Reuters publie officiellement ses excuses concernant les nombreuses mises en scènes à Qana.
- Suite à une enquête interne menée par Reuters:
Il s'agit d'un de leurs journalistes (un palestinien) qui fournissait les photos.
Il avait des relatons particulières avec le responsable de la morgue de Qana.
Ce responsable était le premier d'arriver sur place avec
les camions spécifiques, appropriés à ce cas de figure.
La question cruciale qui se pose est de savoir s'il était
arrivé sur place à vide ou chargés d'autres cadavres afin d'augmenter le nombre de victimes.
Car vu l'état de corps, il s'avère que scientifiquement
parlant (état de dégradation, assèchement de peau etc)
il était impossible qu'ils soient décédés, pendant les
derniers 12 heures.
- Reuters annonce qu'elle vient de licencier ce journaliste
et avoue (ce que les blogs avaient prouvé) qu'il y a bel et
bien eu aussi:
Reproductions et duplications d'image sur divers bombardements, dans divers endroits (y compris Qana et Beyrouth). Entre autre: graphisme retouché, à partir du fotoshop primaire, fait sur place(couleur et "épaisseur"de nuages de fumée) afin de les amplifier et de multiplier le nombre d'immeubles touchés par un bombardement.
Le but étant d'accroître de toute évidence le nombre
de bombardement, et de créer un choque médiatique.
Dans une lettre envoyée à ses abonnés, elle demande de
ne plus faire usage de ces images.
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Les blogs qui sont devenus de ce fait "les chiens de garde"
de la presse officielle, ayant prouvé le "traitement"
graphique des clichés, se mettent à examiner d'autres
clichés de cette guerre, notamment la présence massive
du hezb en pleine population (Et bah, ça promet!)
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Tout le monde sait que dans chaque agence de presse qui
se respecte, surtout de la même "taille"que Reuters,
il existe des laboratoires de développements d'images.
Et que les clichés sont contrôlés avant d'être publiés.
Reuters licencie un journaliste une fois que le mal est
fait. Néanmoins la responsabilité de ses laboratoires et
de ses autres responsables ne doit pas être exclue.
- Un poisson mort se met à pourrir à partir de sa tête.