Caprices
Ce n'est pas un cliché, culturellement dans les pays arabes les garçons sont conditionés pour etre des pachas et les femmes sont censées leur obeir au doigt et à l'oeil, une femme qui n'obeit pas à son pere fere ou mari c'est le dehonneur total, c'est le partiarcat poussé à l'extreme.
Ancien utilisateur
Les bureaux de Yad L'Achim étaient emplis d'émotion toute la semaine, à l'occasion de cette Bar Mitsva pas comme les autres. En effet, les volontaires de l'organisation ont sauvé le jeune homme et sa mère d'un village arabe, il y a 6 mois.
Au tour des tables chargées de friandises, les dirigeants de Yad L'Achim, dont le secrétaire général, le rabbin Shalom Dov Lipshits, se sont réunis dimanche pour célébrer l'évènement et faire honneur au jeune homme rayonnant de bonheur, alors qu'il entrait sous le joug de la Torah.
Avant la fête, ce dernier est monté à la Torah au Kotel, accompagné du rabbin Ephraïm Groenland, qui est l'un des plus anciens membres de l'organisation. Le jeune homme, portant des phylactères qui lui ont été offertes par Yad L'Achim, est monté à la Torah les yeux embués de larme d'émotion en ce grand jour, qui aurait bien pu ne jamais avoir lieu, sans l'aide de l'organisation.
Le jeune Bar Mistva et le rav Groendland
Les volontaires de Yad L'Achim racontent qu'au moment le plus intense de la cérémonie, le jeune homme a prononcé un discours spontané et plein d'émotion. " Je suis né à nouveau il y a 6 mois," a ouvert le jeune garçon, "C'était le jour où vous êtes arrivés chez moi, au milieu de la nuit, et où, au cours d'une opération dont jusqu'à aujourd'hui je ne connais pas tous les détails, vous nous avez rendus, à ma mère et à moi, la lumière, après de dures années de souffrance et de douleurs indescriptibles et dont je garde les cicatrices jusqu'à aujourd'hui."
"Je n'oublierai jamais cette heure tardive, à laquelle ma mère m'a murmuré à l'oreille : 'cette nuit, des gens biens viendront nous sortir de là'. Maman m'a dit de me coucher et de me tenir prêt, sans me donner d'autres détails. Je n'ai pu fermer l'œil, mais je me suis couché pour obéir à ma mère." C'est cette nuit là que la mère et son fils ont été délivrés du village arabe et ont enfin pu commencer une nouvelle vie. Le jeune homme a remercié de tout son cœur l'organisation Yad L'Achim pour le soutien quotidien qui lui est octroyé, à travers, entre autres, l'attribution d'une Havrouta (compagnon d'étude) qui étudie avec lui la Torah tous les jours, pour qu'il puisse entrer à la Yeshiva dés le début de l'année scolaire prochaine.
Le rav Lipshits (directeur de Yad L'Achim) et le Bar Mitsva
Sur l'organisation :
Yad L'Achim a été fondé en 1950 pour aider les nouveaux immigrants à s'intégrer à leur nouveau pays et pour leur permettre de trouver un cadre religieux approprié. C'est une organisation à but non lucratif et sans affiliation politique.
Au cours des années, son attention s'est tournée vers des questions plus complexes, dont le problème de la menace posée par la mission. Israël a attiré quelque 100 congrégations et sectes missionnaires, parce qu'il présente une grande concentration de Juifs, dont beaucoup sont des cibles de choix, du fait de leur détresse économique et de leur ignorance sur le judaïsme. La lutte contre les missionnaires, qui disposent de budgets annuels de millions de dollars, a longtemps été l'une de premières priorités de Yad L'Achim.
Un autre centre d'attention est l'assimilation et les mariages mixtes. Bien que l'on pensait autrefois que ce problème n'existerait pas dans un Etat juif, même auprès du public non pratiquant, dans les faits on voit un nombre croissant de jeunes filles juives se liant à des travailleurs étrangers et, plus encore, avec des Arabes. En effet, Yad L'Achim reçoit quelques 1.000 coups de fils par an faisant état de cas de ce genre.
Le département des "mariages mixtes" répond à tous ces appels. Dans certains cas, il s'agit alors de lancer une opération commando pour sauver des femmes de villages arabes hostiles et pour les installer en lieu sûr, à travers le pays, là où elle pourront refaire leur vie. Yad L' Achim a d'autres départements, dont un consacré à l'intégration spirituelle des immigrants et un autre, aidant les parents à inscrire leurs enfants dans des établissements religieux.
Les Buts de l'organisation :
Ce qui motive Yad L'Achim est son véritable et profond souci pour ses frères juifs. L'âme juive est une ressource précieuse et trop rare pour être gaspillée, et Yad L'Achim n'est pas disposé à renoncer à la moindre d'entres toutes les âmes de ses frères. C'est pourquoi ils combattent avec une telle intensité autant pour les l'immigrant juif russe, fréquentant un centre missionnaire à Afoula que pour la femme juive mariée à un Arabe.
Il n'y a pas de "cause perdue." Yad L'Achim continuera ses activités de délivrance, ainsi que son travail d'information sur le terrain, tant que le problème de la mission et du mariage entre Juives et Arabes continuera à exister.
Le personnel :
Yad L'Achim ne fonctionne que sur les dons. Une petite équipe d'employés rémunérés est nécessaire et est assistée par de nombreux volontaires. Tous font preuve de professionnalisme, d'un dévouement désintéressé et d'une véritable capacité à agir sous pression.
Chaque département a son personnel professionnel, formé pour traiter son secteur spécifique de responsabilité. Par exemple, le personnel du département de lutte contre la mission et contre les sectes connaît parfaitement la complexité des nombreuses sectes et est bien renseigné sur leurs origines, leurs croyances et leurs tactiques. Ils ont reçu une formation spéciale sur la façon d'aider les Juifs, soumis à un lavage de cerveau. Les employés et les volontaires sont en stand by vingt-quatre heures sur vingt-quatre.
Pour plus de renseignements, visitez le site de l'organisation : http://yadleachim.co.il