer partie civile pour concurrence déloyale.

Les fils et filles d’Israël qui chérissent authentiquement l’héritage éthique de leurs ancêtres, ceux qui sont pétris des vertus d’amour d’Israël, d’amour du prochain et de rectitude, professées par les Sages d’Israël à travers les générations, ceux-là toisent ces horreurs avec un souverain dédain en sachant à quoi s’en tenir. Mais d’autres, moins au fait de notre tradition, sont en droit de se demander si c’est vraiment la Torah qui inspire des gens qui se prétendent pieux, à faire l’« honneur » de leur présence à un gouvernement d’assassins et à des affreux qui tournent en dérision le cataclysme dont ont été victimes leurs parents, il y a à peine deux générations.

C’est que ces fins rhétoriciens férus de Talmud (enfin, d’un certain Talmud) savent argumenter. Oh ! Ils ne nient pas la Shoah – c’est héroïque à deux coudées de Faurisson. C’est-à-dire en fait qu’ils ne la nient pas tout à fait. Car voici ce qu’a dit le « rabbin » Cohen lors de son allocution :

Honorables amis, pairs et collègues (…)

Qu’il me soit tout d’abord permis d’exprimer aux illustres organisateurs de cet éminent événement, la gratitude de mes collègues et de moi-même pour nous permettre d’exprimer nos vues sur ce problème, ce que nous considérons comme un grand privilège. (…)

« Il est régulièrement fait mention du chiffre de six millions. On peut toujours discuter du nombre exact de millions de victimes (car elles furent des millions) ; six millions, cinq millions ou quatre millions. La méthode d’extermination est sans importance. Qu’il se soit agi de chambres à gaz (et qu’il y en ait eu des témoins) (Sic !) ou d’exécutions massives ou d’autres moyens. (Note : ce fut-là exactement la thèse de Noam Chomsky dont Faurisson se servit de préface pour son Mémoire en défense. (Le « rabbin » poursuit) : Le mal fut le même et ce serait un terrible affront à la mémoire de ceux qui ont péri que de minimiser la gravité du crime de quelque façon que ce soit. (Merci bien pour eux).

Seulement voilà : la messe n’est pas encore dite. Le « rabbin » poursuit : Cependant l’attitude orthodoxe juive est que par-delà l’entière culpabilité des auteurs de ces crimes, ces derniers ne seraient jamais parvenus à leurs fins si le Tout-Puissant ne l’avait pas voulu (Gott mit uns ! – Ndt) Aussi, à cet égard, les victimes ont le devoir d’échapper à leur sort, mais dans le cas où cela s’avérerait impossible, elles ont le devoir d’accepter la volonté du Tout-Puissant. Notre profession de foi est qu’une modalité de l’exil qui nous a été divinement imposé, dicte qu’il n’appartient pas au peuple juif de déférer ses persécuteurs devant la justice. (Note : lisez Nuremberg ou la terre promise du sinistre Maurice Bardèche, – beau-frère de l’ultra collaborationniste Robert Brasillach – et vous saurez d’où ces « rabbins » tiennent que le procès des criminels de guerre était illégal.)

Et y’a du rab ! Le « rabbin » poursuit : « Nous ne saurions en aucun cas avoir l’audace d’entraver la volonté du Créateur et présumer que nous sommes en mesure d’empêcher une telle chose de se reproduire. Cela serait de l’hérésie. Les sionistes avec leur pontifiante approche, se conduisent en totale opposition avec cette philosophie et osent dire « plus jamais ça ». Ils ont le toupet d’imaginer pouvoir empêcher le Tout-Puissant de reproduire un Holocauste. C’est de l’hérésie.
(Entendez-vous Ahmadinejad applaudir à tout rompre ?)

Et je vous épargnerai la désormais traditionnelle rengaine de l’État d’Israël qui fait usage des victimes de la Shoah pour justifier toutes sortes de « forfaits » aussi « hérétiques » que « criminels »…

Allez, vous pouvez tirer la chasse.

La vérité est que cet épisode – lequel constitue probablement l’une des plus cuisantes profanations du Nom de D-ieu de l’histoire juive – ne mériterait pas qu’on s’y arrête, tant il bafoue les enseignements et les textes les plus sacrés de la foi juive. Il faut pourtant dire quelques mots à l’intention de ceux et celles qui sont susceptibles d’être en proie au doute quant à ce qu’ont professé les héritiers authentiques de la loi de Moïse.

