A tous ceux qui croient qu'Israel, Tsahal, les sionistes... sont des assassins, des bourreaux, des terroristes, des violeurs, des voleurs, des nazis, des suceurs de sang et je ne sais pas quoi d'autre encore... lisez ce qui suit. Ce sont des documents qui contredisent vos "suppositions", vos "idées", vos "idéaux", vos "rêves" etc etc etc.
Premier document:
LA REECRITURE DE L’HISTOIRE PAR L’AUTORITE PALESTINIENNE
La question de la réécriture de l'histoire par l'Autorité palestinienne mérite une analyse approfondie, car ce phénomène ne relève pas seulement d'une propagande pernicieuse, mais trahit des pulsions très primitives, des mouvements d'envie, tout en contredisant d'une façon inhabituelle tous les processus de formation historique de l'identité des peuples.
I. La formation d'une identité palestinienne ?
Les exemples historiques de processus de formation d'identité nationale
Les exemples historiques de formation d'une identité nationale sont nombreux, et font partie des thèmes d'étude classiques des historiens des mentalités. Les identités nationales ont commencé à se former en Europe au cours du XVIe siècle, centrées autour de la personne d'un roi, ancrées dans un territoire précis, et revendiquant leur identité par l'histoire de leur origine. Ainsi, c'est au XVIe siècle que les Français imaginent leur origine mythique d'ancêtres gaulois, et on a bien oublié aujourd'hui que ce mythe avait pour intention première de permettre de relier la lignée des rois de France aux "hébrieux", (Hébreux), afin de faire remonter la sainteté de leur dynastie à la lignée du roi David (voir Claude Gilbert-Dubois, "Le mythe des Gaulois ou l'origine d'un thème religieux et nationaliste"). Pour les Français, les Gaulois permettaient de se construire un passé glorieux, sans avoir à faire dépendre la légitimité des rois de France d'une autre lignée royale européene. Les Italiens revendiquèrent leur identité à la Renaissance sous plusieurs étendarts, puisque le territoire de l'Italie était alors divisé en plusieurs royaumes, mais leurs arguments ne manquaient point, que ce soit par l'héritage sacré que leur donnait la fondation de l'Eglise en Italie, à Rome, ou le passé romain de leur pays, avec la domination de Rome sur ce qui avait été l'Empire romain et qui avait donné naissance à l'Europe qui les entourait. Pour les Anglais, l'identité anglaise se donna pour ancêtre Brutus de Troyes, fondateur mythique de l'Angleterre débarqué de la Troyes greque et glorieuse, importateur de la culture dans une Europe encore sauvage.
Mais chaque pays s'efforça de démontrer que son histoire était la plus glorieuse, et que son leader du moment, son roi, était le plus saint, le plus aimé de Dieu, le plus proche de la lignée sacrée des rois biblique, alors que l'histoire et la pérennité de son règne comme de son royaume témoignait de la légitimité de chaque royaume, et donc de chaque peuple, de chaque identité.
Au XIXe et au XXe siècle, les dernières identités nationales nées des réunifications territoriales ou des décolonisations ont suivi un processus à peu près semblable, à ce détail près que les nations se créérent de plus en plus dans la violence contre un ennemi extérieur. Alors que le sentiment national français s'était fondé au XVIe siècle sur la fidèlité à la personne du roi, et que les affrontements avaient surtout mis face à face des prétendants du trône, chacun avec leurs fidèles suivants, les nationalismes du XIXe siècle se libèrent de la tutelle royale par des révolutions, en aboutissant ainsi à une nouvelle définition du sentiment national par le patriotisme, la fidèlité à une identité nationale sublimée. Puis viennent les nationalismes de pays auparavant scindés, comme l'Allemagne, ou bien l'Italie, qui consituent leur identité sur la lutte contre un ennemi commun. Garibaldi est un leader, un modèle du héro de la nation italienne libre, car il prétend délivrer l'Italie. Bismark est un chef de guerre, et fonde la nation allemande et son identité sur une opposition à la France. Mais par opposition à un modèle considéré comme tyrannique ou usurpateur, ces groupes humains élaborent une identité idéale qui les représente, et les distingue des usurpateurs. Nulle tentation pour eux de copier leur ennemi. Le cas de l'identité nationale palestinienne est donc un cas unique, pour ne pas dire anomalique de la formation des identités nationales.
2. Une identité copiée
L'identité palestinienne se fonde en effet sur une copie conforme, à peine associée à une vague transposition, de l'histoire et du modèle hébraïque et juif. Ceci est absolument inexplicable par le simple biais historique, et a priori, on ne peut pas en conclure qu'il s'agisse là d'une prise de modèle ordinaire, comme d'un exemple à suivre, laissant présager un avenir d'unification culturelle entre Juifs et Arabes.
Considérons quelques exemples avant de procéder à leur analyse. Lorsque l'O.L.P. à Beyrout est acculé à la défaite, Yasser Arafat envoya comme ordre à ses troupes de se suicider et de procéder à un nouveau "Massada". Ses troupes ne se suicidèrent pas, en définitive, mais le fait même que Arafat ait eu l'étrange idée de leur donner comme modèle l'histoire de leur ennemi laisse rêveur.
A nouveau, lors de la première intifadah, Arafat lance l'idée de faire partir d'Europe un bateau de réfugiés et de le nommer Exodus II.
Enfin les textes palestiniens ne manquent pas de rapprocher la situation des Palestiniens de celle des Juifs sous l'occupation nazie, procèdant ainsi à la fois à la reprise d'un modèle historique de l'histoire de leur ennemi, et à un retournement identitaire.
Ce dernier exemple dévoile le mouvement fondateur de ce processus psychique, car c'est ici la psychologie qui seule peut nous aider à comprendre un phénomène qui ne relève plus des structures classiques de l'évolution de l'histoire des mentalités.
Les Palestiniens fondent leur modèle identitaire sur celui des Israëliens parce que fondamentalement, leur identité s'ancre dans un mouvement d'envie, une pulsion très primitive que tous les discours du monde ne parviennent pas à cacher. Freud, dans "Totem et Tabou", analyse cette pulsion et montre qu'elle explique l'attitude des peuples qui dévorent une partie de leur ennemi après l'avoir tué, parcequ'ils pensent pouvoir intégrer ainsi dans leur propre corps les qualités qu'ils ont observé avec envie chez celui-ci. Cette pulsion est d'autant plus forte qu'elle est inconsciente, voire même réprimée chez les Palestiniens, qui n'admettraient pour rien au monde qu'une partie d'eux mêmes admire en secret l'identité israëlienne. Ce mouvement psychique primitif explique non seulement des scènes d'une brutalité inqualifiable qui ont eu lieu lors de cette seconde intifadah, mais permet de comprendre les formes que revêt actuellement la politique palestinienne, la propagande de Yasser Arafat, et le danger à court et long terme d'une identité nationale qui n'a pas trouvé de forme positive d'expression.
