Cyrilette :

c'est quoi "ramatutelle" ? Une ville de France ?
Je manque de culture, non ?
En tout cas, il manque une majuscule >-)


Blancbec :

Pas mal, du moment qu'on aime le grivois.
Pourquoi cette dédicace ?


PS :

J'ai pas mal de poèmes archivés, vous voulez que je vous en fasse part ?
Précision, c'est triste et personnel.

A l'origine de ma vocation littéraire :
" La chatte
A quatre
Papattes"
(Le Cercle des poètes disparus)
J'ai plagié avec un piètre :
"Mon canard
A de gros
Nibards"
mais ça le fais moins, je trouve.

SMOSKA :

Tu critiques Azura, mais je trouve ses rimes beaucoup plus recherchées et profondes que les tiennes (Etienne), alors bon, la critique est facile, mais... après faut encore faire mieux.


Cafesito :

Dois-je en conclure que plus je suis flémard, mieux c'est ?
Moins j'en fais, mieux je poste, mouarf !


JILLJONES :

The dead poets society, excellent film je trouve. Un de mes thèmes préféré, ça, le non conformisme.
En VO ça donne :
"The cat
Sat
On the mat"
Ce qui ne signifie pas exactement la même chose.

Sinon je pense que ton poème a été inspiré par mon coin coin, héhé !

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Bon sinon à tous les apprentis poêtes-poêtes :

Evitez autant que possible les rimes pauvres !

A titre d'info,
- une rime pauvre consiste à n'avoir en commun à la fin de 2 vers qu'un seul phonème, ou généralement qu'une seule voyelle. Ex : faire rimer "gris" avec "vie".
- une rime suffisante quand il y a cette fois 2 phonèmes communs (généralement une consonne et une voyelle). Ex : faire rimer "ciel" avec "belle"
- une rime riche, et ça c'est beau (et rare ici bande de feignasses), c'est lorsqu'il y a plus d'une syllabe en commun. Ex : faire rimer "libérer" avec "espérer".

Evitez aussi les structures négligées et chaotiques.
Fixez vous un nombre de pieds (longueur sonore du vers).
Sans pour autant aller jusqu'à produire des sonnets, utilisez par exemple des octosyllabes, des décasyllabes ou des alexandrins.

Essayez les différentes figures de styles (assonances, allitérations, rimes intérieures, métaphores filées, etc)

Non, parce que si vous continuez avec vos rimes pauvres et votre quasi prose plate, j'en viendrais à penser sérieusement comme Khagneuse !

Smoska... je ne cherche pas à faire des rimes, quand je fais un poème... souvent d'ailleurs, il n'y a pas de rimes... je cherche simplement à exprimer le mieux possible ce que je ressens...

mais il faut croire que nous n'avons pas le même sens de la poésie...

néanmoins, je voous en remets un petit:

Un grain de sable s’envole
Comme cette larme coule sur ma joue
Aussi solitaire l’un que l’autre
Ils sont des diamants de solitude.
Tout est unique mais pourtant forme un tout.
Tout est un, mais un n’est pas la totalité.
On a tous besoin des autres
Mais personne ne veut l’admettre.
Tous préfèrent être seuls
Et se rendre aveugle et sourds au bonheur.
Cette solitude nous tuera tous,
Mais suis-je la seule à m’en rendre compte?

Bon, je suis désolé de vous faire ça, mais je vous poste une série de poêmes écrits il y a presque trois ans de ça.
Certains les reconnaitront peut être.




Je n'ai vraiment vécu avant de te connaître,

Tu m'as ouvert les yeux sur l'ampleur de ton être.

Je n'avais jamais vu la vie en moi renaître

Avant de faire le voeu en pleurant par mes lettres.



De te voir obtenir une vie longue et remplie,

Et pouvoir partager avec proximité,

D'un amour devenir des roseaux qui se plient

En souplesse pour laisser la tempête passer...



Partager cette envie de pouvoir être en vie,

Partager notre foi en ce rêve qui nous lie.

Partager cette vie qui sera notre envie,

Propager cette joie lorsqu'on donnera nos fruits.



Je ne suis de ce monde que pour tes boucles rousses

Si j'ai laissé pousser l'être que je te promets

Dans mon coeur que tu sondes en l'âme qui se soumet

A son destin tracé dans mes fragments, pour tous...





R ose rousse dont les pétales faiblissent

A mour dont j'aime la blanche peau lisse

H éroïque et si courageuse

E mouvante joie d'exister

L aissons nos lèvres s'embraser





Pourquoi faut-il que tu t'en ailles

Alors que j'ai la chance de vivre ?

Pourquoi y a t-il une faille

Dans notre destin qui nous livre

A tant de tourments et de pleurs

Dans ma déraison qui déraille...

Dans la tanière de ma peur

Ou s'est déchiqueté mon coeur

Avec les aiguilles de ton heure

Qui bien trop tot est arrivée.

Tu laisse un vide dans ma vie

Il ne me reste plus d'envie,

J'ai du mal à me relever...

[J'aimerais crier mon amour pour toi, hurler ma peine de te voir partir à l'age où la vie commence pour les autres, mais ma gorge se noue sous la pression de ma peine...]



J'espère ne pas vous avoir trop déprimé.