L'alliance sera tellement "funky"
Vinia et Mel-k, make it funky
L'esprit de l'alliance est "funky" {x2}
Oui le sujet est ouvert de manière claire
Aucune ambiguïté, nos rapports sont sincères
Oui c'est clair, je vous parle de respect
Et je vous parle de cette valeur qui se perd, en effet!
Hein, le monde moderne dissout les vraies valeurs
Say hein, là il ya de quoi avoir le coeur en
Mille-mille morceaux,
Car les villes-villes aussi Joe!
Sont touchées par le manque de respect oohh!
Come back on a funky track,
Once we start no turning back,
Feel the groove and you will move to this
All night long,
When she learns it starts to go,
When she grows it starts to know,
Respect yourself, and the rest will floooowwww!!!
{Refrain: x2}
Respect yourself, respect the funk,
Respect the ladies
Respect yourself, respect the funk (yeah, ha ha)
Je veux du respect pour le bang, bang
Boogie, boogie, hoogie, hoogie, ah! ah!
Respecte l'ancienne école et sa descendance,
La nouvelle école a besoin de cette présence en France,
Le break est oublié, et le rap est commercialisé,
Le tag disparaît, et le rap resurgit dans les galeries,
D'A.R.T spécialisé,
Malgré tout ça les acharnés demeurent dans chaque spécialité, paix, res-pect,
Aussi à tous les funky de la planète
Mais quand je dis funky,
Pensez plus au comportement qu'à l'esthétique et tous le vent, oui!
Le funky est un état d'esprit,
Sachez que l'oriental number one en fait partie!
Malik in the move,
Find yourself inside the groove,
Music's what we really came here far!
{au Refrain, x2}
Oh! Je suis down avec le mia, mais
Chez nous c'est la peta, qui a comblé ces années-là
Le respect touche aussi les djs hein
Qui nous ont fait hein
Et nous font danser hein oh
Oh yes it's good to be a king,
And yes it's good to be a queen,
Respect yourself, and the rest will flow
Le diamond, voyage sur le sillon
En kilométrage illimité et transmet le son
On l'a empéché de stopper et d'évoluer
Mais Vinia dans le domaine, nous sommes restés
Acharné du respect, tu vis et tu le sais
La vie a fait qu'il n'y a aucune reconnaissance
Pour le rôle du vinyle, je pense comme Gina
Life the bitch, and then you die, hola
{au Refrain, x3}
Ancien utilisateur
Il y a un fossé entre nous deux Sukubus, alors ne viens pas nous comparer pour justifier tes perversions.
Je suis intervenue sur proche orient et désinformation, mais ta mauvaise foi a vite fait de me décourager. Mais au moins tu ne faisais qu'exposer des opinions (écoeurantes, mais peu importe finalement).
ici tu ne fais pas la même chose, tu prends soin de bien connaître les gens et les attaquer sur des détails "sensibles".
Ceci étant dit tant que tu le faisais avec un peu de drôlerie je respectais, mais tu as vite atteint tes limites et tourné au mec qui boit du vinaigre au petit dèjeuner.
Pour preuve : tes attaques suivent toujours le même schéma.
Relis bien mes premiers posts, l'effort attentif donné à la forme comme au fond, de façon à créer un décalage, à faire rire sur un détail, à ne retenir qu'un mot etc ...
Du travail Sukubus, pour faire plaisir aux gens qui me lisent, ça s'assoit pas comme ça une réputation comme la mienne, qui me permet de me reposer de temps en temps.
Toi tu ne passe que pour un pervers, je ne me l'explique pas...
Ancien utilisateur
Mazala, toi qui semble vouloir toujours demeurer jeune, phoenix immortel et puissant regnant sur les males du haut de sa jeunesse arrogante...et toi qui aime l'incontournable baudelaire, et comme c'est la mode sur ce topic de citer de longs poemes:
Rappelez-vous l'objet que nous vîmes, mon âme,
Ce beau matin d'été si doux:
Au détour d'un sentier une charogne infâme
Sur un lit semé de cailloux,
Le ventre en l'air, comme une femme lubrique,
Brûlante et suant les poisons,
Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique
Son ventre plein d'exhalaisons.
Le soleil rayonnait sur cette pourriture,
Comme afin de la cuire à point,
Et de rendre au centuple à la grande Nature
Tout ce qu'ensemble elle avait joint;
Et le ciel regardait la carcasse superbe
Comme une fleur s'épanouir.