3. Vandalisme, canibalisme, et identité
L'identité palestinienne s'étant fondée sur l'identité juive, non par fascination de l'Israëlien comme Autre à respecter, mais comme identité à endosser pour exister en tant que peuple, le passage-à-l'acte fondateur de l'identité palestinienne s'exprime nécessairement par la violence, la tuerie, la destruction, l'anéantissement de l'Israëlien. C'est là la différence essentielle entre les deux parties qui opposent depuis septembre forces israëliennes et Palestiniens. Pour les soldats israëliens, la question est claire: il s'agit de se défendre pour survivre et pour que l'état survive. pour les Palestiniens, la question est beaucoup plus complexe et beaucoup plus inextricable: il s'agit de détruire pour exister.
Le passage-à-l'acte, très souvent mis en scène par les foules, eut lieu de façon explosive, sanglante, lors du lynchage des deux soldats. Il ne suffisait pas de tuer. Il fallait réduire l'Autre en bouillie pour devenir Lui. Les cadavres sont déchiquetés, l'un d'entre eux a la boite crânienne ouverte, le cerveau est sorti. On dépèce les corps, on les parcellise.
L'éducation palestinienne enseigne des chants cannibales aux enfants selon la même logique. Un journaliste crie d'effroi dans son éditorial, devant ces chants de guerre: "je tuerai le Juif, je lui ouvrirai le ventre, et je le mangerai..." Toute l'analyse de Freud resurgit dans ces quelques mots. L'identité palestinienne se fonde tragiquement sur un mouvement d'envie qui la condamne, pour se réaliser, à réaliser l'usurpation identitaire. Prendre la Place de l'Autre pour exister...
Pauvre peuple sans identité, pauvre enfant manipulé, triste persective d'une humanité detructrice, mais aussi quel avenir pour Israël que de traiter avec un pareil ennemi...
4. L'usurpation textuelle coranique comme modèle fondateur?
Peut-on interpréter cette formation identitaire comme un processus inévitable? L'identité palestinienne était-elle prédestinée à fonder son existence sur l'usurpation identitaire de l'Israëlien?
Certains voient dans le Coran l'origine de ces renversements identitaires. Pour être plus précis, il s'agit des commentaires du Coran, et non du Coran lui-même. Le Coran, lors de l'épisode de la ligature d'Ytshak, ne nomme pas le fils d'Abraham prêt au sacrifice. Ce sont les commentaires qui l'ont identifié, non comme Ytzhak, mais comme Ishmaël (Sourat: "Les rangs"):
"Donne moi un fils o seigneur, et qu'il soit un homme juste." Nous lui avons annoncé un bon garçon. Et quand il a atteint l'âge où il pouvait travailler avec lui, son père lui dit: "Mon fils, j'ai rêvé que je te sacrifiais. Dis-mois ce que tu penses."
Il répondit: "Père, fais ce qui t'a été demandé. Si Allah le veut, tu verras que je suis fidèle." Et ils s'en remirent tous deux à la volonté de Dieu, et Abraham avait étendu son fils prosterné sur sa face, Nous l'appelâmes en lui disant: "Abraham, tu as accompli ta vision."[...]
Les commentateurs traditionnels coraniques ont attribué l'épisode à Ishmael. Or l'antériorité historique du texte biblique est indéniable. Ainsi, selon l'analyse de certains théologiens, cette interprétation du Coran aurait été la première pierre fondatrice de ce renversement identitaire, en suggérant que le vrai Israël est en fait Ishmaël. Puis c'est sur la base de ce renversement identitaire originellement de type religieux que se serait fondée l'inversion identitaire palestinienne.
A priori on peut penser que, si cette théorie est vraie, aucun pays arabe n'aurait dû pouvoir créer son modèle identitaire sans lui donner cette forme usurpatrice.
Néanmoins deux points sont importants: l'histoire a opposé la plupart des pays arabes à un ennemi extérieur chrétien, lui fournissant ainsi un contre-modèle historique qui rendait inutile ou caduque le modèle de l'interprétation coranique (sur ce point seulement, car le Coran a pû fournir des passages et des commentaires concernant les Chrétiens qui ont donné un autre sens à ces luttes opposant Arabes et Chrétiens).
D'autre part le cas d'Israël est un cas unique, car c'est le seul pays où un peuple arabe et musulman s'est affronté à un ennemi juif. On peut donc considérer que cet affrontement historique a rejoué dans l'espace et le temps moderne l'ursurpation identitaire observée dans l'interprétation du Coran, en conférant au processus de l'usurpation identitaire des Palestiniens une dimension religieuse supplémentaire.
Cependant, cela ne signifie pas que cette voie de formation identitaire était la seule possible. L'Histoire n'est pas une voie tracée et préconçue. Les Palestiniens auraient pû créer leurs propres mythes des origines, ils auraient pû rassembler leur identité autour de leurs danses, de leur coutumes, de leur nourriture. C'est à ce point que la responsabilité de leurs leaders est lourde, elle qui a influé sur la forme de cette identité par la propagande, par les revendications, et par l'éducation des enfants.
5. Les Revendications territoriales et la réécriture de l'histoire
On ne comprend rien à l'absence évidente de limite de l'appétit palestinien pour toujours plus de nouvelles terres, de nouvelles concessions, si on n'analyse pas cet appétit vorace en parallèle avec la réécriture de l'histoire par les médias palestiniens et le problème identitaire que nous avons décrit. Répétons le:
L'identité palestinienne se fonde tragiquement sur un mouvement d'envie qui la condamne, pour se réaliser, à réaliser l'usurpation identitaire mais aussi historique, et territoriale.
On assiste ainsi à des événements aussi halucinants qu'une carte de Palestine effaçant jusqu'au nom d'Israël. Les choses sont alors clairement exprimées: si la Palestine existe, Israël doit disparaître. Mais la réécriture de l'histoire procède absolument de la même logique. Le site de l'Autorité Palestinienne prend beaucoup de soin à réécrire toute l'histoire du Mont du Temple, et de lui substituer une histoire qui serait celle d'une mosquée ayant existé depuis des siècles, bien avant Salomon le Magnifique, bien avant Israël, et peut être même bien avant l'Islam. Les Juifs se sont trompés, entend-on répéter dans les médias palestiniens. Le Mont du Temple n'a jamais été le Mont du Temple. Et puis, les Juifs n'ont jamais sû où était leur temple. Et puis d'ailleurs, les Juifs n'ont jamais été en Israël. Le passé hébraïque est une propagande sioniste...