En premier lieu, la seule présence de ces « rabbins » aux côtés des autorités d’un régime assassin et terroriste constitue un affront à ce que notre Torah connaît de plus sacré : la vie humaine.
Comment des gens qui ont lu dans le Talmud qu’« un tribunal qui condamne une personne à mort en soixante-dix ans est un tribunal sanguinaire », peuvent-ils seulement envisager de regarder en face de sombres assassins dont les tribunaux islamiques ont exécuté des dizaines de milliers de malheureux, flagellent tous les jours des adolescents et lapident des femmes ? Comment peuvent-ils rencontrer ceux qui payent des terroristes pour assassiner ceux dont les âmes côtoyèrent les leurs au mont Sinaï ?

Et avant de prendre place à la même tribune que Faurisson, ces dignes « rabbins » l’ont-ils entendu dire : « Les prétendues “chambres à gaz” et le prétendu “génocide” des Juifs forment un seul et même mensonge historique qui a permis une gigantesque escroquerie politico financière dont les principaux bénéficiaires sont l’État d’Israël et le sionisme international, et dont les principales victimes sont le peuple allemand – mais non pas ses dirigeants – et le peuple palestinien tout entier. » ? (Le 17 décembre 1980, à l’émission Expliquez-vous d’Ivan Levaï, sur Europe 1.)

Titus lui-même qui déploya un rouleau de la Torah sur le sol du Saint des saints pour s’y vautrer ensuite avec une prostituée, ne commit rien d’aussi scandaleux que ces « rabbins ».

À présent, la Shoah.

Le Talmud affirme qu’il n’est pas un brin d’herbe sur terre dont le sort ne soit régi par la providence. Les voies de cette providence ne furent jamais révélées à personne, pas même à Moïse lorsqu’il demanda à D-ieu « Fais-moi connaître tes voies » ce que nombre de commentateurs interprètent comme une demande de se voir livrer le secret de la théodicée. En un mot, la providence est au-delà de tout entendement humain et amalgamer son déploiement ici-bas à des concepts humainement concevables est un pur non sens. Aussi affirmer que la Shoah résultait de la « volonté de D-ieu » constitue, au plan de l’éthique juive, un sophisme monstrueux et blasphématoire, puisque c’est amalgamer les voies de la providence aux voies humaines où les actes possèdent une « traçabilité » rationnelle vers un « vouloir » concevable. Le prophète Isaïe (55,9) l’a du reste clairement signifié en disant : « Mes pensées ne sont pas vos pensées, comme vos voies ne sont pas Mes voies, dit l’Éternel. » Et D-ieu sait qu’il n’est pas besoin d’être un prophète biblique pour faire une telle affirmation puisqu’à Albert Einstein – hostile à la physique probabiliste – qui disait « D-ieu ne joue pas aux dés », son collègue Niels Bohr répondit : « Monsieur Einstein ne dictez pas à D-ieu ce qu’il est censé faire ».

À un leader orthodoxe connu pour ses opinions extrêmes qui lui affirmait au lendemain de la Shoah : « D-ieu nous a punis pour nos péchés », le précédent Rabbi de Loubavitch Rabbi Yossef Yits’hak Schneersohn – qui avait perdu une fille et un gendre à Treblinka – répondit : « D-ieu ne nous a jamais enjoints de justifier tout ce qu’il fait ». Abraham, le père de tous les croyants, était-il un « hérétique » lorsqu’à la nouvelle de la prochaine destruction de Sodome et Gomorrhe, il interpella D-ieu en disant : « Le juge de toute la terre ne rendrait-il pas la justice ? » Le prophète Jérémie est-il un « hérétique » lorsqu’à la fin des Lamentations, il interpelle D-ieu pour sa sévérité implacable ?

Aussi, accommoder la plus grande tragédie du peuple juif à la sauce d’un sordide agenda politique, c’est déjà cracher sur D-ieu. Mais quand en plus, on porte un chapeau et une barbe, on mérite d’être roulé dans le goudron et les plumes.

Quant à l’interdiction qui nous serait faite de déférer nos persécuteurs devant la justice, j’aimerais humblement savoir dans quelle mare croupissante nos doctes ont péché une ânerie pareille. S’inspirent-ils de Samuel, qui trancha lui-même la tête de Agag, le roi d’Amalek que Saül avait laissé fuir ? De Mardochée qui s’employa au châtiment de Haman ? Des Hasmonéens dont nous nous apprêtons à célébrer la victoire ? Et la Mitsvah qui nous est faite de nous souvenir de ce que nous a fait Amalek, en quoi consiste-t-elle ? À aller faire ses hommages à ceux qui veulent parachever son œuvre ?

À ce sujet, je désire ici rappeler un épisode que j’ai déjà eu l’occasion de mentionner dans un précédent article consacré à Simon Wiesenthal.

