Excuse moi, Ceinture, mais tu cites juste qqs noms des homosexuels tués, ou agressé parce qu'ils sont gay...mais, je te rassure que si je produire un liste de tous les femmes tuées, torturées, agressées, et violées parce qu'elles sont des FEMMES tt simplement, ca sera plus long.
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décès de Dominic L., qui avait été agressé à coups de crosse de fusil, chez lui, la nuit du jeudi 6 au vendredi 7 juillet à Parentis-en-Born (Landes).
Cette nuit-là, un voisin avait pénétré par effraction dans le domicile de Dominic L., armé d'une carabine 22 LR. Réveillés par le bruit, le sexagénaire et son petit ami s’étaient retrouvés face au voisin. Les gendarmes, alertés par le petit ami qui avait réussi à prendre la fuite, avaient découvert le corps inanimé de Dominic L., la boîte crânienne défoncée. La victime avait été évacuée sur le CHU de Bordeaux. L'agresseur, interpellé peu après l’agression, avait été déféré devant le parquet de Mont-de-Marsan, et mis en examen pour «tentative de meurtre à raison de l'orientation sexuelle de la victime», placé sous mandat de dépôt et incarcéré à la maison d'arrêt de la ville. L'instruction judiciaire est en cours.
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Hier, jeudi 21 septembre, le tribunal de police de Paris examinait une affaire d'agression verbale et physique à caractère homophobe. L'incident avait eu lieu le 21 juin, le soir de la Fête de la musique: Morgane et July, un couple de lesbiennes, assistaient à un concert. Lorsque Z. s'est approché d'elles pour les insulter, les deux jeunes femmes ont tenté de l'écarter avec diplomatie, constatant son ivresse. Z. a alors frappé Morgane qui est tombée sur les marches de l'Opéra Bastille, s'ouvrant alors le front. «Heureusement, July était là pour alerter la police qui est intervenue immédiatement, raconte avec émotion Morgane
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La cour d'assises de Martinique a jugé, lundi 18 septembre, un jeune homme de 21 ans qui, après avoir traité un jeune martiniquais de «pédé», s'était battu avec lui et l'avait tué d'un coup de paire de ciseaux
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La cour d'assises de Martinique a jugé, lundi 18 septembre, un jeune homme de 21 ans qui, après avoir traité un jeune martiniquais de «pédé», s'était battu avec lui et l'avait tué d'un coup de paire de ciseaux
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19 septembre 2006
France (Justice)
Début du procès pour tentative d'assassinat d'un journaliste gay.
Le procès doit durer quatre jours. Jean-Michel Jacquemin est l'auteur d'un livre dénonçant les conséquences en France du nuage radioactif de Tchernobyl [...] il croise dans la rue un jeune homme, Mustapha, qui lui demande de l'aide pour trouver un emploi. Lui promettant de le faire rencontrer l'imam de Massy, Jean-Michel Jacquemin propose à Mustapha de dîner chez lui, en présence de son compagnon Fabien, le soir du 25 mai. Mustapha aurait insisté pour dormir à leur domicile, sur le canapé. À l'heure du coucher, avec une violence soudaine, Mustapha se précipite sur le couple et les frappe au couteau. Jean-Michel reçoit huit coups de couteau et Fabien quatre, qui le laisseront plusieurs semaines dans le coma. L'arrivée des policiers, qui soupçonnent visiblement une partouze ayant mal tourné, est l'occasion de questions humiliantes pour le couple. L'arrestation de Mustapha, 19 mois plus tard, suivie par les caméras de TF1, a démontré une approche partiale des événements par la police et les journalistes. L'une des péripéties de cette affaire, reportée sur TF1 au cours de l'émission «Le Droit de savoir», avait déjà fait l'objet d'un procès. La chaîne avait été lourdement condamnée pour diffamation à l'encontre du couple et mise en demeure par le Conseil supérieur de l'audiovisuel
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Strasbourg: Deux hommes sont jugés pour une agression lesbophobe
Jeudi 14 septembre en fin d'après-midi, une agression aurait eu lieu sur la ligne A du tramway de Strasbourg contre un couple de femmes. Six individus leur auraient proféré des injures avant que deux d'entre eux ne s'en prennent physiquement à l'une d'elle, qui a dû être hospitalisée jusqu'au lendemain. Les deux agresseurs devaient être jugés ce lundi 18 septembre en comparution immédiate au tribunal de grande instance de Strasbourg
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Strasbourg: Condamnation de deux agresseurs lesbophobes
Hier, lundi 18 septembre, à 14h30, s'est tenu au tribunal de grande instance de Strasbourg le procès en comparution immédiate des deux jeunes gens qui s'en étaient violemment pris à Sandra et Mélanie, un couple de lesbiennes, jeudi dernier à la station de tram Porte de l'hôpital (lire Quotidien du 18 septembre). L'agression ayant été filmée par les caméras de vidéosurveillance, ils n'ont pas cherché à nier les faits, sans cependant se montrer assez courageux pour expliquer leurs motivations devant le tribunal. Sandra, la seule victime présente au procès, visiblement très choquée, est revenue sur les insultes qu'elles ont essuyées au moment de l'agression allant de «sale pute» à «sale gouine». Des insultes bizarrement non retenues par l'accusation. La procureure a relevé le côté «lâche» et «lamentable» de l'agression au vu de la supériorité physique des deux agresseurs, lesquels étaient encouragés par quatre complices. L'avocat a quant à lui évoqué un «accident de parcours ou de vie». Rappelons que les deux victimes ont été couchées à terre sur les rails du tram, ont essuyé des coups de pied et de béquilles, cela sous le regard des nombreux usagers présents à cette heure de pointe, sans qu'aucun n'intervienne. Les deux agresseurs, âgés de 18 ans, ont été reconnus coupables notamment de «violences en réunion n'ayant pas entraîné d'ITT» et condamnés respectivement à des peines de 4 mois d'emprisonnement dont un ferme et de 3 mois d'emprisonnement avec sursis. Le premier était déjà connu des services de police. À la sortie du tribunal, Sandra et ceux qui l'entouraient -amis et militants LGBT, notamment de l'association TaPaGeS- ont été pris à partie par des proches des condamnés, venus en nombre, qui les ont menacés et insultés: «On va te démonter», «sale travelo», «sale pédé». Une agression supplémentaire qui ne se serait peut-êre pas produite si les injures lesbophobes avaient été retenues comme circonstance aggravante par le tribunal.
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