Pourquoi tous ces efforts de la propagande, que ne commente jamais la presse européene? Tout simplement parce qu'il est vital, à ce stade de l'histoire de la formation identitaire palestinienne, de procéder à la destruction symbolique de l'Israëlien, de l'effacer de la carte comme de l'histoire, pour pouvoir prendre sa place.
Cette situation est donc beaucoup plus préoccupante que des problèmes de négociations, ou même les faits bruts que nous décrivent les journeaux. Ce ne sont pas les revendications palestiniennes qui seront le problème le plus grave que devra traiter Israël à l'avenir, mais la cause de ces revendications, son origine, sa source, c'est-à-dire la forme destructrice d'une identité nationale qui ne pourra, fondamentalement, accepter aucune concession donnant un droit d'existence à Israël sans renoncer à sa propre existence.
Deuxième docuement:
L'OLP ADMET, APRES OSLO, QUE SON BUT RESTE LA DESTRUCTION D'ISRAEL
1) "la lutte contre l'ennemi sioniste n'est pas une question de frontières, mais touche à l'existence même de l'entité sioniste"
==> BASSAM-ABOU-SHARIF, porte parole de l'OLP, KUWAIT NEWS AGENCY, 31/05/96
2) ele but STRATEGIQUE est la libération de la palestine, du Jourdain à la Mediterranée, même si cela signifie que le conflit doivent durer encore mille ans ou pendant de nombreuses généations à venir"
===> FAYAL HUSSEINI, interview accordée à AL-ARABI (egypte) le 24/06/01
3) "La bataille ne se terminera pas avant que la TOTALITE DE LA PALESTINE, ne soit libérée"
===> Yasser Arafat, VOICE OF PALESTINE, 11/95
4) "Benie sois-tu, tes fils reviennent; Jaffa, Lod, Haïfa, Jerusalem, vous revenez"
===> yasser aerafat, MAARIV, 07/09/95
5) "après l'établissement d'un Etat palestinien das la totalité de la Cisjordanie et de Gaza, a lutte contre Israel contunuera"
===> AMI BISHARA - député à la Knesset - supplémént du Haaretz, 22/05/98
6) Notre but est d'éliminer l'Etat d'Israel et d'établir un Etat qui soit enrièrment palestinien"
===> Yasser arafat, sesion privée avec des diplomates arabes en Europe, MIDDLE EAST DIGEST, 07/03/96
7) "nous perdrons ou gagnerons, mais notre regard restera fixé sur notre but stratégique, à savoir la Palestine du Jourdain à la mer"
===> Marwan Bargouti, Chef du fatah de Cisjordanie, NEW YORKER, 02/07/01
YASSER ARAFAT COMPARE LES ACCORDS D'OSLO AU PACTE D'HOUDAIBIYA
8) mai 1994: discours à la mosquée de Johannesbourg. Yasser arafat compare les accords d'oslo au pacte de Houdaibiya
9) mai 1998: interview dans un journal egyptien: "le sort des accords d'oslo ne sera guère différent des accords avec le Quoreish"
10) 11/98: discours prononcé devant des membres de la branche jeune du fatah: la paix d'oslo est une paix à la Houdaibiya"
POUR CEUX QUI NE SAVENT PAS CE QU'EST HOUBADYA =======>
en l'an 629, Mohamed avait tenté de conquérir la Mecque avec ses bédouins. Mais, en cours de route, la plupart des bédouins l'avaient abandonné. Se rendant compte qu'il n'était pas suffisamment puissant pour veni a bout de la tribue QUOREISH de la mecque, il avait conclu un pacte de 10 ans avec elle, connu sous le nom de paste d'HOUDAIBIYA. Puis des mois plus tard, après que Mohamed soit aprvenu à ralier des foes suffisantes, il a violé le pacte, attaquant la mecque qu'il a alors conquise.
LA CONDUITE DE Mohamed est restée depuis lors un modèle à suivre pour la manière de traiter les ennmis de l'Islam lorsque l'on se trouve en position de faiblesse.
YASSER ARAFAT ADMET QU'IL A SIGNE LES ACCORDS D'OSLO AFIN DE POUVOIR METTRE EN OEUVRE LE "PLAN PAR ETAPES" DE 1974
11) "seul un Etat palestinien est capable de poursuivre la lutte à mener pour chasser l'ennemi de toutes les terres palestiniennes"
===> jerusalem post, 18/11/94
12) "C'est le programme par étape que nous avons tous adopté an 1974. Pourquoi vous y opposez-vous?"