La puanteur était si forte, que sur l'herbe
Vous crûtes vous évanouir.
Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride,
D'où sortaient de noirs bataillons
De larves, qui coulaient comme un épais liquide
Le long de ces vivants haillons.
Tout cela descendait, montait comme une vague
Ou s'élançait en pétillant
On eût dit que le corps, enflé d'un souffle vague,
Vivait en se multipliant.
Et ce monde rendait une étrange musique,
Comme l'eau courante et le vent,
Ou le grain qu'un vanneur d'un mouvement rythmique
Agite et tourne dans son van.
Les formes s'effaçaient et n'étaient plus qu'un rêve,
Une ébauche lente à venir
Sur la toile oubliée, et que l'artiste achève
Seulement par le souvenir.
Derrière les rochers une chienne inquiète
Nous regardait d'un oeil fâché,
Epiant le moment de reprendre au squelette
Le morceau qu'elle avait lâché.
- Et pourtant vous serez semblable à cette ordure,
A cette horrible infection,
Etoile de mes yeux, soleil de ma nature,
Vous, mon ange et ma passion!
Oui! telle vous serez, ô la reine des grâces,
Apres les derniers sacrements,
Quand vous irez, sous l'herbe et les floraisons grasses,
Moisir parmi les ossements.
Alors, ô ma beauté! dites à la vermine
Qui vous mangera de baisers,
Que j'ai gardé la forme et l'essence divine
De mes amours décomposés!
alors sans etre devin, ni charlatan, je ne peux que te dire que...a moins que ton Messie intervienne sur Terre sauver ton posterieur de la cellulite, tu seras comme nous tous une charogne un jour ou l'autre...
(selon certains ce poemes pourrait etre lu a un autre degré...et renvoyer a la poesie, a la creation artistique...mais disons que pour les fins de mes observations mazalesque nous devons le lire a un degre plus evident)
Ancien utilisateur
Bon c'est fini avec Baudelaire là! C'est une épidemie ou quoi en ce moment! En plus on m'achète avec ça, c'est pas joli de jouer avec les plaisirs des autres...
Passons!
Et puis le double niveau de ce poème ne doit pas être ignoré, si tu enlève le niveau littéral qui rejoindrait ton idée mazalesque, enfin du moins celle que tu forges tout seul comme un grand, tu ne dois pas nier le niveau plus reflexif qui fait méditer le lecteur sur la poésie elle-même, la femme qui prends ce personnage de poésie lyrique.
Sûr que la beauté féminine est éphémère, ce n'est pas pour rien que la femme et la rose sont comparées par les plus grands poètes, et pour cause, je sais ce qu'il va m'arriver mais sache que certaines ont plus de chance que d'autres! Voila!
Bon je fais court parce-que sinon c'est chiant!
Luce!
Ancien utilisateur
Baudelaire et Boileau sont dans un bateau ... je choisis Boileau, car il est plus terre à terre, l'autre depressif ne fait que boire de l'air... je le jette du bateau, ses pensées se font plus claires puisqu'il boit l'eau, il dit : "ce qui se pense bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément".
L'autre est sur le bateau la risée des matelots, c'est un oiseau : ses ailes de géant l'empêchent de marcher... C'est un beau de l'air.
Sur la terre, il est comme toi et moi, dans le ciel c'est lui qui fait sa loi (X-Or).
Et que vive l'endomorphine.
Ancien utilisateur
twingo69, eh bien, comme on est sur une lancee d'accusation de perversion et de citations de baudelaire:
''Tous les imbeciles de la Bourgeoisie qui prononcent sans cesse les mots ''immoral, immoralité, moralité dans l'art'' et autres bêtises, me font penser à Louise Villedieu, putain à cinq francs, qui m'accompagnant une fois au Louvre, où elle n'était jamais allée, se mit à rougir, à se couvrir le visage et me tirant à chaque instant par la manche, me demandait, devant les statues et les tableaux immortels, comment on pouvait étaler publiquement de pareilles indécences.''
Ancien utilisateur
J'aime pas les poètes et encore moins les dépressifs alors imagines un poète dépressifs .. des claques je lui aurais mis à ce vieux Charlot ...
Ancien utilisateur
''poète dépressifs''...tsk tsk...twingo tu me déçois ici.
Ancien utilisateur
Philippe Sudanslebus change de main, y'a de la fumée, tabernacle !