j'essuie ici une larme de rire, puis j'avoue que malgré mes grandes réticences à frayer avec l'ennemi (ça se dit ? ah oui, je fraie, tu fraies, il est frais, ça m'effraie) je n'en suis pas moins séduite par les arguments de la jolie Ally Mc feuj (avocate des causes désespérées non ?).
Tout d'abord merci pour la déclinaison de toutes ces expressions que j'avais oublié et dont j'avais besoin pour m'adresser à chat_noir dans le but avoué de l'horripiler le plus possible : hé oui grosse fraicheur, la vieille croulante reste une zbab de sa race, une darka de ouf. tu trouves ça relou ? tu me trouve blata peut-être ? Tu sens la rchouma monter en toi ? euh ... je suis pas sûre de bien utiliser tout ça...
bref, ayant moi même été touchée par ces effets de modes dans ma prime jeunesse qui est bien loin maintenant, je peux comprendre. A mon époque, ce qui était marrant c'était de fumer des cigarettes (elles coutaient dix francs, vous savez ce que c'est les francs ?) et de déchirer son jean au niveau des genous. ouh la la je me sens pas bien la...