===> Yasser Arafat, en réponse à ceux qui sont opposés aux accords avec Israel, 07/95
13) "Oslo II applique, en la différant, l'une des étapes du plan par étapes de l'OLP de 1974
===> A-DAYSUR (jordanie), 19/09/1995
LA NON ABROGATION DE LA CHARTE DE L'OLP APRES LES ACCORDS D'OSLO
14) "je mentirais si je vous disais que je vais l'abroger. Personne ne peut le faire"
===> conférence donnéee par yasser Arafat à Harvard
LE REFUS DE L'OLP D'ABANDONNER TOUT RECOURS A LA VIOLENCE APRES OSLO
15) "nous avons décidé de libérer notre patrie par étapes. SI Israel continuait, alors pas de problème... Si Israel dit "assez", lorsque cela arrivera, nous aurons de nouveau recours à la violence. Mais cette fois ce sera avec 30.000 soldats palestiniens armés et à partir d'une terre"
===> NABIL SHAATH, responsable palestinien de premier plan, dans un discours fait à Naplouse en 01/96
16) "l'Autorité palestinienne n'exclut pas le retour à la lutte armée, et elle utilisera ses armes"
===> Mohamed Dahlan, responsable de l'OLP de premier plan, JERUSALEM REPORT, 28/11/96
17) "Si Israel rejette nos demandes, nous réagirons et nous disposerons alors d'une force armée de 30.000 hommes"
==> Yasser arafat, Israel radio, 07/06/96
18) "tout ce que vous voyez et que vous entendez aujourd'hui a des raisons tactiques et stratégiques. Nous n'avons pas renoncé à nos armes. Nous avons toujours des bandes armées dans ces régions et si nous n'obtenons pas notre Etat nous les sortirons de nos cachettes et nous reprendrons la lutte"
===> Fayal Husseini, discours fait à l'université de Bir-Zeit, le 22/11/1993
NEGATION DE TOUT LIEN ENTRE LE PEUPLE JUIF ET LA TERRE D'ISRAEL
19) "Il n'y a pas de preuve tangible qu'il y ait la moindre trace ou le moindre vestige juif, que ce soit dans la vieille ville de Jerusalem ou dans le voisinage immédiat"
===> communiqué publié par le ministère palestinien de l'information, 10/12/97
20) "le mur d'Al-Buraq (mur des lamlentations) et sa place sont une propriété religieuse musulmane... Il fait partie de la mosquée Al-Aqsa. Les juifs n'ont aucun lien avec cet endroit"
===>Mufti de Jerusalem, nommé par Yasser Arafat, Al AYAM (Journal de l'autorité palestinienne), 22/11/97
21) "le mur d'Al-Buraq est une propriété musukmane et fait partie de la mosquée d'Al-aqsa"
===> Le ministre des affaires religieuses de Yasser Arafat, HASSAH TAHBOOB, dans une interview accordée à l'agence de presse, IMRA, le 22/11/97
22) "ce n'est pas du tout le mur des lameentations, mais un sanctuaire musulman"
===> yasser arafat, MAARIV, 11/10/96
23) "tous les évenements liés au roi Saul, au roi David et au roi Rehoboam se sont déroulés au Yemen, et aucun vestige hébreux n'a été trouvé en Israel pour la bonne et simple raison qu'il n'y ont jamais vécu"
===> JARID AL-KIDWA, historien arabe, au cours d'un programme éducatif de l'OLP, en 06/97, et cité dans HAARETZ le 06/07/97
24) "Jerusalem n'est pas une ville juive, en dépit du mythe biblique qui a été semé dans certain esprits. Il n'y a pas d'évidence tangible de l'existance juive d'un soi-disant "Temple du mont Era". On doute de l'emplacement du mont du temple. il se peut qu'il ait été situé à Jericho ou ailleurs"
===> Walid AWAD, directeur des publications pour l'étranger du ministère de l'information de l'OLP, interviewé par l'agence de presse, IMRA le 25/12/96
25) Abraham n'était pas juif, pas plus qu'il était hébreu, mais il était tout simplement irakien. Les jufis n'ont aucun droit de prétendre disposer d'une synagogue dans la tombe des patriarches à Hebron, lieu où est inhumé Abraham. Le bâtiment tout entier devrait être une mosquée"
===> yasser arafat, cité dans le Jerusalem Report, 26/12/96
NEGATION DE LA SHOA PAR L'OLP
26) "la persécution des juifs est un mythe mensonger que les juifs ont qualifié d'holocauste et ont exploité pour se faire plaindre"
===> Al Hayat Al Jadeeda, journal de l'autorité palestinienne, 02/07/98
27) "les nazis ont probablement tué moins d'un millions de juifs, et le mouvement sioniste a participé au massacre"
===> citation tirée d'un livre d'Abou Mazen, numéro 2 de yasser arafat et négociateur de premier plan à Oslo
28) "La Shoa est un mensonge des sionistes concernant de soi-disant massacres perpétrés contre les juifs"
===> Al HAYAT AL JADDEDA, journal de l'autorité palestinienne, 03/09/97
29) "il est bien connu que tous les ans les juifs exagèrent de plus en plus la portée de ce que les nazis leur ont fait. Ils prétendent qu'il y a eu six millions de victimes, mais des recherches précises scientifiques démontrent qu'il n'y en a pas eu plus de 400 000"
===> Télévision palestinienne, 25/08/97
Troisième document:
Les impots des européens servent à financer le terrorisme palestinien Le 30 octobre, 4 jours avant la conférence économique de Majorque sur le Moyen-Orient, l'Allemagne annonça qu'elle transférait 250 millions de Deutchmarks à l'Autorité Palestinienne. Le 22 octobre, quand les forces israéliennes firent irruption dans les bureaux du Quartier Général de la Garde Présidentielle de Yasser Arafat (la Force 17) pour rechercher les assassins du ministre, ils trouvèrent un tas extraordinaire de documents prouvant qu'Arafat paye l'intégralité du budget des organisations terroristes Tanzim et Fatah avec ses propres deniers, sur son budget "présidentiel". Les chiffres sont écrits noir sur blanc. Chacun des 10.000 terroristes du Tanzim reçoit mensuellement 875 shekels soit 1.400 francs français, et ceci depuis qu'Arafat a déclaré la guerre à Israel en septembre 2000, soit à ce jour l'équivalent de 200.000.000 de francs.Les documents montrent les directives d'Arafat signées de sa propre main, 3 semaines avant le déclenchement de l'Intifada (oui, 3 semaines AVANT), pour verser 22.000 dollars sur le compte en banque de CHACUN des dirigeants de l'organisation terroriste Fatah, comme remboursement des frais de création de la nouvelle organisation terroriste "TANZIM". Un corps de palestiniens a été formé pour préparer des attentats à la bombe, des tirs sporadiques, des lynchages, et toute autre forme de terrorisme décidée par les dirigeants.Les bénéficiaire de cette manne sont le Commandant des Tanzim Marwan Barghouti, ainsi que Kemal Hamad, Ahmed Abayat (éliminé ce mois-ci) Issam Abu Bakr, et bien d'autres sbires d'Arafat.Les procédures sont très détaillées sur les documents.Arafat remplit ses caisses destinées au terrorisme grâce aux subsides décidés par les pays de l'Union Européenne, parmi lesquels l'Allemagne, la Belgique, la France, l'Angleterre et l'Italie. Depuis qu'Arafat a déclaré la guerre à Israël il y a 14 mois, vous avez contribué par vos impôts, régulièrement et à votre insu, aux actes terroristes