Dans l'histoire ce qui est choquant c'est qu'il n'y a pas de lien de causalité entre le handicap de l'enfant et la non détection de la rubéole par les médecins. Ce ne sont pas les médecins qui lui ont transmis la rubéole mais la mère donc si on va jusqu'au bout du raisonnement, c'est la mère qui devrai être débiteur.
Par contre oui le médecin et le laboratoire a été condamné car la mère avait dit que si le foetus était handicapé elle avorterais, pensant que cela n'était pas le cas, elle a gardé l'anfant, accouchant ainsi d'un enfant handicapé, elle allègue donc que le médecin et le laboratoire d'analyse l'ont privé de son choix d'avorter.