Tuvia Friedman qui fut un des premiers compagnons de Simon Wiesenthal, se sentit un jour quelque peu découragé par ce travail à la fois difficile et ingrat, de recherche des criminels nazis. Lors d’un entretien qu’il eut en 1970 avec le Rabbi de Loubavitch, il lui fit part des pressions dont il était l’objet de la part de son entourage familial pour qu’il se consacre désormais à d’autres activités. Le Rabbi lui répondit ceci : « La Mitsvah de se souvenir de ce que nous a fait Amalek et de ne pas l’oublier constitue un devoir cardinal de tout juif. La tâche à laquelle vous vous consacrez vous confère un mérite immense, dans la mesure où par votre dévouement, vous permettez au peuple juif tout entier de s’acquitter de cette Mitsvah. Vous n’avez pas le droit de vous y soustraire car personne ne vous remplacera à ce poste. »

Le Sionisme et l’« hérésie ».

Chacun sait que la naissance du sionisme politique – d’essence laïque – fut l’occasion d’une vigoureuse controverse avec de nombreux leaders de l’orthodoxie qui voyaient dans cette entreprise une volonté de défaire le peuple juif de ses traditions millénaires en leur substituant une identité purement politique, étrangère à l’idéal des prophètes. La polémique fit rage en son temps et de nos jours, la Shoah et les épisodes tragiques vécus par Israël ont contribué à calmer les passions, même si au plan des idées – lesquelles couvrent au demeurant un large spectre de nuances – les convictions ont la vie dure. Il n’entre certainement pas dans le propos du présent article de polémiquer sur le sujet.

Ce qu’il faut dire et redire c’est que les maîtres de la Torah les plus farouchement opposés au sionisme doivent se retourner dans leur tombe à la vue de ces hideux « rabbins » qui prétendent représenter la vraie orthodoxie en allant serrer la main des plus odieux personnages de la planète, ceux qui projettent d’éradiquer Israël et ceux qui assassinent la mémoire de nos martyrs. La profanation est telle que les non juifs eux-mêmes s’interrogent sur la bonne santé mentale de juifs « religieux » qui siègent auprès de ceux que leur tribunaux et les instances internationales ont condamnés sans appel.

La veille controverse sur l’opportunité de créer ou non l’État d’Israël appartient désormais au passé et le Machia’h saura trancher la question pour le bonheur des uns et des autres. En attendant, il se trouve que c’est aussi la volonté de D-ieu que d’avoir restitué à son peuple la souveraineté sur le pays qu’il a promis à Abraham, à Isaac et à Jacob. Cette souveraineté, la Torah authentique – c'est-à-dire la Halakhah – nous interdit de l’abdiquer – et ce, que cette souveraineté constitue où non le début de la rédemption, suivant le vieux débat que l’on connaît. Il convient donc de prendre le pilpoul mercerisé des onagres en barbes et chapeaux de Téhéran, pour ce qu’il est : de la fange profanatoire.

Pour finir, le Talmud (Yoma 86a) écrit : « Si l’on a commis une faute qui rend passible du châtiment suprême, et que l’on s’en repent, le repentir et Yom Kippour suspendent la sentence et les épreuves purifient. En revanche, si on a profané le Nom de D-ieu, ni le repentir ne permet de suspendre le châtiment, ni Yom Kippour ne permet le pardon, ni les épreuves ne permettent la purification. Seule (…) purifie. Le Talmud s’interroge alors : « Qu’est exactement la “profanation du Nom de D-ieu” » ? Rav répond : « Si moi, par exemple, je prends de la viande chez le boucher et que je n’en acquitte pas le prix sur-le champ » (c’est une profanation du Nom de D-ieu – car je dois servir d’exemple).

Je vous laisse poursuivre le raisonnement vous-mêmes…

En attendant, si un de ces jours, ces minables spécimens de l’antisémitisme juif se font attendre au coin d’une rue avec des battes de base-ball, on pourra voir avec quelle intégrité ils réagiront à ce détour inattendu de la « Volonté de D-ieu ».


TOUT EST DIT

En fait Lybie:
Le pseudo Rabbin n'a pas nier la Shoah mais les chammbres à gaz et c'est assit à coter de Faurisson, negationniste Francais condanné une multitude de fois!


Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

En fait Libie, les arguments de Netourei Karta ne tiennent pas debout, c'est pour cela qu'il non aucune éminense Rabinique dans leur mouvement et que les Gadol disent que se ne sont meme pas des Juifs!

De plus, ils parlent de Torah mais tous leurs actes constitue un H'illoul Hashem!



Enfin, j'espere qu'il feront un jour un conference à Paris...J'irai...mais pas pour les ecouter

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Rub#10, ton probleme avec le NK est qu'ils ne sont pas sioniste...mais ils restent toujours des juifs.

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