commis contre les innocents en Israël: Bombes dans les bus, les restaurants, les discothèques, bébés assassinés, etc etc. Le montant total de ce soutien au terrorisme s'élève à environ US $ 2,190,000 par mois, soit US $ 31million depuis septembre 2000.Notons que les documents saisis ne font apparaitre qu'une partie de ce financement, à savoir la part européenne ! Des experts pensent qu'au total Arafat dépense pour le crime presque autant que Bin Laden, à savoir 300 millions de dollars par an. 2) Arafat en auditPar Steve Rodan Dictature policière, gestion "patrimoniale", détournement de l'aide internationale : le bilan accablant de trois années d'autonomie palestinienne. Seize ministres des Territoires palestiniens autonomes, sur un total de dix-huit, ont remis leur démission a Yasser Arafat le 4 août 1997. Ils ont été mis en cause par un audit interne de l'Autorité palestinienne, publié le 21 juillet. Selon ce document, 326 millions de dollars - plus de 40 % du budget des Territoires - auraient été "gaspillés" ou dilapidés" en 1996, sinon même purement et simplement détournés par les ministres ou hauts fonctionnaires qui en avaient la charge."Les comptes officiels de certains ministères ont été ouverts au nom du ministre titulaire, sans que le ministère des Finances en ait été informé, note le rapport... Des dons et des aides de l'étranger ont été versés sur ces comptes sans être enregistrés dans les budgets ministériels".Des constatations accablantes. Mais qui seraient elles-mêmes, selon de nombreux observateurs palestiniens ou étrangers, bien en deçà de la réalité. Dans une opinion publiée le 23 juin 1997 par le Washington Post, l'écrivain palestinien Fawaz Turki décrivait le régime en place en Cisjordanie et à Gaza comme "la dissolution de toute société civile, de toutes normes civilisées, de tout espoir". Tandis que dans le Guardian du 27 juillet 1997, le journaliste britannique David Hirst, spécialiste de la question palestinienne, le définissait comme un "édifice branlant de népotisme, de racket et d'extorsion".L'Autorité palestinienne contrôle actuellement la quasi-totalité des agglomérations palestiniennes de Cisjordanie et de Gaza : une population de 2 millions âmes, avec un PNB qui se situerait, selon la Banque mondiale, aux environs de 3 milliards de dollars. D'importantes disparités existent entre les deux zones palestiniennes : en 1992, le revenu par habitant était de 2500 dollars en Cisjordanie et de moins de 1200 dollars a Gaza ; en 1997, le revenu par habitant serait reste à peu près le même en Cisjordanie mais aurait baissé de près de 40 % a Gaza.Sur le papier, la Palestine autonome créée en 1993 par les accords d'Oslo et mise en place est partir de 1994 dispose d'institutions démocratiques : un Conseil législatif élu en janvier 1996, un président élu par ce Conseil, un gouvernement désigné par le président, une Cour suprême, des tribunaux, des conseils municipaux. En fait, tous les pouvoirs sont concentrés entre les mains de Yasser Arafat, qui est à la fois le président de la Palestine autonome et le chef de l'OLP, le mouvement national palestinien. Installé à la tête de la Cisjordanie et de Gaza, en vertu des accords d'Oslo, ce dernier gouverne par la force et par l'argent, les deux étant d'ailleurs liés.La force, ce sont près de 50 000 gendarmes et agents secrets recrutés à l'étranger et ne dépendant que de lui seul : ce qui ferait de la Palestine autonome, observe Fawaz Turki, "le pays doté du plus grand nombre de policiers par habitant". Selon les organisations des droits de l'homme, quartorze personnes au moins sont décédées sous la torture dans les prisons palestiniennes depuis 1994 ; un nombre plus élevé encore de personnes a "disparu" ou a été sommairement exécuté.L'argent, c'est celui de la société Al-Bahr ("La Mer"), le holding présidé par Suha Arafat, l'épouse du président. Crée en 1995, Al-Bahr contrôle directement ou indirectement toute l'économie des Territoires autonomes, des BTP a l'hôtellerie, de la publicité a l'édition et de l'informatique aux loisirs. Une entreprise qui refuserait de le prendre pour partenaire ou associé se verrait refuser l'attribution ou le renouvellement de la "licence" : le permis, institué par le pouvoir autonome palestinien dès 1994, nécessaire a toute activité industrielle ou commerciale.- Al-Bahr porte vraiment bien son nom, dit-on à Gaza. Elle a recouvert la Palestine de ses flots.Le capital initial d'Al-Bahr a lui-même été prélèvé sur le "trésor de la révolution" : entre 7 et 12 milliards de dollars (deux a quatre fois le PNB de la Cisjordanie et de Gaza), amassés pendant une trentaine d'années par des moyens divers, allant du meilleur (des placements judicieux) au pire (l'"impot révolutionnaire" levé sur les réfugiés palestiniens, le chantage au terrorisme, des pillages et des trafics divers, notamment au Liban entre 1975 et 1982 avant qu'ils en soient chassés par les israéliens).Cette fortune colossale est déposée à travers le monde sous la signature personnelle d'Arafat. A la veille des accords d'Oslo, le chef de l'OLP l'utilisait pour payer directement ses 100 000 ( ! ) combattants et permanents politiques : en prenant soin de ne jamais laisser à un bureau ou a une unité de l'OLP plus d'un mois d'avance en trésorerie. Depuis la mise en place des Territoires autonomes, Arafat tend à réserver le "trésor" pour les investissements a long terme et a recourir à une autre source de financement pour ses dépenses politiques et militaires : l'aide internationale.Trente-quatre pays et quatre organisations internationales se sont engagés des 1994 a verser près de 2,4 milliards de dollars a l'Autorité palestinienne sur quatre ans, entre 1994 et 1998, soit au titre de l'aide au peuple palestinien, soit pour soutenir le processus de paix au Proche-Orient. En 1996, lors de la conférence de Paris sur l'aide internationale à la Palestine, 865 millions de dollars supplémentaires ont été débloqués. En outre, Israël accorde des facilités de trésorerie pouvant atteindre, selon certaines estimations, 500 millions de dollars par an.Tant pour renforcer la mainmise d'Al-Bahr sur l'économie palestinienne que pour redistribuer l'aide internationale a sa convenance, Arafat a eu intérêt au délabrement et a la désagrégation de toute comptabilité nationale et de toute fiscalité régulière dans les Territoires. Cet effondrement a favorisé, à son tour, une corruption à grande échelle. Si Arafat passe pour mener personnellement un train de vie assez austère, il n'en va pas de même, en effet, du reste de l'Establishment palestinien : ceux qu'on surnomme les "Tunisiens" parce qu'ils vivaient avant 1994 a Tunis, la ville ou l'OLP s'était repliee après les opérations israéliennes sur Beyrouth en 1982.Des fortunes tapageuses ont été édifiées en trois ans, alors même que le niveau de vie des Palestiniens stagnait ou déclinait. Le cas d'Abou Mazen, l'un des "architectes" des accords d'Oslo, est souvent cité : la résidence qu'il s'est fait bâtir à Gaza, dans un style "croisé" du plus bel effet, mi-oriental, mi-gothique, est évaluée a plus de 2 millions de dollars. Autre parrain du processus de paix, Nabil Shaath s'est approprié, avec le soutien d'Al-Bahr, la jeune industrie informatique palestinienne. Lors de son récent remariage, il n'a pas donné moins de quatre réceptions : a Gaza, au Caire, à Orient House, le siège officieux des institutions palestiniennes à Jérusalem-Est, et enfin a l'Hôtel Ambassador, immeuble "privé" de Jérusalem ou il pouvait accueillir en toute tranquillité ses amis israéliens.Le système Arafat a atteint actuellement ses limites. 