ok miss je vais t'expliquer ce que j'ai dit parce que tes cheville vont eclater...
tu parlais de respecter notre part de l'accord... pour moi apres une guerre, les pay rentre respectivement derriere leur frontière, plus encore pour israel parce que accord avec l'onu...
ok maintenant si israel n'etait pas rester ds les territoire...il serait detruit a l'heure actuel... je pense qu'il n'y a rien d'autre a dire sur ce point...et je crois que tu sous estime leur capacite de destruction...et ttes les choses que j'ai dite ds mon post precedent st les activite que combat tsahal pour ne pas qu'elles arrivent en israel...et rappelle toi aussi qu'on est en guerre...que c'est pas israel qui l'a commencer cette guerre...
et pour les terres....OU AS TU VU QUE LES JUIFS ONT RACHETER DES TERRES A DES PAUVRES GENS UNE BOUCHEE DE PAIN... explique moi je n'ai pas vu ce paragraphe...
En 1921, Winston Churchill, alors ministre des colonies, enleva à la Palestine près des 4/5èmes du territoire placé par la SDN sous mandat britannique, soit 90 650 km2, pour créer non pas ce pour quoi il était mandaté, à savoir un foyer national juif, mais un nouvel émirat arabe, la Transjordanie. Pour le consoler de ce que le Hedjaz et l’Arabie avaient été attribués à la famille Saoud, il installa Abdallah, fils de Chérif Hussein, comme émir de Transjordanie, en récompense de sa participation à la guerre contre la Turquie.
"Les Britanniques empêchèrent de surcroît les Juifs d’acheter des terrains dans ce qui restait de la Palestine, contrevenant à la clause de l’article 6 du Mandat, d’après lequel « l’Administration de la Palestine… encouragerait, en coopération avec l’Agence Juive … l’établissement de Juifs dans le pays, y compris sur des terres appartenant à l’Etat et sur des terres en friche qui n’avaient pas été acquises comme biens publics. »
Dès 1949, les Britanniques, sur les 375 000 hectares de terre cultivable, avaient alloué 175 000 hectares aux Arabes et seulement 8500 aux Juifs (4).
Depuis le début de la Première Guerre Mondiale, une partie des terres de Palestine appartenait à des propriétaires absents qui vivaient au Caire, à Damas et à Beyrouth. Environ 80% des Arabes de Palestine étaient des paysans criblés de dettes, semi-nomades et des Bédouins.
En 1920, David Ben Gourion, qui n’était alors qu’un leader sioniste travailliste, déclara que les fellahs arabes étant « l’atout le plus important de la population autochtone », il n’était pas question de toucher à leurs terres ou à celles sur lesquelles ils étaient métayers. Il souhaitait, au contraire, les aider à s’affranchir de leurs exploiteurs (5).
Après avoir acheté toutes les terres incultes disponibles, les juifs se tournèrent vers des terres cultivées. L’américain John Hope Simpson, arrivé en Palestine en mai 1930, remarqua « qu’ils [les Juifs] paient les terres très cher, et de plus ils paient à certains des occupants de ces terres une somme d’argent considérable qu’ils ne leur doivent pas, légalement parlant. » (6)
Le Roi Abdallah de Transjordanie regretta, dans ses mémoires, que « les Arabes (soient) aussi enclins à vendre leurs terres qu’à geindre et pleurer inutilement ».
En 1947, les possessions juives en Palestine atteignaient 926 000 hectares. Environ 90 000 d’entre eux avaient été achetés au gouvernement mandataire, 60 000 à différentes églises et 775 000 à des Arabes.
L’analyse de ces achats entre 1880 et 1948 montre que 73% avaient été acquis auprès de gros propriétaires terriens et non de pauvres fellahs. (7)
que tu sois la depuis des annees je m'en fou... moi ce que tu pense qui m'interresse...