2 milliards de dollars d'aide internationale, sur les 3,2 milliards promis, n'ont pas été versés ou sont "gelés" jusqu'à ce que l'Autorité palestinienne apporte des garanties sur l'emploi qui en sera fait. Un donateur tel que la Norvège, qui s'est engagé pour la somme tout-à-fait considérable de 100 millions de dollars, a été choqué de découvrir, par exemple, que des fonds destinés à des projets agricoles avaient "disparu". La Grande-Bretagne n'a pas apprécié qu'une partie de son aide soit affectée, sans qu'elle le sache, à la police politique d'Arafat, le Mukhabarat Siri. D'autres donateurs, comme les Etats-Unis et Israël, sont moins exigeants en matière purement financière, mais intraitables en ce qui concerne les contreparties politiques attendues de l'Autorité palestinienne : l'arrêt total du terrorisme ou la renonciation a une rhétorique de djihad anti-israelien et anti-occidental.L'opinion palestinienne, quant a elle, est en train de glisser du désenchantement a la fronde. Une évolution que les mesures répressives prises à l'encontre d'intellectuels célèbres à le suite de leurs critiques - l'interdiction de parole signifiée au philosophe americano-palestinien Edward Said, l'arrestation du journaliste Daoud Kuttab - n'ont fait qu'accélérer. Dans son article du Washington Post, Fawaz Turki n'hésite plus, par exemple, a s'en prendre personnellement a "Yasser Arafat, cet homme aux origines incertaines qui n'a pas lu une demi-douzaine de livres de sa vie ni exerce la moindre profession honnête".C'est en partie pour desserrer cette double pression qu'Arafat a fait réaliser l'audit de l'Autorité palestinienne. Une "transparence" homéopathique, en quelque sorte. D'ailleurs les états arabes ne sont pas aussi idiots que les européens : combien soutiennent les palestiniens ?......
Quatrième document:
Ca va pas si mal...
© Metula News Agency
A en croire le coordinateur israélien des opérations dans les territoires palestiniens, Amos Gilad, d’habitude bien informé, la situation économique des Palestiniens se serait largement améliorée ces derniers jours. Ainsi, un ministre de l’Autorité Palestinienne a pu envoyer ses deux chiens à Paris afin d’y subir un traitement vétérinaire.
Au lieu d’envoyer des dons à Arafat pour nourrir les affamés de son Intifada, pensez à l’APBALP (l’Association Pour le Bien-être des Animaux de Luxe de Palestine), les ministres révolutionnaires vous en remercient !
Médor hou-Akbar !
Aïe aïe aië, la Tribune de Genève...
reprenant à nouveau, et sans réfléchir, une dépêche de l’AP, en page 6 de sa livrée de lundi, annonce sous le titre Marouan Barghouti sera jugé en Israël que le ci-nommé "est accusé par Israël d’être le cerveau des Brigades d’Al-Aksa". La Tribune définit encore Barghouti comme le chef du Fatah en Cisjordanie.
Etant un peu – tu veux mon n’veu – au courant de ce procès, je vous affirme, à mon tour, que les actes cités par l’AP et la TdG ne constituent en aucune manière les raisons principales qui ont mené à l’arrestation du coquin et à sa comparution devant un tribunal.
En vérité, Barghouti est accusé par la justice israélienne d’avoir organisé et ou dirigé l’assassinat de dizaines d’Israéliens, dont la plupart étaient de paisibles civils.
La malinformation de l’Associated Press est pernicieuse. Si Barghouti est jugé pour les responsabilités qu’il occupait au sein du Fatah, il est un prisonnier politique, alors que s’il a à répondre de l’envoi d’individus armés s’attaquant systématiquement à des civils ayant perpétré des boucheries dans les rues d’Israël, Barghouti est un terroriste présumé (jusqu’au verdict du procès).
Et si la Tribune de Genève dispose d’arguments inédits afin de mettre en doute la participation de Marouan Barghouti à ces meurtres, nous, à la Ména, serions curieux d’en prendre connaissance. Tout comme nous serions intéressés de savoir si l’AP et ou la TdG considèrent le fait d’envoyer des bombes humaines se faire sauter dans les bistros juifs, comme des actes de résistance ? Et si, de surplus, l’acte d’accusation contre le Palestinien ne lui plait pas, le journal suisse peut expliquer pourquoi. De là à bidouiller la présentation dudit acte d’accusation, c’est un pas qu’il ne devrait pas faire, car il transforme un poly assassin présumé en victime présumée.
Après avoir accusé Bill Clinton de flag de faux témoignage, dans le seul but de ridiculiser Charles Enderlin et une ribambelle de journalistes insomniaques dont l’ex président brise la chimère, la Tribune devrait cesser d’écrire n’importe quoi sous prétexte qu’elle reprend une dépêche d’agence ! Quant à l’AP, c’est bof, bof, bof… Toujours le même dilemme : Rapporter l’information ou la fabriquer, il faut vraiment choisir !
Ilan aimerait bien voir la bouille de...
l’ambassadeur de France qui s’est abstenu lors du vote qui a propulsé le représentant de la Libye à la présidence de la Commission des droits de l’homme de l’ONU. C’est parce que la tronche de ses chefs, Ilan la connaît déjà.
Quitte à se moquer des droits de l’homme jusqu’au bout – c’est vrai, c’est un concept parfaitement inutile -, la Ména propose Saddam Hussein à la présidence de la Commission de contrôle de la prolifération des armes nucléaires !
Je vais quand même envoyer un poster signé de Chirac et de De Villepin aux familles des 170 victimes du DC-10 français abattu par Kadhafi au-dessus du Niger en 1989. J’suis pas sûr que l’insupportable légèreté de l’âme du Quai-des-Oublis les fasse tous marrer…
Rancuniers dans la diplomatie française ? Nooon, mais attachés aux valeurs traditionnelles de la France ! A trois on baisse son pantalon ! Et un, et deux, et tr…
Cinquième document:
Histoire: 5000 ans d'histoire de la ville de Jérusalem...
(-3150 ; -1200) L'époque cananéenne
De cette époque, on a peu de traces, si ce n'est que le nom de Jérusalem apparaît sur des anciennes statues d'argile égyptiennes. Les Jébuséens, premiers habitants de Jérusalem lui donnèrent leur nom.
(-1000 ; -586) La monarchie, le premier Temple
La ville acquiert son statut national et religieux après sa conquête par le roi David. C'est son fils Salomon qui fait construire un temple pour y installer l'arche d'alliance et qui lui donne sa prospérité. A la mort de Salomon, le royaume d'Israël est divisé entre ses héritiers. Jérusalem n'est plus que la capitale du royaume de Judée. En -586, le roi de Babylone Nabuchodonosor occupe la ville et exile la plupart des habitants.
(-536 ; -333) Le retour et le deuxième Temple
Le roi Cyrus de Perse autorise les exilés à revenir. C'est le scribe Esdras qui obtiendra la reconstruction des murs de la ville et obtiendra un retour aux préceptes religieux du judaïsme.
(-333 ; -37) L'époque hellénistique et Asmonéenne
Alexandre le Grand envahit tout l'empire perse en 333. Son descendant, Antiochus IV Epiphane entreprend d'helléniser la ville. Mais lorsqu'il veut instaurer le culte de Jupiter, il provoque la révolte des Asmonéens sous la conduite de Judas Maccabée qui permet la libération de Jérusalem et la purification du Temple. S'ensuivit une période d'indépendance de 80 ans.
(-37 ; +70) L'époque hérodienne et la destruction du Temple
Jérusalem est prise par les romains en -63 mais c'est Hérode qui est roi de Judée sous contrôle romain. Une deuxième muraille est élevée, plus au nord. C'est évidemment l'époque de la naissance du christianisme autour de Jésus de Nazareth, crucifié sur le rocher du crâne près de Jérusalem, enterré à proximité dans le jardin d'un de ses disciples Joseph d'Arimatie, et selon les chrétiens, ressuscité. Ces événements feront de Jérusalem une ville sainte pour les chrétiens. En attendant, ceux ci quittent en majorité la ville. La révolte des zélotes en l'an 66 conduit au siège de Jérusalem. L'empereur ordonne de raser la ville. Les soldats massacrent les habitants et jettent des torches sur le temple dont les boiseries s'enflamment, la chaleur fait exploser les pierres du Temple qui est détruit. Le judaïsme n'a plus de Temple (lieu unique de la présence de Dieu). La ville est désertée pour 60 ans.
(135 ; 324) L'époque romaine : Aelia Capitolina
L'empereur Hadrien entreprend de fonder une nouvelle ville, païenne, sur les ruines. Il la renomme Aélia Capitolina. Les juifs y sont proscrits et le christianisme n'y est pas toléré. L'empereur Hadrien renomma la terre avec un nom dérivé des philistins: Palestine
(324 ; 638) L'époque byzantine
Le christianisme devenu religion officielle de l'Empire sous Constantin, des églises vont être érigées partout dans Jérusalem qui attire des foules de pèlerins. Sous l'impulsion d'Hélène, mère de l'empereur, l'Eglise du St Sépulcre sera construite sur les lieux présumés du Calvaire. Une autre église est construite sur le mont Sion pour commémorer la dormition de la Vierge et le site de la Cène. Au V ème siècle l'impératrice Eudoxie vient s'installer à Jérusalem et la ville s'agrandit considérablement. Elle fait construire la basilique St Etienne. Jérusalem devient un patriarcat au même titre que Rome, Constantinople, Antioche, et Alexandrie. Les Perses sassanides s'emparèrent de la ville en 614, qui fut reprise en 629 pour finalement tomber aux mains des Arabes en 638.
(638 ; 1099) La première époque Islamique
Le patriarche Sophronius remit les clés de la ville à Omar, le chef des armées arabes et reçut en échange l'assurance que les droits des chrétiens seraient respectés. A la fin du VIIème siècle, Jérusalem devient le troisième lieu saint de l'Islam après la Mecque et Médine. Le mont du Temple et le Rocher furent identifiés comme le lieu d'où le prophète prit son envol pour le paradis. D'où la construction du dôme du rocher dont la splendeur illumine encore Jérusalem. Puis le régime éclairé des Arabes Omeyyades fit place à la dynastie des Turcs Abbassides. Ce fut une ère de déclin pour Jérusalem.
(1099 ; 1250) L'époque des croisés et la dynastie Ayyubide
Les croisés conquièrent Jérusalem en 1099 sous prétexte que les chrétiens ne pouvaient plus s'y rendre en pèlerinage. Les habitants juifs et musulmans sont massacrés. Le royaume latin de Jérusalem est instauré. De nombreuses églises sont construites. Saladin reconquiert la ville en 1187. Saladin restaure les fortifications de la ville et les prolonge jusqu'au mont Sion. Les juifs sont autorisés à revenir.
(1250 ; 1517) L'époque Mameluk
Originaires des steppes d'Asie et fraîchement islamisés, les Mameluks conquièrent la ville et y entreprennent de grandes constructions : écoles, institutions de charité, auberges.
(1517 ; 1917) L'époque Ottomane
Ils sont bientôt renversés par les Turcs Ottomans. Soliman le magnifique porte un grand intérêt à la ville et la restaure puis elle décline. C'est avec l'expulsion des juifs d'Espagne au XV - XVIèmes siècles que la Jérusalem juive renaît. C'est sous le gouverneur d'Egypte Ibrahim Pacha que la ville s'ouvre à nouveau à l'occident. De nombreuses associations religieuses s'y installent. Le chemin de fer arrive à la fin du XIXème. Des chercheurs viennent cartographier Jérusalem et étudier son passé.
(1917 ; 2000) L'époque moderne et la renaissance d'Israël
A la fin de la 1ère guerre mondiale, Jérusalem est prise par les Anglais. Un vaste plan d'urbanisation est lancé, en pierre de Jérusalem (béton et tôle sont proscrits). Les tensions entre juifs, arabes et britanniques se traduisent par des émeutes sanglantes en 1920, 1929, 1936-39. Avant l'échéance du mandat britannique de 1948, des affrontements guerriers entre Juifs et Arabes aboutissent à la prise d'une partie de la ville par ces derniers après un long siège. La ville est coupée en deux. L'état d'Israël, dès sa formation, fait de Jérusalem sa capitale malgré les champs de mine qui séparent la ville. Lors de la guerre des Six Jours en 1967, les Juifs reprennent la ville. Toutes les religions s'y côtoient à nouveau, malgré les tensions.
A QUI APPARTIENT JERUSALEM ?
-Depuis combien de temps Jerusalem est-elle la capitale du peuple Juif ? 3000 ans.
-Combien de fois Jerusalem est-elle mentionnee dans l'ANCIEN TESTAMENT ? 657 fois
-Quelle est la ville dans laquelle tous les Juifs doivent venir en pelerinage ? Jerusalem
-Depuis combien d'annees Jerusalem a -t-elle ete la capitale arabe ou musulmane ? 0
-Combien de fois Jerusalem est-elle mentionnee dans le Coran ? 0
-Quelle est la ville ou tous les musulmans sont censes aller en pelerinage ? La Mecque
-Nombre de synagogues dans le Quartier juif de la vieille ville au moment de sa conquete par les jordaniens en 1948 : 58
-Nombre de synagogues du Quartier juif detruites et profanees par les Jordaniens lors de leur conquete en 1948 : 58
-Nationalite des officiers qui aiderent la legion arabe a s'emparer du Quartier juif en 1948 et qui en chasserent tous les Juifs : Britannique
-Nombre de Chretiens a Jerusalem-est en 1948, lorsque les Jordaniens en prirent le controle : 25.000
-Nombre de Chretiens a Jerusalem-est en 1967, a la fin de la souverainete jordanienne : 10800
-Population musulmane de Jerusalem:
* en 1922 : 13, 413
* en 1994: 145.000
-Population Chretienne de Jerusalem:
* en 1922: 14,699
* en 1994: 15.000
-Population Juive de Jerusalem:
* en 1922: 33,971
* en 1994 : 406.000
-Nombre d'arbres plantes par les Juifs a Jerusalem et autour de Jerusalem dans les dernieres decades : 11 millions
-Nombre d'acres transformes en espaces verts et en parcs par les Juifs a et autour de Jerusalem : environ 9000
-Nombre de fois ou les Juifs du monde entier se tournent vers Jerusalem afin de reciter leurs prieres chaque jour : 3
-Nombre de fois ou les musulmans se tournent vers Jerusalem : 0 (Ils font face a la Mecque)
A qui appartient donc Jerusalem ? A l'heure ou le Vatican et l'autorite palestinienne pactisent afin de tenter de s'emparer de Jerusalem, soutenus par les nations du monde, on peut se poser la question.Ces quelques donnees vous aideront a faire le point.
Jérusalem dans l'Islam
L'Imam de Rome , le Professeur Abdul Hadi Palazzi, un théologien très érudit, qui possède entre autres un doctorat en sciences islamiques par décret du grand Mufti d'Arabie Saoudite, a pris des positions extrêmement courageuses. Depuis quelques années, il fait entendre la voix d'un tout autre Islam, évidemment très minoritaire, fondé sur de nombreux versets du Coran. Il s'appuie notamment sur les versets : Sourate XVII, 100-104 et Sourate V, 20-21 pour affirmer que la terre d'Israël a été donnée non aux enfants d'Ismaël - qui ont reçu l'Arabie - mais aux enfants de Jacob, donc au peuple d'Israël. Le commandement fondamental de l'Islam étant la soumission à Dieu, se révolter contre Israël, c'est se révolter contre Dieu.
Sixième document:
Dernier rapport spécial de Palestinian Media Watch, ou comment l'Autorité pakestinienne incite ses enfants au martyre
"Recherche la mort !" tel est le titre du dernier rapport spécial de Palestinian Media Watch - l'Observatoire des médias palestiniens. Rapport accompagné d'un CD Rom qui reprend des séquences de la télévision officielle palestinienne, des articles de journaux, etc. et que l'on peut visionner sur le site www.pmw.org.il
Le titre est une citation reprise à la télévision officielle palestinienne qui, à la fin d'un clip destiné à inciter les enfants palestiniens à mourir en martyrs pour Allah -Shahid -, projette sur un écran noir, portant le sigle de la chaîne, ces mots, en arabe et en anglais : "Recherche la mort et la vie te sera donnée".
Un clip éminemment symptomatique de l'endoctrinement systématique auquel sont soumis sans relâche les enfants palestiniens depuis les débuts mêmes de l'Intifada actuelle.
Comme le démontre le rapport, preuves irréfutables à l'appui, l'endoctrinement des enfants se fait de manière globale et sur tous les fronts : dans des clips pour enfants qui passent plusieurs fois par jour à la télévision, tous les jours, des mois durant, des textes dans des livres scolaires, des activités dites culturelles, des déclarations des autorités politiques, des responsables religieux, l'attitude des parents et de la population palestinienne en général.
Tout converge pour donner un message clair et incontournable : il n'y a d'avenir pour un enfant palestinien que le martyre -Shahada -.
Les clips sont très divers. Il y a une "Lettre d'adieu," écrite par un écolier sympathique qui demande à son père de ne pas être triste lorsqu'il apprendra sa mort et enjoint sa mère d'être heureuse lorsqu'elle apprendra qu'il a versé son sang. Clip diffusé jusqu'à trois fois par jour en 2001 et 2002 et qui se termine par la mort de l'enfant, tué par un soldat. Un clip Mohammed Al-Dura où un jeune acteur incite les jeunes téléspectateurs à le rejoindre au paradis où, heureux et insouciant, il joue au cerf-volant parmi les roses. Dans un environnement bien plus attractif que celui de Gaza.
Des photos de Shahid et poèmes à leur gloire se trouvent dans les nouveaux manuels scolaires, que ce soit en langue arabe, en littérature ou en cours de religion. Thèmes que l'on retrouve dans des cours universitaires également.
Les programmes dits culturels de télévision contiennent des scènes de violence, souvent à la limite du supportable, avec cadavres à foison, non pas un exemple à éviter mais, bien au contraire, comme un exemple à suivre, l'accent étant toujours mis sur la gloire et le bonheur des Shahid et, thème récurrent, "l'odeur si plaisante du sang du jeune martyr-.
Voilà six documents qui j'espère, vous feront réfléchir.
PS: si vous en voulez d'autres, j'en ai plein en stock... (vidéo dumensonge palestinien, vidéo où 'lon voit des palestiniens déguisés en hayalim... documents et autres)